Le cerveau d'Apathie à été ravagé à partir de 1968.

Quel demeuré cet Apathie À vomir

zemmour onfray ramadan les vrais mdr...

@@fleurettemina4740 je vois pas le rapport avec mon commentaire ?

@@felixflitou Je ne pense pas que les journalistes du Figaro aujourd'hui sont les mêmes que ceux qui ont appelé au massacre des Communards. La ligne éditoriale d'un journal peut évoluer dans le temps, et le Figaro aujourd'hui n'a pas à rendre compte de ce que ses journalistes ont pu écrire en 1870

@@SAB-jw9po Non en effet il y a de fortes chances pour que 150 ans plus tard ils soient tous morts, mais si l'on regarde leurs articles sur le sujet qui sortent encore aujourd'hui on voit bien qu'ils n'ont pas changé leur fusil d'épaule. Alors à ce niveau-là il s'agirait d'avoir un minimum de cohérence, car la ligne éditoriale n'a clairement pas évoluée.

@@felixflitou Mais l'on aurait tort de considérer le Figaro comme un tout conscient. Le journal est composé de journalistes qui pensent éventuellement différemment, donc repprocher à la direction de se plaindre de l'intolérance parce que certains éditorialistes critiquent la Commune, c'est contestable. De plus, dire que la ligne éditoriale n'a clairement pas évolué, c'est dur de café. Les journalistes du Figaro des années 1870 avaient appelés au massacres des Communards, ceux d'aujourd'hui critiquement éventuellement la Commune (qui est plus que criticable), ce n'est pas tout à fait pareil.... d'autant moins que de façon plus générale, le Figaro ne défend plus une ligne monarchiste

Un peu scabreux votre poste. Faire un parallèle entre aujourd’hui et la La Commune.

Homard m'a tuer

Qu'elles représentations par exemples?

Je ne mets pas Paul Melun dans ce panier qui est très bon

Il n'y a pas plus malhonnête de Judith Waintraub qui ne résonne qu'en tant que juive. Il suffit de voir ses prises de positions islamophobes et sa défense inconditionnel d'israël et de ses coreligionnaires ! Ce n'est pas une journaliste mais une militante communautaire !

Apathie est un anti France décomplexé.

Une arnaque Judith waintraub!!une amie a Zemmour, aucune objectivité,ses interventions sur Cnews un régal,et ça ce présente comme une journaliste

Et si on remonte encore plus dans le temps, on pourra aussi parler des mises à sac de Bordeaux, Dijon, Mâcon, etc... par les Musulmans sans compter bien sûrs nos ancêtres emmenés en esclavage en Afrique du Nord. 😂😂😂

@@cyranodebergerac1080 en esclavage en Afrique du Nord lieu nommé barbaresque.

il ne démontre rien du tout. Il prend juste un exemple qui donne raison à sa pensée. Et lorsque dans un même principe rhétorique son adversaire prend les mêmes armes ; soudainement, là, alors qu'on lui a poliment laissé développer sa démonstration, il interrompt son contradicteur et en conteste à la fois sa légitimité et son honnêteté intellectuelle ? par ailleurs ici on ne voit qu'un court extrait qui met en avantage Michel Apathie puisque ses contradicteurs sont coupés et que l'on nous invite à voir la suite à divers conditions : ce qui ne donne qu'un aperçu tronqué du débat.

Il a bien droit d’en manger.. essayez de comprendre le substance du débat. C’est aussi des mangeurs de homards qui ont défendus les idées humanistes de ce grand pays

Le figaro a du mal à assumer son soutien à Zemmour.

@@ckinna A Libération, Le Monde, France Inter, France Télévision au moins c’est clair et constant: à gauche quelle que soit la couleur du pouvoir. Les animateurs et chroniqueurs de ces émissions de service public sont toujours d’accord entre eux témoignant d’un bel esprit d’équipe. C’est déjà ça. De temps en temps ils invitent un adversaire pour montrer leur ouverture d’esprit et le pluralisme du service public. Hier Camille Diao, sans vergogne mais tout sourire, a proposé comme de coutume à la fin de l’émission son conseil de lecture. Le titre du livre: Nuance, la puissance du dialogue. Et la chroniqueuse de rappeler les vertus philosophiques de la pensée contre soi-même. Les cordonniers ne sont définitivement pas les mieux chaussés!

@@pascalmassaloup6206 Pas si simple cela dépend d'où on parle !

Qui on ? Parle pour toi !

OUI? QUI??

« Dans CE pays. » De rien…

C'est une vérité a sens unique, fondé sur des faits à étayé car monsieur Apathie oriente ses argumentaires façon propagande bolcheviks, tout ceux qui ne sont pas de son avis seront considérés comme facho.

@@nicolashuet1007C'est le mot valise et repoussoir. Si vous n'êtes pas d'accord avec moi, c'est que vous êtes d'extrême droite donc facho. CQFD

L’ esprit embrumé par la colère, le ressentiment et la victimisation est forcément dans la confusion.

Ce piètre journaliste excellant dans un poujadisme de bas niveau et piètre idéologue, omet totalment ce pan de l'histoire humaine. La traite des Noirs d'Afrique par le monde arabo-musulman a duré 13 siècles. Cette traite a concerné dix-sept millions de victimes tuées, castrées ou asservies, pendant plus de treize siècles sans interruption. Les razziés étaient contraints de traverser le désert à pied pour rejoindre le Maghreb, l'Égypte ou la péninsule Arabique via Zanzibar, par bateaux... Pourtant, cette traite négrière a été minimisée, contrairement à la traite occidentale vers l'Amérique. Pourquoi ? Parce que seule la conversion à l'islam permettait d'échapper à l'esclavage, mais n'a pas épargné les Noirs. Toutefois, de nos jours la majeure partie de l'Afrique est devenue musulmane, d'où une forme de fraternité religieuse entre le côté "blanc" et le côté "noir" du continent, et une volonté commune de "voiler" ce génocide Esclavage invisible, parce que les historiens et autres « intellectuels » n’ont eu de cesse, pendant longtemps, de minimiser l’importance de l’esclavage pratiqué par les musulmans, voire de le dédramatiser (!!!), démontrant une fois de plus que « l’histoire n’est bien souvent qu’une projection sur le passé des débats politiques contemporains ». Pourtant, « la proportion d’esclaves européens représentait un quart de la population d’Alger, ville dont l’existence s’est fondée sur la piraterie et l’esclavage.» Toutes les villes du Maghreb ont fondé leur prospérité sur la traite des esclaves chrétiens majoritairement européens. Plus d’1 million de chrétiens (dénombrement très lacunaire) ont été capturés, soit au cours de razzias sur tout le littoral méditerranéen (Italie, Espagne, France), soit au cours d’attaques de navires marchands ou militaires. Les trois quarts étaient des marins et des paysans pauvres. Tout comme les esclaves noirs dans le Nouveau Monde, les esclaves blancs étaient vendus aux enchères comme du bétail, parfois pour le prix d’un oignon. Si les plus fortunés pouvaient espérer être libérés contre une rançon, les autres, notamment ceux qui se retrouvèrent galériens, ont dû endurer des années d’asservissement, d’humiliation et de conditions de captivité inhumaines : 1/6 des esclaves capturés mourait chaque année. Car contrairement aux affirmations des historiens - naïfs ou très malhonnêtes - les propriétaires d’esclaves ne protégeaient leurs investissements en attendant un éventuel rachat par les familles, mais se comportaient, à l’égard de cette main d’œuvre d’origine modeste, bon marché et remplaçable, comme les esclavagistes du Nouveau Monde : à savoir qu’ « il est plus facile de remplacer un esclave mort que de le considérer comme un investissement ». Toutefois, une partie de ces captifs pauvres purent être rachetés grâce aux opérations de rédemptions organisées par les différents ordres religieux chrétiens, au prix de nombreuses collectes, taxes, etc… Pour les pays concernés, ces sommes, déboursées pour le rachat des esclaves et pour les fortifications rendues nécessaires par les raids côtiers incessants, pesèrent en termes d’investissements perdus, de projets de développements annulés. Les raids esclavagistes ont provoqué la désertification des littoraux, la ruine de villages entiers et l’impossibilité de faire fructifier un territoire. Non seulement les corsaires esclavagistes enlevaient durablement les forces vives d’un pays, mais « ils modifiaient les rapports de propriétés à l’intérieur d’une communauté » : en effet les familles victimes de ces raids, souvent autosuffisantes devenaient du jour au lendemain privées de revenus, appauvries et vulnérables.

@@patrickatlan3273 Non. C'est vous qui mélangez tout. Le crime de l'un n'excuse pas le crime de l'autre. Et c'est exactement ce qu'il dit.

Heureusement qu'il reste encore des courageux comme lui. Bravo à Aphatie

Monsieur Apathie ne nous parle pas des raids menés par les Musulmans de vers l'an 750 jusque vers l'année 1050 et des esclaves qu'ils en pu en tirer. Sans compter qu'il y a eu des esclaves Français en Algérie jusqu'au moment de la colonisation. Mais là Apathie n'en parle pas 😂😂😂😂😂

J'avoue mais c'est pas sur les plateaux de bolloré que tu entendra de tels discours .

Sur les plateaux de Bolloré, on aurait eu droit à un panaroma plus complet de notre histoire puisqu'ils auraient aussi évoqué les raids effectués par les Arabes de l'an 750 jusque vers 1050 et aussi évoqué les nôtres emmenés en esclavage en Algerois jusqu'au 19 ème siècle. Ils sont bien plus équitables que monsieur Apathie.

@@Rifton. sur les plateaux de Bolloré existe une totale liberté où toutes tendances ont le droit de s'exprimer et où différents courant de pensée différents experts b=viennent échanger leur point de vue ce qui n'est malheureusement pas le cas de France tél où l'on fait semblant de ne pas être d'accord à la marge mais jamais sur l'essentiel où là, curieusement, ils se retrouvent et pensent tous pareils. j'ai été lassé d'y voir toujours les mêmes experts, les mêmes "spécialistes " nous expliquer ce que nous devons penser ou croire. Sur CNews, beaucoup de sujets non traités sur France Télé sont montrés et provoquent même des ministres à venir s'expliquer. Comme dernièrement, sur l'invitation d'un syndicats de la magistrature à la fête de l'huma dont France télévision s'est bien gardée de diffuser l'information pourtant capitale et de taille. Après le mur des cons, voici la table ronde de la magistrature de gauche à la fête de l'huma qui bien entendu aiment tant défendre les délinquants plutôt que les victimes.

Vous ne savez pas ce que vous dites par manque de culture politique. Révisez le mot "fasciste" dont vous ne savez que le dérivé francisé et argotique que voue répétez par automatisme. Vous êtes un P.O.U.M.

Ils expose ce que vous ne voulez ni entendre ni voir.

prout

Voilà la réponse d'une personne qui n'aime pas faire face à la vérité 😂😂😂bonne retraite à vous aussi dans un bon EPAHD ORPEA ils vont bien s'occuper de vous 😁😁😁

Alors promis on vous met un autre extrait ce week-end et il parlera moins (notamment car il a du partir au bout de 45 min d’émission)

Ce woke déteste tout ce qui est ancien, y compris la politesse. . Il rigolera moins le wokiste quand d'autres wokistes (plus extrêmes) lui reprocheront son son âge, son sexe, sa couleur de peau et son patrimoine. . Il comprendra quand on lui demandera de changer qu'il n'a jamais été wokiste mais bobo de l'extrême-centre hyper conservateur. "Ho putaxn, laissez moi mes privilèges et mon confort". . . .

@@Ccesoir J'aime bien la manière "crue" et spontanée dont vous répondez aux commentaires sur cette chaine :)

Ouch

Vous aurez un collège Apathie si les gauchistes passent ou même plus rien du tout!

@@yvesgauthier2324 nous avons aussi un collège Condorcet....

Accent Basque ( malheurement....) pour nous!!

Je vous invite à écouter l'émission complète, elle s'est exprimée bien plus longtemps et en plus l'émission a été construite autour d'un article qu'elle a co-écrit pour le Figaro Magazine : "Les nouveaux intolérants, ces juges de la pensée qui rêvent de réduire au silence ceux qui ne pensent pas comme eux"

J entends votre réponse mais pourrions nous avoir un extrait où elle parle un peu plus car les 2 extraits que vous avez mis nous avons majoritairement Apathie et Alduy qui sont d accord et c est eux que l on entend le plus dans ces 2 extraits

Et il a inventé le "trou de Lamoricière" dans le bas de la culotte des zouaves pour éviter qu'ils se noient en traversant les rivières. Dès qu'on en parle il y a toujours un qui parle de la main de Nasser. Pourquoi?

C'est ironique ?

Ce piètre journaliste excellant dans un poujadisme de bas niveau et piètre idéologue, omet totalment ce pan de l'histoire humaine. La traite des Noirs d'Afrique par le monde arabo-musulman a duré 13 siècles. Cette traite a concerné dix-sept millions de victimes tuées, castrées ou asservies, pendant plus de treize siècles sans interruption. Les razziés étaient contraints de traverser le désert à pied pour rejoindre le Maghreb, l'Égypte ou la péninsule Arabique via Zanzibar, par bateaux... Pourtant, cette traite négrière a été minimisée, contrairement à la traite occidentale vers l'Amérique. Pourquoi ? Parce que seule la conversion à l'islam permettait d'échapper à l'esclavage, mais n'a pas épargné les Noirs. Toutefois, de nos jours la majeure partie de l'Afrique est devenue musulmane, d'où une forme de fraternité religieuse entre le côté "blanc" et le côté "noir" du continent, et une volonté commune de "voiler" ce génocide Esclavage invisible, parce que les historiens et autres « intellectuels » n’ont eu de cesse, pendant longtemps, de minimiser l’importance de l’esclavage pratiqué par les musulmans, voire de le dédramatiser (!!!), démontrant une fois de plus que « l’histoire n’est bien souvent qu’une projection sur le passé des débats politiques contemporains ». Pourtant, « la proportion d’esclaves européens représentait un quart de la population d’Alger, ville dont l’existence s’est fondée sur la piraterie et l’esclavage.» Toutes les villes du Maghreb ont fondé leur prospérité sur la traite des esclaves chrétiens majoritairement européens. Plus d’1 million de chrétiens (dénombrement très lacunaire) ont été capturés, soit au cours de razzias sur tout le littoral méditerranéen (Italie, Espagne, France), soit au cours d’attaques de navires marchands ou militaires. Les trois quarts étaient des marins et des paysans pauvres. Tout comme les esclaves noirs dans le Nouveau Monde, les esclaves blancs étaient vendus aux enchères comme du bétail, parfois pour le prix d’un oignon. Si les plus fortunés pouvaient espérer être libérés contre une rançon, les autres, notamment ceux qui se retrouvèrent galériens, ont dû endurer des années d’asservissement, d’humiliation et de conditions de captivité inhumaines : 1/6 des esclaves capturés mourait chaque année. Car contrairement aux affirmations des historiens - naïfs ou très malhonnêtes - les propriétaires d’esclaves ne protégeaient leurs investissements en attendant un éventuel rachat par les familles, mais se comportaient, à l’égard de cette main d’œuvre d’origine modeste, bon marché et remplaçable, comme les esclavagistes du Nouveau Monde : à savoir qu’ « il est plus facile de remplacer un esclave mort que de le considérer comme un investissement ». Toutefois, une partie de ces captifs pauvres purent être rachetés grâce aux opérations de rédemptions organisées par les différents ordres religieux chrétiens, au prix de nombreuses collectes, taxes, etc… Pour les pays concernés, ces sommes, déboursées pour le rachat des esclaves et pour les fortifications rendues nécessaires par les raids côtiers incessants, pesèrent en termes d’investissements perdus, de projets de développements annulés. Les raids esclavagistes ont provoqué la désertification des littoraux, la ruine de villages entiers et l’impossibilité de faire fructifier un territoire. Non seulement les corsaires esclavagistes enlevaient durablement les forces vives d’un pays, mais « ils modifiaient les rapports de propriétés à l’intérieur d’une communauté » : en effet les familles victimes de ces raids, souvent autosuffisantes devenaient du jour au lendemain privées de revenus, appauvries et vulnérables.

@@RisitasPolonais7335 ça ne peut pas être sérieux.

On en reparlera cet hiver... Lol

porcherie

Réponse sans aucun intérêt ou quand la vérité ne plait pas 😁😁😁 sinon je vous conseille de prendre un bon anti-vomitif ou de dormir pas loin des chiottes . Et n'oubliez pas de serrer les dents pour garder les gros morceaux 😅😅😅

Il n'est en rien un historien mais omet délibérément des pans entiers de l'histoire afin de se complaire dans un florilège d'inepties. Sans omettre ses approximations, sa grille de lecture partisane et souvent sectaire. L’historien musulman Firishta [de son nom complet Muhammad Qasim Hindu Shah, (1560 -1620) auteur de Tarikh-i Firishta et du Gulshan-i Ibrahim fut le premier à donner une idée du bain de sang médiéval que subit l’Inde durant la loi islamique. Il estima que plus de 400 millions d’Indiens furent massacrés pendant l’invasion et l’occupation islamique de l’Inde ». À l’heure où il n’est question que de repentance à sens unique pour accabler l’homme blanc coupable de tous les maux, à l’heure où Macron salit l’œuvre civilisatrice de la France, assimilant l’épopée coloniale à un crime contre l’humanité, il est temps de changer de registre et de rappeler comment se sont comportés les Arabes au cours de leurs conquêtes. Les massacres et atrocités perpétrés par l’État islamique ne sont que la survivance des comportements barbares qu’ont eus les Arabes au cours de l’Histoire. Quand la force est du côté de l’Islam, c’est le retour du jihad conquérant. Car si la Shoah, ainsi que les génocides vendéen, arménien et cambodgien restent gravés dans la mémoire collective comme étant les atrocités les plus abominables de ces derniers siècles, peu de gens savent que les Arabes sont coupables du plus grand génocide de tous les temps. Il s’agit de l’invasion et de la colonisation de l’Inde. C’est en 632 que les Arabes lancent leurs armées à la conquête du monde, semant la terreur et la désolation sur les terres conquises. « On dispose aujourd’hui de sources non arabes pour décrire la réalité de ces invasions. Les chroniqueurs des pays conquis, Syriens, Byzantins, Perses, Égyptiens, Arméniens, contemporains de ces conquêtes parlent de « glaive barbare et sauvage des Arabes, dégainé et plein d’une cruauté véritablement diabolique ». Ou encore « l’armée dévastatrice des Arabes qui pillent les villes, qui mettent le feu aux maisons, qui tuent les hommes et qui emmènent les femmes et les enfants en captivité ». « Les Arabes saccagent et brûlent les villages… et se vantent de vouloir dominer le monde en imitant sans retenue leur chef Mahomet ». Mais c’est en Inde que la fureur du jihad s’est exprimée de la manière la plus barbare, les musulmans n’ayant aucune tolérance pour les religions polythéistes. En fait, la conquête de l’Inde a commencé avec les Arabes au VIIIe siècle, s’est poursuivie avec les Turcs et les Afghans et s’est terminée avec les Moghols au XVIe siècle, apogée de l’expansion musulmane en Inde. La conquête de l’Inde fut une colonisation génocidaire. « L’historien musulman Firishta [de son nom complet Muhammad Qasim Hindu Shah, (1560 -1620) auteur de Tarikh-i Firishta et du Gulshan-i Ibrahim fut le premier à donner une idée du bain de sang médiéval que subit l’Inde durant la loi islamique. Il estima que plus de 400 millions d’Indiens furent massacrés pendant l’invasion et l’occupation islamique de l’Inde ». « Les survivants étaient réduits en esclavage et les mâles castrés. La population indienne était initialement estimée à près de 600 millions d’individus. Vers le milieu du XVe siècle, elle était tombée à 200 millions ». Ce génocide a duré 800 ans, ce qui explique son ampleur. « La conquête de l’Inde par les mahométans est probablement l’épisode le plus sanglant de toute l’Histoire. Les historiens islamiques, les érudits, ont écrit avec la plus grande joie et fierté le massacre des Hindous, les conversions forcées, l’enlèvement des femmes et des enfants vers les marchés d’esclaves ainsi que la destruction des temples menée par les guerriers de l’islam entre les années 800 et 1700 après J.-C. Des millions d’Hindous furent convertis à l’islam par l’épée durant cette période. »

Ce piètre journaliste excellant dans un poujadisme de bas niveau et piètre idéologue, omet totalment ce pan de l'histoire humaine. La traite des Noirs d'Afrique par le monde arabo-musulman a duré 13 siècles. Cette traite a concerné dix-sept millions de victimes tuées, castrées ou asservies, pendant plus de treize siècles sans interruption. Les razziés étaient contraints de traverser le désert à pied pour rejoindre le Maghreb, l'Égypte ou la péninsule Arabique via Zanzibar, par bateaux... Pourtant, cette traite négrière a été minimisée, contrairement à la traite occidentale vers l'Amérique. Pourquoi ? Parce que seule la conversion à l'islam permettait d'échapper à l'esclavage, mais n'a pas épargné les Noirs. Toutefois, de nos jours la majeure partie de l'Afrique est devenue musulmane, d'où une forme de fraternité religieuse entre le côté "blanc" et le côté "noir" du continent, et une volonté commune de "voiler" ce génocide Esclavage invisible, parce que les historiens et autres « intellectuels » n’ont eu de cesse, pendant longtemps, de minimiser l’importance de l’esclavage pratiqué par les musulmans, voire de le dédramatiser (!!!), démontrant une fois de plus que « l’histoire n’est bien souvent qu’une projection sur le passé des débats politiques contemporains ». Pourtant, « la proportion d’esclaves européens représentait un quart de la population d’Alger, ville dont l’existence s’est fondée sur la piraterie et l’esclavage.» Toutes les villes du Maghreb ont fondé leur prospérité sur la traite des esclaves chrétiens majoritairement européens. Plus d’1 million de chrétiens (dénombrement très lacunaire) ont été capturés, soit au cours de razzias sur tout le littoral méditerranéen (Italie, Espagne, France), soit au cours d’attaques de navires marchands ou militaires. Les trois quarts étaient des marins et des paysans pauvres. Tout comme les esclaves noirs dans le Nouveau Monde, les esclaves blancs étaient vendus aux enchères comme du bétail, parfois pour le prix d’un oignon. Si les plus fortunés pouvaient espérer être libérés contre une rançon, les autres, notamment ceux qui se retrouvèrent galériens, ont dû endurer des années d’asservissement, d’humiliation et de conditions de captivité inhumaines : 1/6 des esclaves capturés mourait chaque année. Car contrairement aux affirmations des historiens - naïfs ou très malhonnêtes - les propriétaires d’esclaves ne protégeaient leurs investissements en attendant un éventuel rachat par les familles, mais se comportaient, à l’égard de cette main d’œuvre d’origine modeste, bon marché et remplaçable, comme les esclavagistes du Nouveau Monde : à savoir qu’ « il est plus facile de remplacer un esclave mort que de le considérer comme un investissement ». Toutefois, une partie de ces captifs pauvres purent être rachetés grâce aux opérations de rédemptions organisées par les différents ordres religieux chrétiens, au prix de nombreuses collectes, taxes, etc… Pour les pays concernés, ces sommes, déboursées pour le rachat des esclaves et pour les fortifications rendues nécessaires par les raids côtiers incessants, pesèrent en termes d’investissements perdus, de projets de développements annulés. Les raids esclavagistes ont provoqué la désertification des littoraux, la ruine de villages entiers et l’impossibilité de faire fructifier un territoire. Non seulement les corsaires esclavagistes enlevaient durablement les forces vives d’un pays, mais « ils modifiaient les rapports de propriétés à l’intérieur d’une communauté » : en effet les familles victimes de ces raids, souvent autosuffisantes devenaient du jour au lendemain privées de revenus, appauvries et vulnérables.

@@patrickatlan3273 Donc oeil pour oeil, dent pour dent ? Si vous cherchez à prouver que toutes les civilisations sont capables d'horreurs, qui dira le contraire ? La question reste que nous n'avons pas à honorer nos bouchers.

@@RaulNecrobie La quintessence de l'indigence cognitive dont vous êtes un superbe parangon, je suppute à votre insu est pathétique, sans omettre votre vision spécieuse et déconnectée des réalités. Vos inepties émanant d'un cerveau étriqué n'ont d'égale que vos manifestes lacunes ! Vous devrez vous pencher sur les conquêtes des Omeyyades, des Abbassides mais également celles qui ont précédé les Occidentales en Inde. Les Mongols, Tamerlan, Les Turcs et leurs ancêtres Seldjoukides, le Japon Impérial avec sa politique expansionniste des années 30 jusqu’à la capitulation de 1945. La Chine de Mao Zedong n’est pas en reste! Sans omettre les Khmers Rouges, et tant d'autres..... Il a eu et a encore des guerres ethniques en Afrique, il eu des empires Africains commettant des exactions pour asseoir leur domination mais également une traite intérieure. Ils ont été les complices de la traite Atlantique. A ce sujet, l'esclavage est malheureusement une histoire universelle. Vous en déplaise l'esclavage a été aboli par l'Occident. Il n’est en rien un historien trop d’approximations et d’erreurs dans ces pseudos analyses très orientées, et c’est un euphémisme. Omission délibéré du génocide Arménien. Il a toujours eu des obscurantistes proférant des idéologies pernicieuses et hideuses dans toutes les cultures, c'est le lot du genre humain avec ses failles. La nuance s'impose et de manière sensible ! Il a eu des avancées sociales, technologiques et d'émancipation. Je vous conseille de lire avec une grande acuité le "génocide voilé" : au plus haut point didactique sur un pan de l'histoire humaine avec ses méandres et grandes aspérités étrangement occulté. Sachez que l'histoire humaine est par essence inhumaine comme disait Hobbes "L’homme est un loup pour l'homme".

@@patrickatlan3273 OK. l'homme est un prédateur féroce pour ses semblables, les arabes ont pratiqués l'esclavage. Voilà ce qu'on peut lire derrière tout votre mépris.

Ce piètre journaliste excellant dans un poujadisme de bas niveau et piètre idéologue, omet totalment ce pan de l'histoire humaine. La traite des Noirs d'Afrique par le monde arabo-musulman a duré 13 siècles. Cette traite a concerné dix-sept millions de victimes tuées, castrées ou asservies, pendant plus de treize siècles sans interruption. Les razziés étaient contraints de traverser le désert à pied pour rejoindre le Maghreb, l'Égypte ou la péninsule Arabique via Zanzibar, par bateaux... Pourtant, cette traite négrière a été minimisée, contrairement à la traite occidentale vers l'Amérique. Pourquoi ? Parce que seule la conversion à l'islam permettait d'échapper à l'esclavage, mais n'a pas épargné les Noirs. Toutefois, de nos jours la majeure partie de l'Afrique est devenue musulmane, d'où une forme de fraternité religieuse entre le côté "blanc" et le côté "noir" du continent, et une volonté commune de "voiler" ce génocide Esclavage invisible, parce que les historiens et autres « intellectuels » n’ont eu de cesse, pendant longtemps, de minimiser l’importance de l’esclavage pratiqué par les musulmans, voire de le dédramatiser (!!!), démontrant une fois de plus que « l’histoire n’est bien souvent qu’une projection sur le passé des débats politiques contemporains ». Pourtant, « la proportion d’esclaves européens représentait un quart de la population d’Alger, ville dont l’existence s’est fondée sur la piraterie et l’esclavage.» Toutes les villes du Maghreb ont fondé leur prospérité sur la traite des esclaves chrétiens majoritairement européens. Plus d’1 million de chrétiens (dénombrement très lacunaire) ont été capturés, soit au cours de razzias sur tout le littoral méditerranéen (Italie, Espagne, France), soit au cours d’attaques de navires marchands ou militaires. Les trois quarts étaient des marins et des paysans pauvres. Tout comme les esclaves noirs dans le Nouveau Monde, les esclaves blancs étaient vendus aux enchères comme du bétail, parfois pour le prix d’un oignon. Si les plus fortunés pouvaient espérer être libérés contre une rançon, les autres, notamment ceux qui se retrouvèrent galériens, ont dû endurer des années d’asservissement, d’humiliation et de conditions de captivité inhumaines : 1/6 des esclaves capturés mourait chaque année. Car contrairement aux affirmations des historiens - naïfs ou très malhonnêtes - les propriétaires d’esclaves ne protégeaient leurs investissements en attendant un éventuel rachat par les familles, mais se comportaient, à l’égard de cette main d’œuvre d’origine modeste, bon marché et remplaçable, comme les esclavagistes du Nouveau Monde : à savoir qu’ « il est plus facile de remplacer un esclave mort que de le considérer comme un investissement ». Toutefois, une partie de ces captifs pauvres purent être rachetés grâce aux opérations de rédemptions organisées par les différents ordres religieux chrétiens, au prix de nombreuses collectes, taxes, etc… Pour les pays concernés, ces sommes, déboursées pour le rachat des esclaves et pour les fortifications rendues nécessaires par les raids côtiers incessants, pesèrent en termes d’investissements perdus, de projets de développements annulés. Les raids esclavagistes ont provoqué la désertification des littoraux, la ruine de villages entiers et l’impossibilité de faire fructifier un territoire. Non seulement les corsaires esclavagistes enlevaient durablement les forces vives d’un pays, mais « ils modifiaient les rapports de propriétés à l’intérieur d’une communauté » : en effet les familles victimes de ces raids, souvent autosuffisantes devenaient du jour au lendemain privées de revenus, appauvries et vulnérables.

Il est haineux car complexé.

Apparemment, vous n'avez jamais entendu parler des raids menés par les Musulmans de vers 750 jusqu'à la veille des Croisades sur notre territoire. Comme beaucoup de monde d'ailleurs. Sans compter les esclaves Français qu'ils ont eu en Alger jusqu'au moment de la colonisation.

Si il parlait pas de l'Algérie dirais tu la même chose

@@sixser11 Oui je dirait exactement la même chose, et je ne suis pas Algérienne, on demande à personne de se flageller ni de s excuser, on demande juste la vérité sur ce passé qui permettra à touts les Français de comprendre pourquoi il y a tant d Arabe et de Noir en France, avec des gens comme1 vous faudrait tout mettre sous le tapis....Sauf qu on est Là et qu on est des Français comme vous ne vous en déplaise...

@@neilsergener3821 pourquoi des qu on parle d anti cololianisme, vous soupoudrez avec votre obsession avec l islam ??? La France a commis un crime contre l humanité en Algérie pendant un siècle !!!! Quel rapport avec l islam ? Allez donc vous instruire un peu...la France comme tous les pays d Europe sont devenus riches grâce aux pillages de l Afrique de leurs terres et leurs richesses, et asservir leurs peuples et ça continue d ailleurs, sans oublier l esclavage....Alors arrêtez de vous demander pourquoi nous voulons connaître notre histoire commune et qu elle soit enfin enseigné dans nos livres d histoire pour une meilleur cohésion dans notre société, c est tout ce que l on veut...alors vos mots pathétiques qui commencent tjrs par islam....pffff....ça prouve juste votre mépris, votre manque de culture, et votre mauvaise fois...

Pauvre apati

@@Yukio1416 Qui te dis que je ne suis pas Maghrebin moi-même, ou noir ? La vérité historique n'est même pas le vraie sujet du débat. C'est que les gens comme Apathie sont des donneurs de leçon qui veulent décider qui a le droit de parler et qui n'a pas le droit.

Ce piètre journaliste excellant dans un poujadisme de bas niveau et piètre idéologue, omet totalment ce pan de l'histoire humaine. La traite des Noirs d'Afrique par le monde arabo-musulman a duré 13 siècles. Cette traite a concerné dix-sept millions de victimes tuées, castrées ou asservies, pendant plus de treize siècles sans interruption. Les razziés étaient contraints de traverser le désert à pied pour rejoindre le Maghreb, l'Égypte ou la péninsule Arabique via Zanzibar, par bateaux... Pourtant, cette traite négrière a été minimisée, contrairement à la traite occidentale vers l'Amérique. Pourquoi ? Parce que seule la conversion à l'islam permettait d'échapper à l'esclavage, mais n'a pas épargné les Noirs. Toutefois, de nos jours la majeure partie de l'Afrique est devenue musulmane, d'où une forme de fraternité religieuse entre le côté "blanc" et le côté "noir" du continent, et une volonté commune de "voiler" ce génocide Esclavage invisible, parce que les historiens et autres « intellectuels » n’ont eu de cesse, pendant longtemps, de minimiser l’importance de l’esclavage pratiqué par les musulmans, voire de le dédramatiser (!!!), démontrant une fois de plus que « l’histoire n’est bien souvent qu’une projection sur le passé des débats politiques contemporains ». Pourtant, « la proportion d’esclaves européens représentait un quart de la population d’Alger, ville dont l’existence s’est fondée sur la piraterie et l’esclavage.» Toutes les villes du Maghreb ont fondé leur prospérité sur la traite des esclaves chrétiens majoritairement européens. Plus d’1 million de chrétiens (dénombrement très lacunaire) ont été capturés, soit au cours de razzias sur tout le littoral méditerranéen (Italie, Espagne, France), soit au cours d’attaques de navires marchands ou militaires. Les trois quarts étaient des marins et des paysans pauvres. Tout comme les esclaves noirs dans le Nouveau Monde, les esclaves blancs étaient vendus aux enchères comme du bétail, parfois pour le prix d’un oignon. Si les plus fortunés pouvaient espérer être libérés contre une rançon, les autres, notamment ceux qui se retrouvèrent galériens, ont dû endurer des années d’asservissement, d’humiliation et de conditions de captivité inhumaines : 1/6 des esclaves capturés mourait chaque année. Car contrairement aux affirmations des historiens - naïfs ou très malhonnêtes - les propriétaires d’esclaves ne protégeaient leurs investissements en attendant un éventuel rachat par les familles, mais se comportaient, à l’égard de cette main d’œuvre d’origine modeste, bon marché et remplaçable, comme les esclavagistes du Nouveau Monde : à savoir qu’ « il est plus facile de remplacer un esclave mort que de le considérer comme un investissement ». Toutefois, une partie de ces captifs pauvres purent être rachetés grâce aux opérations de rédemptions organisées par les différents ordres religieux chrétiens, au prix de nombreuses collectes, taxes, etc… Pour les pays concernés, ces sommes, déboursées pour le rachat des esclaves et pour les fortifications rendues nécessaires par les raids côtiers incessants, pesèrent en termes d’investissements perdus, de projets de développements annulés. Les raids esclavagistes ont provoqué la désertification des littoraux, la ruine de villages entiers et l’impossibilité de faire fructifier un territoire. Non seulement les corsaires esclavagistes enlevaient durablement les forces vives d’un pays, mais « ils modifiaient les rapports de propriétés à l’intérieur d’une communauté » : en effet les familles victimes de ces raids, souvent autosuffisantes devenaient du jour au lendemain privées de revenus, appauvries et vulnérables.

non, mais vous je n'en doute pas

Ce piètre journaliste excellant dans un poujadisme de bas niveau et piètre idéologue, omet totalment ce pan de l'histoire humaine. La traite des Noirs d'Afrique par le monde arabo-musulman a duré 13 siècles. Cette traite a concerné dix-sept millions de victimes tuées, castrées ou asservies, pendant plus de treize siècles sans interruption. Les razziés étaient contraints de traverser le désert à pied pour rejoindre le Maghreb, l'Égypte ou la péninsule Arabique via Zanzibar, par bateaux... Pourtant, cette traite négrière a été minimisée, contrairement à la traite occidentale vers l'Amérique. Pourquoi ? Parce que seule la conversion à l'islam permettait d'échapper à l'esclavage, mais n'a pas épargné les Noirs. Toutefois, de nos jours la majeure partie de l'Afrique est devenue musulmane, d'où une forme de fraternité religieuse entre le côté "blanc" et le côté "noir" du continent, et une volonté commune de "voiler" ce génocide Esclavage invisible, parce que les historiens et autres « intellectuels » n’ont eu de cesse, pendant longtemps, de minimiser l’importance de l’esclavage pratiqué par les musulmans, voire de le dédramatiser (!!!), démontrant une fois de plus que « l’histoire n’est bien souvent qu’une projection sur le passé des débats politiques contemporains ». Pourtant, « la proportion d’esclaves européens représentait un quart de la population d’Alger, ville dont l’existence s’est fondée sur la piraterie et l’esclavage.» Toutes les villes du Maghreb ont fondé leur prospérité sur la traite des esclaves chrétiens majoritairement européens. Plus d’1 million de chrétiens (dénombrement très lacunaire) ont été capturés, soit au cours de razzias sur tout le littoral méditerranéen (Italie, Espagne, France), soit au cours d’attaques de navires marchands ou militaires. Les trois quarts étaient des marins et des paysans pauvres. Tout comme les esclaves noirs dans le Nouveau Monde, les esclaves blancs étaient vendus aux enchères comme du bétail, parfois pour le prix d’un oignon. Si les plus fortunés pouvaient espérer être libérés contre une rançon, les autres, notamment ceux qui se retrouvèrent galériens, ont dû endurer des années d’asservissement, d’humiliation et de conditions de captivité inhumaines : 1/6 des esclaves capturés mourait chaque année. Car contrairement aux affirmations des historiens - naïfs ou très malhonnêtes - les propriétaires d’esclaves ne protégeaient leurs investissements en attendant un éventuel rachat par les familles, mais se comportaient, à l’égard de cette main d’œuvre d’origine modeste, bon marché et remplaçable, comme les esclavagistes du Nouveau Monde : à savoir qu’ « il est plus facile de remplacer un esclave mort que de le considérer comme un investissement ». Toutefois, une partie de ces captifs pauvres purent être rachetés grâce aux opérations de rédemptions organisées par les différents ordres religieux chrétiens, au prix de nombreuses collectes, taxes, etc… Pour les pays concernés, ces sommes, déboursées pour le rachat des esclaves et pour les fortifications rendues nécessaires par les raids côtiers incessants, pesèrent en termes d’investissements perdus, de projets de développements annulés. Les raids esclavagistes ont provoqué la désertification des littoraux, la ruine de villages entiers et l’impossibilité de faire fructifier un territoire. Non seulement les corsaires esclavagistes enlevaient durablement les forces vives d’un pays, mais « ils modifiaient les rapports de propriétés à l’intérieur d’une communauté » : en effet les familles victimes de ces raids, souvent autosuffisantes devenaient du jour au lendemain privées de revenus, appauvries et vulnérables.

@@patrickatlan3273 un peut d respect pour L'homme pas d'insulte !!!

@@bbrahim6973 Il n'est en rien un historien mais omet délibérément des pans entiers de l'histoire afin de se complaire dans ses inepties. Sans omettre ses approximations, sa grille de lecture partisane et souvent sectaire. L’historien musulman Firishta [de son nom complet Muhammad Qasim Hindu Shah, (1560 -1620) auteur de Tarikh-i Firishta et du Gulshan-i Ibrahim fut le premier à donner une idée du bain de sang médiéval que subit l’Inde durant la loi islamique. Il estima que plus de 400 millions d’Indiens furent massacrés pendant l’invasion et l’occupation islamique de l’Inde ». À l’heure où il n’est question que de repentance à sens unique pour accabler l’homme blanc coupable de tous les maux, à l’heure où Macron salit l’œuvre civilisatrice de la France, assimilant l’épopée coloniale à un crime contre l’humanité, il est temps de changer de registre et de rappeler comment se sont comportés les Arabes au cours de leurs conquêtes. Les massacres et atrocités perpétrés par l’État islamique ne sont que la survivance des comportements barbares qu’ont eus les Arabes au cours de l’Histoire. Quand la force est du côté de l’Islam, c’est le retour du jihad conquérant. Car si la Shoah, ainsi que les génocides vendéen, arménien et cambodgien restent gravés dans la mémoire collective comme étant les atrocités les plus abominables de ces derniers siècles, peu de gens savent que les Arabes sont coupables du plus grand génocide de tous les temps. Il s’agit de l’invasion et de la colonisation de l’Inde. C’est en 632 que les Arabes lancent leurs armées à la conquête du monde, semant la terreur et la désolation sur les terres conquises. « On dispose aujourd’hui de sources non arabes pour décrire la réalité de ces invasions. Les chroniqueurs des pays conquis, Syriens, Byzantins, Perses, Égyptiens, Arméniens, contemporains de ces conquêtes parlent de « glaive barbare et sauvage des Arabes, dégainé et plein d’une cruauté véritablement diabolique ». Ou encore « l’armée dévastatrice des Arabes qui pillent les villes, qui mettent le feu aux maisons, qui tuent les hommes et qui emmènent les femmes et les enfants en captivité ». « Les Arabes saccagent et brûlent les villages… et se vantent de vouloir dominer le monde en imitant sans retenue leur chef Mahomet ». Mais c’est en Inde que la fureur du jihad s’est exprimée de la manière la plus barbare, les musulmans n’ayant aucune tolérance pour les religions polythéistes. En fait, la conquête de l’Inde a commencé avec les Arabes au VIIIe siècle, s’est poursuivie avec les Turcs et les Afghans et s’est terminée avec les Moghols au XVIe siècle, apogée de l’expansion musulmane en Inde. La conquête de l’Inde fut une colonisation génocidaire. « L’historien musulman Firishta [de son nom complet Muhammad Qasim Hindu Shah, (1560 -1620) auteur de Tarikh-i Firishta et du Gulshan-i Ibrahim fut le premier à donner une idée du bain de sang médiéval que subit l’Inde durant la loi islamique. Il estima que plus de 400 millions d’Indiens furent massacrés pendant l’invasion et l’occupation islamique de l’Inde ». « Les survivants étaient réduits en esclavage et les mâles castrés. La population indienne était initialement estimée à près de 600 millions d’individus. Vers le milieu du XVe siècle, elle était tombée à 200 millions ». Ce génocide a duré 800 ans, ce qui explique son ampleur. « La conquête de l’Inde par les mahométans est probablement l’épisode le plus sanglant de toute l’Histoire. Les historiens islamiques, les érudits, ont écrit avec la plus grande joie et fierté le massacre des Hindous, les conversions forcées, l’enlèvement des femmes et des enfants vers les marchés d’esclaves ainsi que la destruction des temples menée par les guerriers de l’islam entre les années 800 et 1700 après J.-C. Des millions d’Hindous furent convertis à l’islam par l’épée durant cette période. »

Ce piètre journaliste excellant dans un poujadisme de bas niveau et piètre idéologue, omet totalment ce pan de l'histoire humaine. La traite des Noirs d'Afrique par le monde arabo-musulman a duré 13 siècles. Cette traite a concerné dix-sept millions de victimes tuées, castrées ou asservies, pendant plus de treize siècles sans interruption. Les razziés étaient contraints de traverser le désert à pied pour rejoindre le Maghreb, l'Égypte ou la péninsule Arabique via Zanzibar, par bateaux... Pourtant, cette traite négrière a été minimisée, contrairement à la traite occidentale vers l'Amérique. Pourquoi ? Parce que seule la conversion à l'islam permettait d'échapper à l'esclavage, mais n'a pas épargné les Noirs. Toutefois, de nos jours la majeure partie de l'Afrique est devenue musulmane, d'où une forme de fraternité religieuse entre le côté "blanc" et le côté "noir" du continent, et une volonté commune de "voiler" ce génocide Esclavage invisible, parce que les historiens et autres « intellectuels » n’ont eu de cesse, pendant longtemps, de minimiser l’importance de l’esclavage pratiqué par les musulmans, voire de le dédramatiser (!!!), démontrant une fois de plus que « l’histoire n’est bien souvent qu’une projection sur le passé des débats politiques contemporains ». Pourtant, « la proportion d’esclaves européens représentait un quart de la population d’Alger, ville dont l’existence s’est fondée sur la piraterie et l’esclavage.» Toutes les villes du Maghreb ont fondé leur prospérité sur la traite des esclaves chrétiens majoritairement européens. Plus d’1 million de chrétiens (dénombrement très lacunaire) ont été capturés, soit au cours de razzias sur tout le littoral méditerranéen (Italie, Espagne, France), soit au cours d’attaques de navires marchands ou militaires. Les trois quarts étaient des marins et des paysans pauvres. Tout comme les esclaves noirs dans le Nouveau Monde, les esclaves blancs étaient vendus aux enchères comme du bétail, parfois pour le prix d’un oignon. Si les plus fortunés pouvaient espérer être libérés contre une rançon, les autres, notamment ceux qui se retrouvèrent galériens, ont dû endurer des années d’asservissement, d’humiliation et de conditions de captivité inhumaines : 1/6 des esclaves capturés mourait chaque année. Car contrairement aux affirmations des historiens - naïfs ou très malhonnêtes - les propriétaires d’esclaves ne protégeaient leurs investissements en attendant un éventuel rachat par les familles, mais se comportaient, à l’égard de cette main d’œuvre d’origine modeste, bon marché et remplaçable, comme les esclavagistes du Nouveau Monde : à savoir qu’ « il est plus facile de remplacer un esclave mort que de le considérer comme un investissement ». Toutefois, une partie de ces captifs pauvres purent être rachetés grâce aux opérations de rédemptions organisées par les différents ordres religieux chrétiens, au prix de nombreuses collectes, taxes, etc… Pour les pays concernés, ces sommes, déboursées pour le rachat des esclaves et pour les fortifications rendues nécessaires par les raids côtiers incessants, pesèrent en termes d’investissements perdus, de projets de développements annulés. Les raids esclavagistes ont provoqué la désertification des littoraux, la ruine de villages entiers et l’impossibilité de faire fructifier un territoire. Non seulement les corsaires esclavagistes enlevaient durablement les forces vives d’un pays, mais « ils modifiaient les rapports de propriétés à l’intérieur d’une communauté » : en effet les familles victimes de ces raids, souvent autosuffisantes devenaient du jour au lendemain privées de revenus, appauvries et vulnérables.