Solstice à Bugarach est un court métrage artistique de 10 minutes réalisé par François Joly (Vasudeva) et Oum-hani Chkounda / Sujet : la Montagne du Bugarach
L'intention première est de faire connaître la Montagne du Bugarach mais aussi d'en dévoiler son atmosphère mystérieuse et envoûtante. Concrètement, le film retrace et suit la montée du Pic du Bugarach par un groupe d'amies, lors du solstice d'été 2015, avec le rituel du coucher du soleil / levé du soleil / pleine lune, et finit à la Source des Amours où une jeune femme se baigne et s'offre à l'eau jaillissante de la source. Dans une grande simplicité, ce film vient s'inscrire dans un autre espace temps révélant par son souffle lent et poétique, le rythme même de cette Montagne qui a fait couler beaucoup d'encre... Ce film ne s'inscrit dans aucun parti pris ésotérique ou religieux mais laisse la Montagne elle même offrir son message d'harmonie, de paix et d'unité.
François Joly a commencé sa carrière en 1989 avec son film Timeless Village Of The Himalayas, qui remporta à Hollywood le AVC Award, organisé par l’American Film Institute et Billboard . François a depuis produit une cinquantaine de films documentaires, courts et long métrages en Anglais. Un expat pendant 40 ans, il vit depuis 2015 dans sa ville d’origine de Montpellier.
Oum Hani Chkounda est une artiste lyrique qui a vécu de longues années à Bugarach. C’est une chanteuse hors pair de chants méditatifs souvent improvisées, qui constituent la bande sonore de Solstice à Bugarach. Sa rencontre et collaboration avec François a trouvé résonnance et a donné naissance à leur premier film qui ne sera sans doûte pas le dernier.