Avec plaisir :)

Avec plaisir :D

Merci à vous

Le "métier" d'ingénieur va au-delà de la gestion de projet, car un ingénieur intervient sur la création/architecture du produit en lui-même. Ce que ne fait pas un chef de projet qui s'occupe, avant tout, de toutes les étapes du projet, comme la gestion des activités de l'équipe pour réaliser le produit, du budget, des délais, ou d'assurer que la qualité demandée soit respectée. Les deux profils travaillent donc ensemble, et doivent se comprendre. Mais pour la gestion de projet, c'est une activité transverse, donc elle s'applique sur tous les domaines existants. Informatique, BTP, marketing, RH, etc. Et tous les profils doivent avoir des connaissances en gestion de projet.

Avec plaisir. :D

Merci à vous de l'avoir suivi. ^^

Merci à vous :D

Et merci à vous pour votre commentaire. :D

Si c'est dans le domaine du BTP, non, malheureusement. Il est très difficile d'appliquer ce type d'organisation sur ce genre de projet. On peut fonctionner avec des itérations pour la réalisation de plan, par exemple. Mais les approches Agiles ont été conçu, avant tout, pour des produits "immatériels", typiquement les logiciels. Avec pour objectif de livrer au plus tôt, et de faire, ensuite, de l'amélioration continue grâce au retour de l'utilisateur qui pourra se servir des fonctionnalités dès sa livraison. On peut aussi l'appliquer sur d'autres types de produits, comme des stratégies de communication et marketing, ou la mise en place de nouveaux services (objectif à atteindre tous les mois, puis on améliore, en fonction des résultats en fin de mois) Et, de manière naturelle, les gestionnaires de paies fonctionnent avec ce process : établissement des objectifs en début de mois, définition des tâches en fonction des entrées, sorties, et les différents paiements nécessaires à effectuer (primes, maladie, congés, etc.). Puis réalisation des fiches paies, avant de passer aux paiements, en fin de mois. Et on recommence le mois suivant, indéfiniment. Ce mode de fonctionnement reste adapté pour certains types de produit, mais pour d'autre, où cela nécessite d'avoir un produit finalisé avant de pouvoir le mettre en production, ou livrer au client, c'est très compliqué à appliquer.

@@projectitpodcast Merci pour votre réponse. Les ingénieurs vendent des concepts, des plans, et des cahiers de soumission. Il doit y avoir une application possible. Ce sont en partie des produits immatériels, contrairement aux entreprises de montage qui posent le matériel.

Les plans peuvent avoir plusieurs versions, typiquement le cas avec un cahier des charges, avant qu’il ne soit validé. Mais il faudra une approbation « définitive » avant de passer à la livraison. Car on ne passe pas à la réalisation avant d’avoir un plan de référence. Et on ne pourra pas l’améliorer en profondeur (on peut toujours l’ajuster si besoin et si possible, mais pas d’amélioration profonde en plein milieu de la livraison). En véritable approche agile, on n'attend pas la finalisation d’un produit pour passer à la livraison. On fonctionne par « briques », qui pourront être utilisées directement après la livraison, parfois même dès les premiers jours. Par la suite, on ajoute d’autres « briques » pour constituer, petit à petit, un produit complet et mature. Et on peut faire ça, en théorie, à l’infini. Cela permet de pivoter pendant la conception/réalisation du produit, de s’adapter à des besoins émergeant ou qu’on n’avait pas détectés dès le départ, et d’impliquer le client/utilisateur dans la conception grâce à son feedback récurrent. C’est généralement très pratique quand on a une vision imparfaite de ce que devrait être le produit et qu’on doit faire du test and learn avant de livrer quelque chose de totalement opérationnel, sans perdre trop de temps sur des phases de « prototypage » qui peuvent parfois être longues. Mais ça ne s’adapte pas à tous les genres de produits et à tous les contextes.

Merci énormément pour votre commentaire qui me pousse à continuer. Je comprends tout à fait pour la partie en anglais. Pour les termes que j’explique à 1h30m, ils sont spécifiques au framework SAFe, et il n’existe pas de traduction officielle. Je pourrais en faire un traduction littérale mais qui n’aurait aucun sens. Cependant, je vais tâcher de pousser mes explications sur les termes qui ne peuvent pas être traduits. Je vais continuer à proposer du contenu. Et en proposer certains plus courts, mais sur des cas d’études plus spécifiques, adaptés à des contextes pour des projets de TPE, par exemple. Merci encore pour votre soutien. 😀

❤

Merci pour votre retour. :) Le lien est en description, je vous le donne directement dans ce commentaire : onedrive.live.com/?authkey=%21ACtyWm61FpRPXd0&id=229719899153DBB4%2135848&cid=229719899153DBB4&parId=root&parQt=sharedby&o=OneUp

Avec plaisir! ^^

Avec grand plaisir. :D

C'est une très bonne description. 👌

C’est moi qui vous remercie pour votre commentaire. 😄

Merci 😊

Avec plaisir 👍

👍

Avec plaisir. ^^

Merci à vous. :)

Merci à vous ! :D

Vous retrouverez tous les liens des modules dans la description de chaque vidéo. Je vous le rajoute dans ce commentaire. onedrive.live.com/?authkey=%21ACtyWm61FpRPXd0&id=229719899153DBB4%2135848&cid=229719899153DBB4&parId=root&parQt=sharedby&o=OneUp

Je ne dis pas qu'il faut allonger le délai parce qu'on n’a pas de budget. J'explique que si on n'a pas beaucoup de budget, on n'aura pas énormément de ressources, sous-entendu de main-d'œuvre ou de matériel, pour obtenir un certain niveau de qualité demandée. Mais cela reste valable pour des projets non prioritaires. Donc, si on a que trois personnes dans notre équipe parce qu'on n'a pas d'argent, mais qu'on a un projet à réaliser qui exige un minimum de qualité livrée, on va devoir allonger le projet dans le temps pour bien répartir les tâches de chacun pour éviter qu'ils se retrouvent en surcharge dus au manque de main-d’œuvre. Afin d'obtenir la qualité demandée dans un temps raisonnable. Et le périmètre est défini avant tout via la qualité que l'on souhaite obtenir. Donc les tâches qu'on va devoir effectuer pendant le projet pour obtenir cette qualité, mais aussi ce que l'on ne fait pas. Mais cela ne détermine pas le budget nécessairement. Selon le projet, un petit périmètre peut demander beaucoup d'argent, ou finalement très peu. Si on doit changer du matériel ancien par du matériel plus performant qui coûte cher, mais que cela ne nécessite pas forcément beaucoup de tâches de la part de notre équipe, le périmètre de notre projet sera réduit, mais le coût dépensé pour acheter le matériel peut être élevé, conséquence d'une qualité demandée qui est élevée.

Merci à vous. :D

Avec plaisir. ^^

Merci à vous pour votre précieux retour. :D

Merci beaucoup. :D

Dans ce contexte, la réussite du projet dépend avant tout de sa planification et de sa gestion. Lorsque le budget est limité, la main-d'œuvre employée le sera forcément. Prolonger la durée des travaux permet de répartir équitablement les tâches entre les membres de l'équipe, et leur éviter une surcharge de travail. Il faut donc planifier qui fait quoi, mais aussi en combien de temps. Ainsi, on peut mieux gérer l'activité de l'équipe, et donc l'utilisation du budget associé. De plus, il faut concentrer les efforts sur les tâches prioritaires du projet afin d'obtenir un bénéfice minimum. On ne pourra pas tout faire avec très peu de budget, il en va de soi. Mais avant de lancer le projet, il est indispensable de définir clairement son périmètre pour estimer un budget initial adapté aux objectifs à atteindre. Toutefois, il faut savoir rester réaliste : exiger une qualité irréalisable avec des moyens très limités peut compromettre son succès. Dans ce cas, il vaut mieux reporter le lancement du projet jusqu'à ce que les ressources nécessaires soient disponibles, voir l'annuler complètement, plutôt que de risquer de dépenser du temps et de l'argent pour rien. Tout est histoire d'objectif à atteindre, du niveau de qualité nécessaire, et du périmètre.

Merci à vous

Merci. :)

Avec plaisir. Vous avez le lien dans la description. Je vous le donne, au cas où : onedrive.live.com/?authkey=%21AMKHcxQY%2DZ8v3wM&cid=229719899153DBB4&id=229719899153DBB4%2126685&parId=229719899153DBB4%2120479&o=OneUp

Merci à vous. Vous pouvez regarder mes autres vidéos si ce n'est pas encore fait, mais si vous souhaitez vraiment continuer à apprendre, il existe bon nombre de contenu et de livre pour mettre en pied dans le domaine. Pour cela, je vous conseille quelques ressources : Pour un contenu plus généraliste, vous pouvez lire la dernière édition du PMBoK, qui traite le management de projet en général, avec une partie sur les approches adaptatives issues d'Agile. www.amazon.fr/standard-management-connaissances-Management-Knowledge/dp/1628256834/ref=sr_1_5?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&crid=3ECAJTUSG15TY&keywords=pmbok+7&qid=1672325109&s=books&sprefix=pmbok+7%2Cstripbooks%2C91&sr=1-5 Si vous souhaitez passer une réelle formation en ligne, vous pouvez regarder ce que propose le PMI (Project Management Institut) qui rédige ce PMBoK ou bien chez Axelos avec la certification PRINCE2 qui base leur pratique sur le PMBoK. Axelos propose également des formations sur ITIL pour l’informatique. Sur la partie Agile : Le livre sur Scrum de Claude Aubry www.amazon.fr/Scrum-Pour-pratique-vivante-lagilit%C3%A9/dp/2100828290 Les chaines KZfaq ScrumLife et La minute Agile qui sont très bien faites, avec beaucoup de contenu intéressant. kzfaq.info/love/MCnZGIOeLVO65-LBxkkHyQ www.youtube.com/@LaMinuteAgile En espérant que cela vous aide. :D

Merci beaucoup pour ce commentaire. Du courage, il en faut, mais on y arrive. :D

Merci pour ce retour ! :)

Merci beaucoup. :)

Un grand merci !

Ravi d'avoir pu vous aider. :D

Merci à vous. :)

Bonjour. Merci beaucoup pour votre retour. Pour votre projet étudiant, le plan que j'explique durant la phase du cahier des charges peut être utilisé, mais il faudra l'adapter. C'est un plan générique, mais qui reste une bonne base pour démarrer. Pour résumer : - Expression du besoin / Problème à résoudre. - Objectif à atteindre et bénéfices attendus - Description fonctionnelle du produit - Description technique du produit qui rentre en correspondance avec la description fonctionnelle - Comparatif, choix, et descriptif des solutions retenues - Planification pour le déploiement Et si vous devez mettre en application votre projet, et montrer des résultats, cela peut intervenir juste après la planification. Puis finir par une conclusion. Si vous le souhaitez, je propose du coaching pour ce genre de problématique. Nous pouvons, dans un premier, en discuter avec un rendez-vous gratuit, et voir si je peux vous aider. :) Donc n'hésitez pas à me contacter sur mon LinkedIn ou directement depuis le formulaire de mon site.

Avec plaisir :)

Merci beaucoup ! Bien sûr, voici le lien : 1drv.ms/b/s!ArTbU5GJGZcigpgIK3JabrUWlE9d3Q?e=YqbhB0

C'est moi qui vous remercie ! :D

Avec grand plaisir =)

Merci à vous. :D

Je vous empris monsieur

Si elle a pu vous aider, j'en suis vraiment heureux. Merci beaucoup pour votre retour.

😊😊😊😊😊😊😊q!1😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊😊​@@projectitpodcast

Merci à vous. :D

Merci à vous. :)

Bonjour. Pour répondre à votre question, le Waterfall est un modèle pour cadrer et suivre toutes les étapes d'un projet. Il permet un contrôle à la fin d'une étape pour ensuite passer à la suivante, et cela jusqu'à la fin du projet. En cela, on ne livre la solution complète et finalisée qu'à la dernière étape du Waterfall pour passer sur une phase de maintenance et support. L'utilisateur ne voit pas le produit avant sa livraison définitive. Cependant, c'est un modèle qu'il faut adapter au contexte. Et cela à donné naissance à certaines méthodes dans des environnements spécifiques (MERISE pour l'informatique, GPP d'Airbus pour l'aéronautique et l'industrie). Le Waterfall permet de bien cadrer toutes les étapes, notamment parce qu'on sait la direction que l'on va prendre, le produit que l'on va développer, et pour bien répartir puis gérer le budget nécessaire à la réalisation du projet. Et cela pour chaque étape. L'itération est avant tout un cycle de développement du produit. Là où le Waterfall cadre le projet dans sa globalité pour donner une vision complète sur des aspects de gestion de projet (gestion du budget, des ressources, des risques, de la communication, etc.). Avec des itérations, on enchaîne les phases de développement pour obtenir un produit. Chaque fin d'itération emmène des tests (technique, fonctionnel, performance, avec l'utilisateur, etc.) pour voir si les objectifs fixés en début de projet en terme de qualité sont atteints. Sinon, on repart sur une itération pour améliorer le produit, jusqu'à l'atteinte des objectifs. Généralement, une itération de développement reste la plus courte possible, mais il n'est pas rare de devoir enchainer des itérations de plusieurs semaines à plusieurs mois. C'est le cas dans le domaine industriel au Japon pour réaliser des pièces avec "zéro défaut" (très employé par Toyota.) En soi, rien n'empêche d'utiliser une approche Waterfall avec des phases de développement par itération. On peut très bien rédiger un cahier des charges avec la liste des objectifs à atteindre, et développer les éléments du produit par itération, car les itérations se retrouvent dans les phases "conception/déploiement/validation" du Waterfall. Les itérations vont apporter cette souplesse dans le développement et permettre de livrer un produit de meilleur qualité que si on l'avait développé en une seule fois, sans tests de validation intermédiaire pendant les étapes. Et, généralement, c'est ce que font beaucoup d'entreprise. Car comme le Waterfall est un modèle, on peut très bien le moduler dans ces étapes pour en définir leur gestion. J'espère avoir été suffisamment clair et avoir répondu à votre question. :)

@@projectitpodcast merci beaucoup. En gros les 2 se font par séquence ou en jalon sauf que en waterfall le client ne voir que la fin alors qu’en itération souvent le product owner participe à chaque revu avant la rétrospective. Si je comprends mieux

Initialement, en Waterfall, la mise en œuvre se faisait en une seule fois, sans livraison ou validation intermédiaires. Bien évidemment, il y a d'énormes limites à cela. Mais comme le Waterfall ne reste qu'un modèle, on peut adapter sa structure. Et c'est comme cela que les entreprises, en fonction de leurs contextes, en sont venues à structurer les phases de conception/déploiement/validation en livrables avec des jalons et/ou avec des itérations. Cela permet au client/utilisateur de voir les avancées, et d'éviter ce qu'on appelle "l'effet tunnel". Airbus, avec son GPP, a minutieusement découpé les phases de conception, et de mise en œuvre, par itération. Mais l'utilisateur n'aura son produit que lorsqu'il sera terminé et qu'il aura validé tous les tests (fonctionnels, techniques, etc.). Voici un lien du schéma pour la méthode d'Airbus. On peut y voir les boucles d'itérations dans les phases Concept, Solution Definition et Solution Development : docplayer.fr/docs-images/44/23249179/images/59-0.png Lorsqu'on fait des itérations seules, il n'y a pas de livraison à la fin d'une itération. Juste des tests de validation pour voir si les objectifs sont atteints. Sinon, on continue les itérations jusqu'à ce que le produit réalisé les atteigne. C'est ce que fait Toyota dans une approche Lean avec la construction de ses voitures. Lorsqu'on est sur une approche vraiment Agile, il y a une livraison à la fin de chaque itération si possible (itération + incrémentale). Généralement, c'est une fonctionnalité très précise (incrément) qui est rendue accessible très rapidement, ce qui fait que les itérations sont très courtes (1 mois maximum). On reste dans une amélioration continue du produit qui, en théorie, pourra évoluer à l'infinie. Mais tout produit a un cycle de vie. Et, un jour, il sera obsolète, il faudra le sortir de son environnement, le "recycler", et le changer. Mais grâce à une approche Agile, on pourra livrer plus rapidement, régulièrement, améliorer le produit en impliquant l'utilisateur, et mieux prolonger le cycle de vie de produit grâce à cette amélioration continue. Mais comme je l'explique, les itérations, suivant le contexte, ne veulent pas forcément dire "livraison" à la fin. On est simplement dans une démarche de livrer un produit terminé et complet, mais qu'on va développer graduellement. Si on est vraiment dans une approche Agile, il y aura une livraison à chaque fin d'itération, et l'utilisateur pourra y avoir accès. J'espère avoir été assez clair. :)

Merci Julien ! Il faudra qu'on en refasse une, en vidéo également. ^^