Etre "soi-même" quand on a un syndrome de l'imposteur ?

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Marie-Anna Morand

Marie-Anna Morand

Күн бұрын

Je t'explique dans cette vidéo s'il est vraiment possible d'être "soi-même quand on a un syndrome de l'imposteur.
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/ @marieannamorand
Bienvenue dans la communauté des porteurs de projet singulier(s), celles et ceux qui veulent faire de leur vie professionnelle une occasion de grandir, d'inventer leur place, d'exprimer leur pouvoir d'agir et de réussir autrement : à leur manière et avec style !
Dans cette vidéo, tu vas découvrir que l'envie de trouver qui on est, de révéler son identité, de transcender son être et de devenir la meilleure version de soi-même relèvent d'un modèle philosophique qui entretient le syndrome de l'imposteur au lieu de permettre de débloquer son pouvoir : Plus on court après son identité, son essence, dans l'espoir de savoir qui on est vraiment, plus on entre dans une démarche déterministe qui enferme au lieu de permettre d'inventer ta place et de mener à bien ses projets.
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Пікірлер: 11
@gwengerard250
@gwengerard250 2 жыл бұрын
Merci Marie-Anna pour votre guidance tres tres tres éclaircissante
@marieannamorand
@marieannamorand 2 жыл бұрын
Je suis heureuse d'avoir pu vous être utile, Gwen. :)
@ocrabilis
@ocrabilis 7 ай бұрын
👍
@alainr008
@alainr008 Жыл бұрын
Vraiment intéressant et inspirant ... La réalité de l'identité se trouve certainement à mi chemin des 2 pistes exposées. Et c'est vrai que, vouloir briller parce qu'on se sent trop peu briller, c'est le serpent qui se mord la queue ... Surpression, impatience et jugements garantis !
@JibAaron
@JibAaron 3 жыл бұрын
Ayant quitté Quora depuis plusieurs mois pour des raisons personnelles, je suis content d'être tombé sur votre chaîne KZfaq, la voix et le style apportés font du bien à entendre, c'est habité. Pas exactement les mêmes sujets mais je suis régulièrement les vidéos de Victor Ferry, j'apprécie de vous deux cette façon de faire vivre les valeurs et connaissances véhiculées : elles ne sont pas imposées bien que persuasives, elles invitent à une certaine mélodie qui déride la seule pensée pour en faire du mouvement ; et j'apprécie GRANDEMENT ça. Je vois ça comme l'idée d'épouser son pouvoir, donner corps à ses ambitions ou prendre sa place comme vous avez pu l'évoquer. Des choses qui me questionnent énormément - tous les écueils énoncés autour de la recherche du soi, je les ai rêvés au minimum et le mur fut souvent à nouveau, et vite, rencontré. Aussi bien la normalité "globalisante" que l'individualisme révolté. Aujourd'hui, je me sens désemparé dans ma posture. Je suis depuis plus d'un an responsable de boutique. Le commerce ne m'a jamais animé ; il fallait bien me nourrir indépendamment et ce secteur a pour porte d'entrée fort peu de diplômes. Le leadership n'a jamais été non plus un Graal à mes yeux, je le visualise même comme une boite de Pandore (ce qui en dit long sur mon rapport au pouvoir et les contradictions inhérentes à cette vision aussi bien fruit de mon passé personnel que de la culture ambiante). En parlant de culture, celle de mon entreprise finit de me dégoûter. Je commençais à prendre plaisir à mon poste. Mon équipe était stable, loyale (même trop mais j'y reviendrai), dans un mouvement plutôt agréable car point en circuit fermé. On pouvait parler sans trop de tabous de nos avenirs professionnels et s'il y a bien une chose qui me motivait, c'était de pouvoir leur être utile comme catalyseur. Un guide non directif pourrait-on dire, et aussi un complice, surtout, qui apprenait d'eux. J'ai un rapport assez horizontal avec mon équipe et la verticalité s'exprime principalement face à mes supérieurs qui eux ne sont pas en magasin. Je suis un peu le tampon, souvent bouclier, parfois épée mais rarement, le conflit est mal géré chez moi, je le fuis. Personne n'aime le conflit, au-delà de le détester, je le crains plus que la moyenne... mais j'ai appris à y aller si besoin et avec la possibilité de trouver échange constructif. Même sur ça je me suis étonné... bref, ce job m'apportait. Nous avons subi un braquage à main armée il y a peu, la réaction de l'entreprise fut légalement correcte. La réaction verbale de mon supérieur direct m'insupporte au plus haut point. Cette manière de considérer les chiffres plutôt que le bien-être m'exaspère, les petites phrases qui se permettent de douter de la souffrance d'un collègue qui prend un arrêt, demander si X a passé de bonnes vacances après un accident de travail, instaurer une compétition de poste alors que c'était à MOI de gérer ça pour instiller une ambiance délétère... toutes ces petites choses m'exaspèrent et étant transparent avec mon équipe, je ne leur cache pas l'amertume. Mais je n'embrasse pas une certaine révolte pour autant. Je garde pour moi. Puis je finis par craquer. Le braquage remonte à 10 jours puis, nous avons eu une réunion d'équipe mardi avec une psychologue. Je me suis rendu compte que par ma passivité je générais aussi une relative impuissance chez mes gars. Celui qui n'habite pas son autorité n'instaure pas une confiance suffisante. Comme un parent avec son gosse. Je ne cherche pas à me démolir le moral ou l'égo en disant ça, je pense être objectif et non agressif, c'est un état de fait que je reconnais et dont je ne minimise pas les difficultés : ça m'est très énergivore. Mais voilà, je craquai à force de les entendre dévoiler leurs douleurs collectives, comme si nous l'avions tous un peu vécu à la place de notre collègue. Quand trois commencèrent à promettre de revenir au plus vite car ils ont du respect pour moi, ça m'a culpabilisé. Je leur ai dit, sans réaction. Je ne comprenais pas pourquoi ils parlaient autant loyauté alors qu'il faut d'abord penser à soi pour être utile à la communauté. En entretien individuel, la psychologue m'explique que ma position est unique et probablement compliquée à gérer, un tampon. Certes, qu'importe, je n'écoutais pas vraiment, je "savais déjà" comme elle disait. Elle avait raison, j'ai cette tendance à "tout savoir" pour faire face, une défense assez vieille chez moi qui ne signifie pas que je sais tout, mais une relative prévention de mon confort mental que de croire que je contrôle, ne pas risquer de paraître "idiot". Bref, je m'égare. Elle a bien compris que l'important pour moi c'était mes collègues, que j'étais bienveillant. Quelques couches de pommades de sa part (elle eut tous mes autres collègues en entretien auparavant) pour dire que j'avais crée un noyau très solide, que ça n'était pas donné à tout le monde et qu'on sentait qu'ils se sentaient impliqués dans ce que j'essayais de bâtir. Bien. Puis elle me fait part d'une grande contradiction en partant de ma volonté primordiale de leur être utile ; elle se met à ma place, dans mon référentiel. "Vous leur demandez de prendre soin d'eux, d'avant tout penser à leur bien-être car la boite continuera toujours à tourner et qu'ils seront plus utiles en forme, donc, vous ne voulez pas entendre parler de loyauté car elle est mal placée. Mais savez-vous pourquoi elle se positionne mal, cette notion de loyauté, même si sincère ? Vous ne vous aidez pas vous-même. Vous restez seul avec vos sentiments, votre poste vous pousse à cela, j'entends. Vous voulez montrer l'exemple, être le capitaine qui ne quitte pas le navire disiez-vous ? Mais le navire est déjà coulé vu ce que j'ai entendu, à quoi ça servirait de couler avec ? Prenez, vous aussi, les bouées de sauvetage et là vous serez un bon exemple pour eux. Tant que vous ne soignez pas votre épaule car vous avez peur d'être vu faible, lâcheur, vous ne les aidez pas et votre discours est contraire à votre action. Arrêtez. Posez-vous. Vous ne pouvez pas leur demander de prendre soin d'eux et ne pas le faire vous-même. Vous êtes humain et je ne sais pas comment vous supportez ça. Mais ce n'est pas parce que vous avez, je cite, "vécu bien pire" que vous devez encaisser toute votre vie. Un jour vous allez vous réveiller sans pouvoir vous lever. Et vous n'aurez même pas aidé vos collègues par "le bon exemple" que vous dites temps devoir représenter".
@JibAaron
@JibAaron 3 жыл бұрын
Cette dernier phrase a fini de me secouer. Ainsi que mon chef qui dit plus tard que c'était une mauvaise idée ces réunions psychologiques... (soupir) On peut juger et chercher pourquoi ça m'importe tant ces histoires d'être bon pour eux, mais le fait qu'elle ait bien pointé "l'absurdité" de ce que je souhaite réaliser, ça m'a suffit à prendre enfin un arrêt et réfléchir sérieusement à quoi faire de ma vie. J'avais déjà une boule au ventre de savoir sur quel connard j'allais croiser au travail - car l'insécurité augmente depuis quelques mois et on a déjà eu des agressions mineures dont des armes blanches, sans obtenir de vigile pour autant - mais avoir en plus du dégoût pour une hiérarchie qui a de la malveillance envers nous (la psychologue a elle-même décrié un sacré bourbier managérial) c'en est trop. Je ne suis pas assez fort ou motivé pour être moins dans le jugement pour être le chef de fil de poursuites ou de syndicalisation. Je ne suis pas prêt à ça, ma propre santé mentale n'est pas brillante et le boulot représentait ma seule bouffée d'air actuelle ; une erreur que de tout mettre dans le même panier, certes. Je ne suis pas assez prêt pour répondre ni les protéger, mais je comprends que je dois commencer par moi-même si j'espère un jour vraiment apporter. Puis je n'ai pas à les protéger, enfin jusqu'à une certaine limite... syndrome du sauveur, un peu, moui, mais ce travail m'a aussi aidé à différencier mieux ce qui dépend de moi et ne dépend pas de moi. Alors si on me demande quel projet j'aimerais apporter pour le bien commun, qui me tient à cœur, ça serait de considérer l'humain comme il est et non le réduire à un pion remplaçable ; un fléau idéologique dans le commerce de proximité où le "Y en a dix derrière qui prendront ta place" règne. Ils nous parlent de fidéliser la clientèle mais ils ne fidélisent pas même leur équipe. En un an 105% de l'effectif a changé et ils se demandent pourquoi malgré les valeurs marketing véhiculées. Qu'ils commencent par réaliser que s'ils veulent pérenniser leurs chiffres ils doivent faire un peu plus que le strict minimum légal pour accompagner leurs jeunes vendeurs. J'étais content de les avoir, ces vingtenaires ont tous un avenir dans les yeux, les voir animés il n'y a rien de plus beau. Ces échanges avec tout un chacun, connaître leurs parcours, échanger, c'est ça qui me faisait vivre avec le sourire mon travail. Je n'ai que quelques années de plus mais je me suis prouvé à moi-même que sans être un stéréotype je pouvais avoir un management bienveillant ; encore perfectible car la réalisation des objectifs n'est pas assez exploité, je manque encore d'une certaine poigne quand il faut : mais comment l'avoir quand le projet visé ne nous anime pas ? Alors plutôt que me juger moi, je retiens qu'il me faut un travail à la mesure de mes valeurs pour que je puisse m'embraser dans cette direction. Je me suis bien assez prouvé des choses et je ne regrette pas cet emploi : les rencontres m'ont forgé de vraies compétences et je sais avoir leurs estimes. Mais j'aimerais plus et si la philosophie de l'entreprise n'incite pas à ça, soit je trouve un moyen de changer les choses, soit je trouve autre chose. Agir. Bref, désolé du pavé, j'ai apparemment plus écrit pour moi que pour l'échange. Je ne sais pas vers quoi me diriger, mais il va me falloir réfléchir à ma vie et lui donner du crédit, arrêter de plonger dans les bras de mes démons qui crient que je ne suis rien, si je veux enfin être. Même pas être utile aux autres, car c'est encore une posture qui ne me donne pas totalement ma part d'humanité. Juste, être. Avec toutes mes nuances, mes contradictions, mes mues. Quel projet professionnel m'anime ? Trouver du sens, que les autres en trouvent via le petit médiateur que je peux être est un début de réponse. J'en ai assez de bafouer mes valeurs et renier mon pouvoir. Je dois l'embrasser. Peut-être ne serai-je plus chef et je m'en indiffère pour l'heure ; mais le jour où un projet m'animera, alors, je n'aurai plus de complexe à prendre ma place de meneur pour soutenir la cause si c'est dans celle-ci que je suis le plus utile ; attention à l'égo qui titille l'oreille, cela dit. ^^ Je dis juste que tout vient à point à qui sait bouger. Qu'importe ma place du moment que ça donne du sens. Bref, toute une vie pour ça ! En espérant que ça n'aura pas été trop brouillon, voilà mon projet encore trop flou pour m'orienter, mais c'est un début...
@marieannamorand
@marieannamorand 3 жыл бұрын
@@JibAaron Bonsoir, je suis heureuse de vous retrouver ici et vous remercie beaucoup pour votre témoignage. Absolument rien de brouillon, au contraire, je trouve que votre analyse de la situation est fine et claire. Vous avez traversé une période difficile, et vous avez raison sur le fait qu'il est temps d'embrasser votre pouvoir. Cette chaîne est précisément là pour ça et j'espère que vous y trouverez régulièrement de quoi alimenter votre processus de changement. Il est déjà bien amorcé, visiblement. Je vous souhaite un cheminement riche et stimulant, qui vous permettra d'être enfin en accord avec vos valeurs. Bonne soirée à vous.
@JibAaron
@JibAaron 3 жыл бұрын
@@marieannamorand Merci, Marie-Anna, je vous souhaite aussi plein de réalisations et vous suivrai pour sûr. Ce qui m'est brouillon c'est la première pierre concrète à poser, un rail pour entamer une reconversion "efficace", bien accompagnée. Du concret, administratif, etc., mais je vais m'entourer pour y arriver, parfois il suffit juste de prendre les mains tendues. Bonne continuation et au plaisir ! Pour un monde avec plus de sens pour tout un chacun. 👍
@marieannamorand
@marieannamorand 3 жыл бұрын
@@JibAaron Je vous remercie pour vos encouragements. Je vous souhaite de trouver la ressource dont vous avez besoin. Et si un jour vous avez envie de cheminer avec moi, il vous suffit de faire signe et on trouvera un moyen. A bientôt.
@JibAaron
@JibAaron 3 жыл бұрын
@@marieannamorand, bonjour à vous. Quelques jours que je réfléchis sans aboutir à des actions concrètes, j'ai contacté diverses personnes pour me conseiller des centres de bilan professionnel, des conseillers d'orientation, sans grand résultat effectif, sans la confiance qui me permette d'aborder tel ou tel organisme, puis... je viens de me dire que c'était l'un des enjeux majeurs de votre travail. En lisant la description sur votre profil linkedin, c'est même totalement ça. Il y a beaucoup trop d'éléments à estimer pour sereinement tisser, je pense que c'est de ça dont j'ai précisément besoin : une personne capable d'apporter articulation ; non que je sois désarticulé intrinsèquement, mais pas assez serein face aux démarches car ignorant du cheminement. D'où le besoin d'aide pour extraire de l'envie des plans d'action. Une épée sans foi se brise vite... il en va de même pour une volonté sans vision. Je suis aussi perclus d'un relatif fatalisme quand je me regarde (pas de diplômes, juste le bac, ce qui n'est pas le plus négligeable en France), mais il est temps de sortir du confort et de mes idées reçues pour avancer, vous aurez peut-être de bonnes pistes à me proposer, étapes par étapes, ne serait-ce qu'une manière d'augurer les choses pour sortir de la paralysie, ou étudier des plans concrets vers lesquels aller. Je me sens animé de changement (la base de toutes les personnes qui vous contactent), mais je connais suffisamment cet état pour savoir qu'il faut battre le fer quand il est chaud et ne pas se contenter des braises ; elles s'éteignent vite sans travail ni passion. Donc, oui, je vous envoie un signe. Ne serait-ce que voir si on peut faire un travail ensemble ou non : au moins je le saurai. Le nœud gordien est complexe, il y a beaucoup de scories à comprendre, des enjeux parallèles à examiner, des nécessités pécuniaires ou organisationnelles... mais je me sens prêt à déconstruire pour remodeler ; pas juste un travail, mais l'approche même que je m'accorde en tant qu'humain. La place que je m'accorde au sein de la société, mes valeurs et comment les nourrir au mieux, etc., etc. mon mail afin de poursuivre plus discrètement : neaj755@gmail.com Je vous souhaite un bon dimanche.
@yolandeannehumbert
@yolandeannehumbert 2 жыл бұрын
💞🙏
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