Exposé précis et concis

Bravo. J'adore ce genre de discussion savante où ls informations fusent. Excellent.

merci!! on en voudra toujours plus des interviews d'experts comme celle ci :D !

Remarquable et passionnant.

La guerre, une logistique, fait à rappeler sans cesse. La période septembre - décembre est très peu présentée en vulgarisation, merci à cet auteur d'avoir bien initié le sujet.

excellente interview ! claire et organisée, un vrai plaisir merci pour votre travail

Merci pour cette présentation, excellent!

Très intéressant 😊…

Passionnant

En ce qui concerne Berlin c'est une capitale très excentrée (aujourd'hui à la frontière polonaise) et sa prise allait coûter cher en vies humaines (200 000 Soviétiques). Il valait mieux sauver Prague, ce que Patton a fait.

Montgommery est bien ce que je croyais. Je découvre Patch et Devers. Patton est bien le héros que je pensais.

dans son livre " histoire secrète des maquis de l'ain " , patrick veyret avance qu'une des causes de l'échec des occidentaux a finir la guerre en 44 avait été le fait que les alliés avaient échoué à faire capituler la 19ième armée allemande notamment en ne bouchant pas la trouée de belfort assez tôt. et ce malgré les conseils des FFI sur place, qui connaissaient parfaitement la géographie ... ce relatif échec anglosaxon serait également a analyser dans son aspect politique et stratégique globale : on peut supposer en effet que l'année 44 marque le début de la guerre froide ou pour le moins la fin de la grande alliance entre occidentaux et soviétiques. les premiers se rendant à l'évidence de l'ampleur des gains russes en europe de l'est. en asie, alors que durant l'été 44, les américains envisagent de collaborer avec les communistes de mao ( c'était le but de la mission dixie ), voir de débarquer en chine du nord afin d'avoir un tremplin pour envahir le japon, à partir de l'automne, tous les américains en poste en chine et qui avait pris par à cette stratégie sont limogés les uns après les autres et finalement, les américains décideront d'attaquer okinawa, territoire japonais où ils perdront un nombre considérable de combattants, au printemps 45.

La forces aériennes tiennent une place essentielle aussi pour vaincre et est aussi spécifique à l'époque, de concert avec les forces terrestes, en combinaisons tactiques et en stratégie, en cela par l'importance des moyens disponibles sans commune mesure...

Le problème , c'est que dès que l'on s'arrête pour des raisons de logistique , on donne à l'adversaire le temps de se réorganiser. mais si l'on continue on peut être surpris par une contre attaque et encerclent.

Bonjour, Merci pour cette vidéo passionnante, qui me donne envie de lire le livre. Je ne sais pas si ce point est davantage abordé dans l'ouvrage, mais je regrette que l'interview ne se penche pas davantage sur l'armée allemande. En effet, on n,'y voit le coup d'arrêt de la fin 1944 que du point de vue des lacunes des armées alliées. Or, à la même période, les soviétiques sont confrontés à un coup d'arrêt comparable, malgré la gigantesque victoire de l'opération Bagration à l'été 1944. Il y a même des contre-attaques allemandes victorieuses (quoique sans lendemain) en Prusse Orientale et en Baltique fin 1944. Donc faiblesses alliées mais aussi rétablissement limité de la Wermarcht.

L'US ARMY adore les filed manuals. Quand vous lisez leurs doctrines, ca ressemble fort à des modes d'emploi de machines outils sans presque aucune thématisation intellectuelle.

Les Américains ont gagné par leur supériorité logistique et industrielle.

Cela dit très intéressant : vous le soulignez les USA font un effort colossal pour se doter d’une armée ce sur plusieurs plans,sans parler de l’aide aux autres alliés. Vous rejoignez complètement les analyses du général Beauffre qui constate,chez les anglo-saxons, une cécité opérative profonde. Pour parachever la question vous décrivez des généraux avec des caprices de star lorgnant sur la course aux Oscars! Bien dommage tout ça mais toujours positif d’éclairer une situation.

Un fan de montgomery, il ne va pas se faire que des copains, voir les ouvrages de beevor qui lui à un point de vue totalement opposé!

J'adore ces historiens, profs de lycée ou de facs, qui 80 ans après donnent les bons et mauvais points aux généraux de la seconde guerre mondiale. Un peu e retenue dans la forme ne ferait pas de mal !

Et la bataille conduite conçue par l'état major français de 14-18?

Souvenir du RICM.... Qui depuis le Maroc en 42... Et le débarquement de Provence Trempa en 1er...le fanion regimentaire... dans le RHIN... En 1944 Ce n'était pas le futur Général DELAYEN.... ASPI... à l'époque

Tutoyer l'invité... Vous osez quand même.

Diction hachée pénible.