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Le Linceul de Turin et la science - Dr Pierre Merat

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IESS - Institut Européen de Sciences Sociales

IESS - Institut Européen de Sciences Sociales

Күн бұрын

L'Institut Européen de Sciences Sociales et la Fédération Pro-Europa Christiana ont organisé la conférence sur « Le Linceul de Turin et la science, des origines à nos jours », le jeudi 17 mars à 20h à l'église Sainte-Thérése Neuland à Creutzwald.
La conférence a été donnée par le Docteur Pierre Merat, membre du comité scientifique et ancien président du CIELT - Centre International d'Etudes sur le Linceul du Turin.
Le Docteur Pierre Merat nous a parlé des origines historiques du Linceul, jusqu'à son arrivée à Turin. Il nous a proposé une description du tissu et une analyse des taches de sang selon l'œil du chirurgien que fut le conférencier, une étude physicochimique du lin et une critique de l'authenticité. Cette conférence, illustrée par une cinquantaine de photos, a été suivie d'un temps de réponses aux questions.
Le Docteur Merat s'est efforcé de présenter cette étude de la façon la plus scientifique possible, sans recourir à aucun commentaire théologique ou liturgique, puisque la véracité et ses conséquences religieuses s'imposent d'elles-mêmes. Une copie sur tissus du Saint-Suaire, mesurant 4,5 m, a été exposée à cette occasion.
www.sciencessoc...

Пікірлер: 114
@romainbaudy2994
@romainbaudy2994 2 жыл бұрын
Hormis l'aspect purement religieux et historique passionnant, cette conférence à renforcé ma conviction de ne pas donner mon corps à la science....
@kouakouyacoubakanga9699
@kouakouyacoubakanga9699 3 жыл бұрын
Gloire soit rendue à Dieu pour ce premier Évangile matériel qui nous donne .
@magiclolo945
@magiclolo945 2 жыл бұрын
Très intéressant dommage que nous n’ayons pas les images en direct de cette conférence qui reste néanmoins très captivante
@RaRA-hp7sc
@RaRA-hp7sc Жыл бұрын
Merci beaucoup. Le joyau de cette conférence est la toute dernière phrase : Ressuscité, Majesté, Beauté etc.
@mariechristine6676
@mariechristine6676 2 ай бұрын
C’est dommage que les images soient figées on ne voit rien de ce que décrit le conférencier 😢
@ELVIS7198
@ELVIS7198 3 жыл бұрын
très intéressant ,dommage qu'il n'y est pas la video.
@pierrelasperge1074
@pierrelasperge1074 4 жыл бұрын
Le carbone 14 n.est pas fiable à 100%.il y a parfois des datations absurdes.En archéologie,un objet ne se date pas avec une seule analyse mais par un faisceaux d’indices cohérents"ici,tissage,analyses du légistes,recherches antériorités etc.
@revedargent3467
@revedargent3467 Жыл бұрын
sauf que la datation carbone n'est pas la seule preuve de l'inauthenticité : rien ne va dans le sens de l'authenticité. Tissage anachronique, pas de sang attesté par une étude valide (revue par les pairs), échec des pollens, détails de la passion imaginés par paréidolie ou simplement trouvable à l'époque de l'artiste dans les textes et représentations, incohérence avec les pratiques juives de l'époque, incohérence totale avec ce dont on attend de l'emprinte d'un corps sur un tissu (mauvaises proportions et absurdité de la tâche), carbone 14, etc.
@professeurtournesol
@professeurtournesol Жыл бұрын
Pas seulement en archéologie, partout en sciences. Très vrai.
@pierrerolland6458
@pierrerolland6458 Жыл бұрын
@@revedargent3467 vous devriez vous vouer à produire une réplique exacte. Ainsi, vous pourriez expliquer aux gens comment le faussaire a fait pour produire cette oxydation / ce roussissement du lin. Vous affirmez beaucoup de choses invérifiables par des gens qui refmgardent ces vidéos, comme les gens qui donnent les conclusions du Sturp sur la recherche de sang et de pollen. Il faudrait un avis scientifique neutre sur ces questions. Vous remettez en question beaucoup de conclusions de chercheurs, mais vous avancez toujours les mêmes arguments copiés collés que personne ne peut vérifier, sans préciser d'où vous sortez vos conclusions. De plus, vous n'êtes pas neutre sur le sujet...
@revedargent3467
@revedargent3467 Жыл бұрын
@@pierrerolland6458 c'est marrant que vous disiez ça après avoir répondu à un de mes commentaires (pas celui-ci) où j'explique comment le refaire, pourquoi c'est simple, que ça a déjà été fait plusieurs fois et le tout avec les études, leur contenus, leurs défauts, les détails, etc. Un commentaire que vous avez choisi d'ignorer alors qu'il est très simple de tout vérifier à partir de lui. Parce que peu importe ce qu'on vous donne. Vous avez envie de croire à l'authenticité du suaire et n'écouterez que les sons de cloches qui vont dans le même sens puisqu'en plus vous n'avez de toute manière pas les capacités pour remettre en question vos croyances et ceux qui les confirment. Cette "oxydation" qu'ont relevé les sindonologues, c'est ce qu'ils ont cherché dans leurs tentatives infructueuses de prouver l'existence de sang. Il n'ont trouvé que celle-ci, et le fait qu'elle soit causée par du fer et en ont conclut (comme par hasard) qu'il s'agissait du fer dans le sang et donc qu'il y avait du sang. Problème : il y a du fer dans différents pigments (comme l'ocre FERREUX rouge) retrouvés à plusieurs endroits sur le suaire et très courants au Moyen-Age. "Il faudrait un avis scientifique neutre sur ces questions" Contrairement à ce que les croyants aiment bien faire en face de la contradiction scientifique de leur croyance : un regard neutre n'est pas une absence de conclusion. C'est une absence d'aprioris et c'est s'en tenir aux faits et à la méthode scientifique. "Vous remettez en question beaucoup de conclusions de chercheurs" Ce n'est pas parce qu'ils ont de diplômes scientifiques que leurs travaux sont scientifiques. Des travaux sans peer-review ou publiés dans une revue prédatrice ne valent rien. Les nombreux défauts de leurs études les invalident et je ne suis pas le seul à le dire. Simplement, si vous n'écoutez que les sindonologues (donc pas des scientifiques puisque la sindonologie n'est pas reconnue comme une science par les spécialistes des domaines concernés mais uniquement comme une pseudo-science, ce dont elle a tous les codes) alors c'est normal si vous avez l'impression qu les "chercheurs" (ils sont diplômés pour la plupart dans des domaines qui n'ont rien à voir et certains ne sont pas vraiment chercheurs car ils n'ont jamais publié de travaux scientifiques) sont d'accord sur l'authenticité. Vous demandeez aux spécialistes de la datation radio carbone et ils vous répondront que bien-sûr que la datation de 1988 est fiable au vu des précautions exceptionnelles prises. Vous demandez à un spécialistes en histoire de l'art médiéval et il vous dira au premier coup d'oeil que le suaire possède les caractéristiques artistiques de son époque (fin Moyen-age).
@pierrerolland6458
@pierrerolland6458 Жыл бұрын
@@revedargent3467 je parle de le refaire à l'identique, pas d'une méthode permettant d'obtenir un effet ressemblant. Apprenez que je ne suis pas "croyant", je cherche. Et où que je cherche, il y a votre argumentaire copié collé sous chaque vidéo sur ce sujet. Mais cet argumentaire ne me convainc pas. Il donne des faits avancés comme véridiques, mais qui ne sont pas aussi absolus que vous le pensez. Bien sûr que j'aimerais que ce tissu soit bien authentique et prouve un fait extraordinaire. Ce n'est pas pour autant que j'en oublie mon esprit critique. Cet objet est particulier. S'il vous ennuyait, vous ne seriez pas passionné comme vous l'êtes, déterminé à en attaquer l'authenticité avec cet argumentaire qui ne répond pas à nombre de questions que pose ce drap. Vous ne me semblez pas neutre émotionnellement sur ce sujet. Je ressens dans vos commentaires beaucoup d'agacement et de mépris pour ceux qui arriveraient à d'autres conclusions que les vôtres. C'est dommage, et dommageable pour votre thèse du faux.
@adrienpeltier1210
@adrienpeltier1210 3 жыл бұрын
Il n'y a que les personnes âgées qui puissent s'intéresser à cela? Les jeunes ne doivent nécessairement se préoccuper que de leurs fringues ou des dernières nouvelles des marseillais à Dubaï?
@MiMi-nk7iy
@MiMi-nk7iy 2 жыл бұрын
en effet, on est dans une génération perdu depuis longtemps
@revedargent3467
@revedargent3467 Жыл бұрын
heureusement finalement. Ce type d'ânerie mourra avec elles...
@pierrerolland6458
@pierrerolland6458 Жыл бұрын
J'ai 34 ans et je passe des dizaines d'heures de recherche sur ce sujet. Ce n'est pas parce que le public visible a des cheveux blancs que les jeunes ne s'y intéresse pas. J'imagine que beaucoup de vues sur youtube sont plutôt de personnes jeunes
@Ulysse4869
@Ulysse4869 7 ай бұрын
Les jeunes sont moins crédules
@GR-qr8sg
@GR-qr8sg 6 ай бұрын
@@Ulysse4869 Ben voyons.
@gbileconstantineble1692
@gbileconstantineble1692 4 жыл бұрын
JÉSUS EST VIVANT
@Ulysse4869
@Ulysse4869 7 ай бұрын
Il est où alors ?
@gilberttheisen9270
@gilberttheisen9270 Жыл бұрын
A cette conférence fort bien menée ,on pourrait objecter des arguments contraire comme la façon de crucifier les condamnés politiques des Romains .On s'épargnerait sûrement bien des conjectures .
@gilberttheisen9270
@gilberttheisen9270 Жыл бұрын
Pour de plus amples NOUVELLES révélations ,secrètes jusqu'à ce jour ,veuillez vous reporter à : """JESUS après JESUS (l'origine du christianisme :épisode 1)""" ,à """ CORPUS-CHRISTI : résurrection et la Pâque """et à """Gérard de Sède ( l'or de Rennes-le-Château ) .Ainsi vous aurez une idée complète sur ce sujet et pourrez en déduire , ... entre autres ... que JESUS a beaucoup plus souffert que vous le pensez ce qui devrait affermir votre FOI .
@olivier7779
@olivier7779 Жыл бұрын
Intéressant en effet. Cela ôterait une des preuves annoncées. Avez vous des sources historiques ? Car la crucifixion était réservée pour l'ignominie, le pire des châtiments, auquel les nobles et hommes libres*** n'étaient pas soumis. Il y aurait des exceptions connues ? *** Il suffisait d'être "citoyen romain" pour recevoir une mort digne, en droit romain. Sauf les esclaves qui n'avaient pas ce statut. Ils pouvaient subir toutes les infâmies.
@pierrelasperge1074
@pierrelasperge1074 7 ай бұрын
les romains crucifiaient les esclaves et les non citoyens.
@simonbruder637
@simonbruder637 3 ай бұрын
Si le linceul a été produit par un artiste du 12e ou 13e siècle il devait être un artiste d'un autre monde bien au-dessus des artistes de l'époque avoir toutes les connaissances permettant d'arriver à ce niveau de précision je dis bien ce niveau de précision au niveau des blessures anatomiques
@jenaipastoutdit9781
@jenaipastoutdit9781 3 жыл бұрын
Donc vous médecin , vous concluez à l'authenticité du linceul .
@peterbischoff8924
@peterbischoff8924 Жыл бұрын
Et?
@jacobmorgenstein6788
@jacobmorgenstein6788 3 ай бұрын
Il pourrait éviter de tousser dans le micro
@revedargent3467
@revedargent3467 Жыл бұрын
Le principal argument contre l'authenticité : les dimensions sont incorrectes. Le VP-8 n'a trouvé que les infos 3D d'un bas-relief (environ 3 cm de profondeur) et pas d'un corps entier. C'est une seconde opération, faite à partir de ces résultats, qui a recréé un corps avec un programme pour ajouter les dimensions correctes d'un corps. On trouve un corps en 3D parce qu'on a implanté un programme pour avoir un corps en 3D. Cette seconde opération peut être considérée comme artistique au mieux, fraude au pire. Un corps imprimé sur un drap rend une image qui s'allonge en s'éloignant du centre et qui se fragmente avec les plis du tissus ou simplement l'extension de sa surface à cause de la courbe qu'il prend. Les cheveux doivent marquer de manière plus floue et légère, voire coller au crâne car c'est le sang qui doit marquer. Le drap doit être très tendu pour ne pas se retrouver par endroit avec des creux représentés mais seulement les pleins. La marque est en ce sens trop délimitée. Où sont passé les côtés ? Pourquoi les fidèles de Jésus auraient tendu le drap en dessus et en dessous (qu'est-ce qui soutient le corps dans ce schéma ?) de manière à ne marquer que les pleins et pas les côtés ? ça ne fait aucun sens. Au vu de la faible distance entre l'arrière et l'avant de la tête, ça semble impossible que le haut du crâne n'ait pas imprimé le tissu et donc pas relié les deux. Il y a une différence de près de 7 cm entre l'image frontale et l'image dorsale. Les bras sont trop longs (juste ce qu'il faut pour cacher les parties génitales) de même que les doigts. Le front est trop petit. Le corps est suprenamment très grand pour l'époque de Jésus mais beaucoup moins quand on le compare à la figure du chevalier médiéval. Même en supposant que le corps soit plié (l'utilisation de la rigor mortis par les sindonologues relève plus de la solution magique à coup d'hypothèses foireuses) ça n'explique pas toutes les proportions plus qu'inhabituelles (les doigts). Le corps plié ne change pas qu'on a le choix entre une technique a tempera sur bas-relief (qui explique les dimensions et permet d'avoir une tâche avec des caractéristiques similaires comme l'ont montré les différentes expérimentations) et un corps en suspension qui s'imprime grâce à un rayon magique sur un drap lui-même en suspension. Le corps plié vient empirer le problème de la jonction du crâne car un corps plié nécessite un drap plus long et change davantage la déformation de l'image. Le prélèvement pour la datation carbone a été réalisé par trois sindonologues (difficile de dire qu'ils auraient fait exprès d'échouer) dont des experts en textile ancien (s'ils ne sont pas capables de reconnaitre une pièce de tissu recousue plus récente de près d'un millénaire et demi alors il y a un gros problème) sur une pièce rectangulaire prélevée en bas à gauche de l'image ventrale et spécifiquement loin de toute partie abimée ou recousue (elle se voit à l'oeil nu). L'échantillon a été envoyé à trois prestigieux laboratoires indépendants reconnus pour leur excellence dans cette méthode et dont les résultats sont assez cohérents entre eux (suaire tissé avec du lin récolté entre 1260 et 1390) et avec l'apparition du linceul dans l'Histoire. Les incendies de 1532 ont ajoutés des marques de brûlure et d’eau (pour éteindre l’incendie) à celui-ci mais ce n'est pas assez pour discréditer la datation carbon. L’hypothèse ad hoc de la contamination par un champignon qui aurait faussé la datation est contredite par les calculs effectués par Henri Brock qui montre que le champignon aurait du apporter 2 fois plus de carbone que n’en contient le linge actuellement. Ses calculs montrent aussi que l'incendie aurait du apporter 2 fois plus de carbone que n’en contient le linge si l'incendie ne datait que de 1800 et plus de 5 fois pour 1500. Il ne faut pas oublier que toute datation carbone est précédée d'une phase de nettoyage pour enlever la pollution carbonique. L’hypothèse ad hoc du bombardement de proton relève elle-même d’un mystère si grand qu’elle ne permet absolument pas de passer le rasoir d’Ockham et contredit totalement les lois de la physique. Il y a un excellent article scientifique qui présente la datation carbone de 1988, les précautions et garanties extrêmes qui ont été prises pour ne pas faire d'erreur (grosse pression médiatique) ainsi que la volonté immédiate et sans surprise des croyants de faire passer cette datation pour invalide car elle contredit leurs croyances. Il y est présenté aussi les tentatives infructueuses postérieures de contredire cette datation par des hypothèses ad hoc et par d'autres datations mais dont les biais méthodologiques étaient trop grands pour en tirer quoique ce soit. L'avis également de Christopher Ramsey (directeur du laboratoire AMS d'Oxford au moment de la rédaction de l'article et spécialiste de la datation carbone) y est relaté, qui accepte l'idée d'une nouvelle datation avec d'autres techniques (éprouvées celles-ci et non pas créées pour le suaire) en espérant que ça permettra aux croyants de ne plus se complaire dans la négation des résultats scientifiques ce qui a terme permettra d'assainir le débat scientifique. L'article en question date du 23 décembre 2013, a été rédigé par Richard CORFIELD et a pour titre "Chemistry in the face of belief". Il est toutefois plus facilement trouvable en cherchant "The enduring controversy of the Turin Shroud". Citation de Christopher Ramsey en 2008 : "I'm always willing to consider any serious suggestions of why the dating might not be correct and to do further tests to investigate such suggestions. In this sens, i keep an open mind - as I would about any scientific investigation. However, my strong intuition, based on my experience in this field, is that the new hypothesis will not challenge the accuracy of the original radiocarbon dating exercise." Cette position est partagée par l'ensemble des spécialistes de la datation au radio-carbone. Jacques Evin par exemple en donne un avis très similaire. En 2019, T. Casabianca (habitué des publications sur le suaire de turin) publie une étude dans le journal Archaeometry, qui montre un manque d'homogénéité dans les données brutes de la datation carbone, sans prouver une origine antique. Effectivement, Walsh Bryan et Schwalbe Larry montrent en 2020 dans leur article "An instructive inter-laboratory comparison : The 1988 radiocarbon dating of the Shroud of Turin" que seules quelques décennies de différence sont nécessaires pour atteindre les 95% de fiabilité annoncés en 1988. En 2005, Raymond Roger, membre du STURP, publie une étude (R.N.Rogers, « Studies on the radiocarbon sample from the shroud of turin. », Thermochimica Acta, 425 (2005), p. 189-194.) qui prétend montrer que la datation de 1988 est fausse car faite sur des parties rapiécées. Il se base sur le taux de vanilline des fibres prélevées, sur un test de Wiesner et dit démontrer l'invalidité de la datation de 1988 mais aussi dater lui-même le suaire d'un âge situé entre 1300 et 3000 ans. Trop de problèmes à cette étude : On a pas de garantie d'où provient l'échantillon ni de ses conditions de conservation. Celui-ci lui a été donné par Luigi Gonella qui dit le tenir du prélevement de 1988 mais aucune preuve n'est apportée. Rien ne dit qu'il ne s'agit pas d'un tissu d'une origne différente. La chaleur de l'incendie a été bien plus que suffisante pour faire vaporiser la vanilline de la surface du suaire en quelques milli-secondes. La méthode de datation de Rogers est unique, sans précédent et donc pas du tout rodée, contrairement à celle de 1988 ce qui amène à se méfier. Les valeurs du test de Wiesner ont été prises de manière arbitraire. L'analyse est faite sur un échantillon de surface (par adhésif) et sans prendre en compte les phénomènes de surfaces. Il manque les marges d'erreurs de différentes valeurs numériques, des sources et des références tandis que diverses erreurs laissent suggérer que Rogers n'a probablement pas passé la revue par les pairs ou qu'il a trouvé un moyen de tricher avec elle. En 1973, une analyse des pollens et de la poussière du linge conclu a un passage de celui-ci à Jérusalem à l’époque de Jésus. Problème : l’étude manque considérablement de précision, d’autres pollens qui devaient se trouver là (si c’était le cas) ne le sont pas, de même que le calcyte déposé sur les pollens lors de l'incendie de 1532 et les images du criminologue Max Fry ne font pas état des traces de l’incendie (une bonne fraude classique en vue) ce qui s’explique par l’aveu de celui-ci qui avait prit des images de références et pas les vraies images des pollens du linceul. Pour Marzia Boi en 2010 : ses travaux ne sont ni en accord avec les relevés précédents des pollens et leurs attentes, ni en accord avec l'étude de Gianni Barcaccia qui lui nous parle carrément de pollen venant d'Afrique de l'Est jusqu'à la Chine, les deux oubliant d'ailleurs que le Suaire n'a pas toujours été conservé bien à l'abri mais a même été exposé au public (la dégradation du pollen s'en trouve donc assez différente de l'état idéal qu'ils imaginent) à différentes occasions durant lesquelles un public de croyants du monde entier ont pu venir le voir. Ce n'est pas vraiment possible de déterminer avec précision et sûreté l'origine géographique d'un pollen. Un palynologue vous dira qu'on peut (au mieux) déterminer la famille biologique à laquelle il appartient et ensuite voir dans quels endroits du monde cette famille s'est trouvée au fil des époques mais là encore ça reste excessivement peu fiable et peu précis.
@revedargent3467
@revedargent3467 Жыл бұрын
Pour le sang : En 1973, un institut médical analyse des fragments issus des "tâches de sang" du linge et doit détecter la présence de sang. Les test UV sont négatifs, de même que la benzidin et la microspectrophotométrie. En 1978, les chercheurs du STURP (Heller et Adler : habitués des publications aux conclusions abusives) mettent en lumière de la porphyrine (qui se trouve dans l'hemoglobine), de l'albumine et de la bilirubine sur le tissu (que l’on retrouve dans le sang) et donc ils en concluent (du fait de leur croyance ou de leur non expertise dans ce domaine) qu’il s’agit de sang mais aucune analyse n'est menée pour prouver que les molécules viennent bien de sang. Problème : ces molécules sont aussi présentes dans les pigments utilisés en peinture et notamment de l’ocre ferreux rouge dont la composition a été retrouvée dans des fragments prélevés à différent endroits du linceul. On retrouve aussi du cinabre et ces deux pigments sont très présents au Moyen-Age. La teinte jaune du corps est due à un détrempage à base de colle d’os qui a jaunit avec le temps. En 1981, Heller et Adler réitèrent avec un article qui possède les mêmes défauts que l'étude de 1978 en plus de reprendre tout un tas de clichés (sur le négatif, les dimensions, etc) habituels et sans fondements sur le suaire. En 2017, Giulio Fanti trouve de la creatinine et de la ferrihydrite sur le suaire et conclut donc à la présence de sang. Même problème que les études précédentes ! Pour la creatinine et la ferrihydrite : la ferrihydrite est présente aussi dans certains pigments et la créatinine peut facilement s'expliquer par la présence d'un autre composant sur le suaire : le collagène, qui est un élément essentiel de la colle d'os et que l'on retrouve dans certaines techniques comme la peinture par tempera, laquelle permet d'obtenir des résultats similaires à l'étude. Autrement dit, là aussi ce n'est pas suffisant pour certifier qu'il s'agisse de sang. D'autant que l'étude est loin d'être fiable. Les preuves présentées par les auteurs n'étayent en aucune façon leur conclusion (« l'homme enveloppé dans le ST a subi un fort polytraumatisme »), qui repose plutôt sur la simple surinterprétation de données provenant d'un échantillon dont l'histoire est inconnue et une chaîne d'hypothèses douteuses ne permettant même pas de valider à coup sûr la présence de ces molécules. Cette conclusion est contredite par la publication de Kelly P Kearse en 2020, qui montre elle aussi la présence de molécules présentes dans le sang sur le suaire. Problème : cette étude s'appuye sur plusieurs travaux réfutés et évite les analyses conduites (comme les test UV, la benzidin et la microspectrophotométrie) qui réfutent la présence de sang. Cette étude n'a de plus probablement pas passé la revue par les pairs car elle n'a été publiée qu'en 13 jours, là où il faut en moyenne 3 mois pour une étude/revue sérieuse. En 2005, le généticien Gérard Lucotte prétend avoir trouvé de l'ADN d'un homme d'origine Moyen-oriental et de groupe sanguin AB. Problèmes : ses travaux ne sont pas publiés dans une revue scientifique mais dans une maison d'édition chrétienne et ne font donc l'objet d'aucune revue par les pairs. De plus, l'échantillon utilisé est d'origine inconnue (on ne sait pas comment il se l'est procuré) donc pas fiable. On peut aussi ajouter que Lucotte travaille seul, n'a aucune reconnaissance scientifique et que même les autres travaux de sa carrière sont souvent plus que controversés, complètement biaisés ou sans revue par les pairs, ce qui ne permet même pas de le qualifier de personne compétente pour cet exercice. Mais bon, l'auteur aurait pu peindre avec du sang (qui reste étrangement rouge) pour rendre son oeuvre plus authentique donc ça ne voudrait pas dire grand chose d'en trouver sur le linge. Le STURP est une émanation d'une guilde catholique pro-suaire. La majorité (statistiquement trop pour que ça n'ait pas été un facteur déterminant à la sélection) de ceux qui y ont participé étaient croyants et certains faisaient même partie des hauts placés de la guilde catholique. Il manquait étonnamment de spécialiste du domaine concerné dans cette équipe : aucun spécialiste des tissus anciens ou de l'art médiéval. Le STURP s'est aussi rapidement débarrassé de Walter MacCorne, un docteur en chimie organique et celui qui était considéré à l'époque comme le plus grand expert en microscopie au monde car ses résultats n'allaient pas du tout dans le sens de l'authenticité. Bref, le STURP était simplement une bonne grosse arnaque qui ne servait qu'à donner un cachet "scientifique" aux sindonologues et dont on ne garde que des travaux sans grande valeur scientifique, pleins d'erreurs et de déclarations sans preuves. Dans son Jugement dernier du Saint-Suaire de Turin, le scientifique Walter McCrone, de Chicago, détaille 20 ans de recherches dessus. Ses conclusions se fondent sur l'examen au microscope de 32 échantillons de fibres et particules prélevés à différents endroits du suaire. Il conclut que l'image a été obtenue à partir d'ocre rouge et d'un pigment ferreux. L'artiste du Suaire a peint à tempera les zones où le linge était censé entrer en contact avec le supposé corps de sorte qu'il en résulte une image négative (plus logique que s'il avait peint les creux). Une teinte vermillon à base de sulfure de mercure a ensuite été utilisée pour représenter les tâches de sang aux endroits cloués. Il explique aussi comment le temps, les expositions et conditions de conservation ont fait pâlir (pénétration du tissu) l'image. Les sindonologues parlent bien de peinture postérieures, rajoutées, ou ont quelques autres hypothèses ad hoc mais qui ne viennent pas entammer la crédibilité des pigments découverts. Walter McCorne est d'ailleurs à la tête d'un laboratoire spécialisé dans l'analyse d'œuvres d'art et de la découverte de faux, un laboratoire dont les partisans de l'authenticité espéraient à la base qu'il soutienne leur croyance mais qui ont fait machine arrière en voyant les résultats, comme ils l'ont déjà fait pour la datation carbone de 1988. Contrairement à ce que prétendent sans preuve les sindonologues, le Suaire est reproductible et possède d'ailleurs plusieurs répliques, par exemple à la cathédrale de Chambéry ou encore celle réalisée par Paul-Henry Blanrue, celle de Luigi Garlaschelli, celle de Jacques Di Costanzo, celle de Randall R. Bresee et d’Emily A. Craig, celle de Joe Nickell et celle d'Henri Brock, même si ces deux dernières ont surtout pour objectif de démontrer la faisabilité d'obtenir une telle tâche (négatif, proportions et pénétration de quelques microns) par la technique de la peinture a tempera et avec un bas-relief. L'expérience d'Henri Broch n'est d'ailleurs pas unique et plusieurs autres personnes ont menés avec succès des expériences similaires en obtenant des tâches aux mêmes caractéristiques en-dehors de la forme bien-sûr, plutôt due à la forme du bas-relief utilisé. L'inexistence de répliques, si c'était le cas, ne voudrait dans tous les cas rien dire : de nombreuses œuvres d'art n'ont pas de répliques et certaines techniques laissent d'ailleurs suffisamment de place à la contingence pour que le résultat obtenu ne soit pas prédictible et donc difficile voir impossible à refaire exactement pareil. Le tissage est complètement anachronique puisqu'au lieu d'être en point simple (armure maille) comme tous les tissus que l'on a retrouvé de cette époque, c'est un tissage à crocheton en point triple, un type de tissage qui nécessite un outil qui n'existe pas encore à l'époque de Jésus et qui ne sera inventé que des siècles plus tard en Chine : un métier à 4 barres de lisse à pédales. De la litterature pour le sujet : Vial, Gabriel, ‘Shrouded in Mystery’, HALI (The International Magazine of Fine Carpets and Textiles), Issue 49, 1990. Il montre que rien de tel (structure, matériau ou composition) n'est connu en Europe avant le XVIe siècle. Il conclut à une origine antique mais uniquement parce qu'il part de l'hypothèse que le métier à 4 barres serait arrivé bien plus tôt en Palestine qu'en Europe du fait de sa situation géographique de carrefour culturel et économique. Stoner, Joyce Hill, "Conservation of Easel Paintings", Routledge, 2012. Sur le métier à 4 barre de lisse à pédales. Øye, Ingvild, ‘When did weaving become a male profession?’, Danish Journal of Archaeology, Vol 5, 2016. Pour l'apparition de ce métier à tisser en Europe dès le XIIIe siècle. D'autant qu'on arriverait au max à prouver que le suaire date du premier siècle, pas l'identité de la personne dessus. Il pourrait très bien il y avoir eu une fraude à l'époque, faire passer ce linceul pour celui de Jésus. Enfin à supposer que cette partie de sa vie (comme tant d'autres) n'est pas qu'un mythe. On a finalement aucune trace contemporaine de lui, seulement des historiens et écrivains évoquant les judéo-chrétiens et plusieurs chefs de révolte (la raison pour laquelle on parle d'eux dans les textes). Le nom même de Jésus est postérieur. Les judéo-chrétiens avaient probablement un gourou qui a voulu se faire une nouvelle religion car le judaisme ne lui convenait pas en l'état, mais s'appelait-il Jésus ? A-t-il vécu comme le décrirent les Evangiles ? Du moins pour la partie un tant soi peu réaliste ? On ne sait pas et ça tient de la croyance à partir de là.
@revedargent3467
@revedargent3467 Жыл бұрын
Le rayon magique n'est pas possible (selon les lois de la physique) alors la tâche est dûe au sang. Pourquoi tout ce sang ? Le corps devait être lavé puis embaumé et le sang coagulé depuis longtemps. Même avec du sang frais, pour réussir à faire une telle tâche, le corps devrait avoir baigné dedans. Ce ne sont pas ses blessures qui auront suffit. La marque devrait être bien plus unie avec moins de détails. Les écoulements de sang des blessures ne devraient pas pouvoir permettre de recouvrir le corps mais d'avoir des grandes zones sans sang. D'ailleurs, Luigi Garlaschelli a prouvé en 2019 par BPA que les "tâches de sang" ne pouvaient pas résulter d'un écoulement horizontal mais seulement vertical et que les écoulements le long des bras et des mains supposent des apparitions diverses plutôt qu'un seul écoulement. Les travaux du docteur Pierre Barbet (emplacement des clous, détails anatomiques, traces de la passion, etc) ont été réfutés dans un article de 1995 par Frederick T. Zugibe qui montre que la thèse de Barbet repose sur des erreurs anatomiques mais aussi que le résultat ne serait pas conforme au suaire de Turin. Il fait aussi remarquer que les différents saints stigmatisés ont tous reçu leurs stigmates dans les paumes et non dans les poignets. Plusieurs textes et représentations (du moyen-âge ou plus anciennes) décrivent d'ailleurs les tortures que le Christ est censé avoir reçu. Il suffit de savoir lire, d'être aidé ou de tomber sur les bonnes illustrations. Les clous ne sont d'ailleurs pas dans les poignets sur le suaire mais bien dans la paume de la main comme l'ont noté les sœurs clarisses de Chambéry (lors de la réparation) dans leur rapport. L'existence de la trace des pièces à l'intérieur des yeux n'a jamais pu être démontrée. Elle est avancée par plusieurs sindonologues (ceux qui n'ont jamais eu le suaire sous les yeux et qui ne se basent que sur les photos) mais réfutée par d'autres sindonologues et par plusieurs scientifiques qui ne voient pas ces "pièces" quand ils observent les yeux (ils parlent plutôt d'une paréidolie pour ceux qui croient les voir ainsi que sur certaines modifications qu'ont pu recevoir les photos) et se basent sur l'impossibilité pour un linge avec cette couture d'imprimer des signes si petits sur une si petite pièce. Recouvrir les yeux avec des pièces de monnaie n'est d'ailleurs pas une coutume juive. Cette représentation ne sort pas de nulle part, elle n'est qu'une étape d'une longue histoire des représentations (picturales ou écrites) de la légende du linceul de Jésus. Les documents antérieurs n'ont pas été réalisés en pensant à ce suaire mais lui a été réalisé en se basant sur eux. Il rentre d'ailleurs totalement dans l'iconographie chrétienne du XIVème siècle avec sa couronne d'épines, la coulée de sang le long des bras avec l'écoulement sanguin au côté (que l'on retrouve décrit dans le rapport des soeurs clarrisses), les doigts trop longs, les jambes légèrement fléchies, les mains ou poignets croisés... En plus de prendre les traits du chevalier médiéval avec sa taille, son aspect plus héllénique que sémite, etc. Pour le Codex de Pray et sa fameuse image du suaire : Il y a le problème des supposés signes que seuls les croyants les plus persuadés arrivent à voir. En plus, les pouces de Jésus (écho aux travaux réfutés de Barbet) ne sont pas les seuls à avoir disparu sur l'image. On peut aussi trouver des pouces disparus sur d'autres peintures de la même période sans aucun rapport avec des quelconques raisons médicales : comme pour les pieds (non représentés sur l'image, pas plus que sur le linceul), les mains pouvaient être parfois baclées ou cachées à cause de la difficulté à les représenter avec de bonnes proportions contrairement au reste du corps. Et ce serait étrange que le peintre ait tenu compte de ce détail mais pas d'autres bien plus visibles comme le croisement des mains (ce sont les poignets qui se croisent) ou encore l'unicité du tissu car le linceul, sur l'image est censé être le tissu en plusieurs morceaux rattachés par des bandelettes et non pas la table en-dessous. Même la barbe a disparu. Pour ce qui est des trous, on a certains trous qui pourraient être ceux du suaire oui... Si on oublie qu'il en manque un et que le Codex en représente d'autres qui ne sont pas sur le suaire. Le parallèle fait entre le tissage du suaire et ce qui est représenté sur le Codex est d'ailleurs assez risible étant donné l'importante imagination qu'il faut pour voir là une ressemblance entre les deux plutôt qu'avec des types de tissages totalement différents. Pourquoi pas du tissage en 2.2, assez courant pour l'époque ? Les petites croix vont très bien pour ça. Ou d'autres... Et ça c'est un exemple type de surinterprétation d'un document. On prend un détail pour en faire toute une histoire en oubliant les éléments les plus importants de l'image, le contexte, etc. La nudité n'est pas en faveur de l'authenticité contrairement à ce que certains auteurs évoquent. Les mains jointes au niveau du sexe (et l'allongement du bras droit ainsi que des doigts) permettent déjà de cacher la nudité de Jésus, d'autant que l'Europe voit au 13ème siècle se développer l'art macabre, lequel vient avec son lot de nudité et de cadavres. C'est d'ailleurs bien plus logique de représenter le corps quasiment nu car on enterre pas les cadavres habillés, surtout pas chez les juifs au 1er siècle. Et cette oeuvre n'est pas la seule à représenter Jésus quasi-nu (par exemple dans trois baptêmes des Xe au XIIe siècles, des églises Elmali, Karanlik et Tokali dans la vallée de Göreme) en plus de bénéficier d'une double censure grâce aux mains jointes ou simplement au négatif. La technique du négatif n'a rien de neuve au Moyen-Age, ses premières utilisations sont visibles dès le début de l'art pariétal au Paléolithique supérieur, à l'Aurignacien. Les différentes données récoltées sont parfaitement cohérentes entre elles et avec le fait que l'époque en question est synonyme en Europe d'un immense traffic de reliques et de faux. Pour l'étude italienne publiée en Avril 2022 : Réalisée par une équipe ayant déjà fait des études infructueuses car trop biaisées sur le suaire. Liberato de Caro est un croyant auteur de nombreuses études sur la religion tandis que Giulio Fanti est un fanatique publiant constamment des études biaisées et sans revue par les pairs (par exemple son étude en 2015 pour prouver la présence d'ADN et celle de 2017 pour prouver la présence de sang) sur le sujet. Elle est publiée dans une revue de piètre qualité et se permettant pas mal de déclarations abusives sur les études précédentes et particulièrement celle du carbone 14. Alors petits rappels : 3 analyses par des labos indépendants et prestigieux sur le carbone 14 contre une seule analyse par WAXS par des acteurs AVEC conflit d'intérêt non déclaré et ayant déjà réalisé différentes études biaisées sur le suaire. L'origine de l'échantillon n'est pas plus donnée (emplacement précis, taille, conditions de prélèvement, etc) que celle des échantillons des études précédentes réalisées par les auteurs. C'est un gros problème car un échantillon dont l'origine n'est pas clairement identifiée peut difficilement être accepté pour valider une étude puisqu'il pourrait alors venir d'un tout autre endroit, pourquoi pas d'un (réel) linge datant de l'époque souhaitée par les auteurs. On peut seulement supposer avec un passage peu précis du texte que l'échantillon provient de ceux prélevés en 1988 (plus de prélèvement accepté par la papauté depuis longtemps) alors que ceux-ci posaient pourtant problème à l'étude quand elle évoquait le carbone 14. Se permet de discréditer l'étude par carbone 14 sans qu'aucun défaut n'ai jamais été prouvé dans l'étude, seulement des suspicions élevés au rang d'arguments et de preuve par les sindonologues. Fait quelques hypothèses ad hoc pour justifier son existence. Prétend que ce qu'elle cherche à mesurer ne pourrait pas donner un résultat médiéval car il faudrait une forte température et humidité (dont on manque de justifications dans l'étude) mais oublie d'un coup que le linceul a subit la chaleur de l'incendie et l'eau qui a servi à l'éteindre, incendie qui était pourtant utilisé comme excuse juste avant pour discréditer le carbone 14. Contradiction évidente. L'étude repose en plus sur l'hypothèse que le tissu aurait été conservé pendant toute son existence entre 20°C et 22,5°C avec une humidité relative de 55 à 75% mais le drap a été longtemps gardé dans des églises (dont la température était bien inférieure) et parfois exposé ou voyageant, sans compter la chaleur d'un incendie et l'eau pour l'éteindre. On a donc déjà pas la justification de la nécessité de ces chiffres mais rien ne vient non plus confirmer et prouver que le drap serait resté dans ces températures en plus de ne pas donner la source exacte des chiffres. Publiée dans une revue prédatrice peu respectueuse de la revue par les pairs. Publiée en quelques semaines (moins d'un mois) et se basant sur une technique de datation élaborée 3 ans auparavant par la même équipe dans une publication publiée en 2 semaines (il faut généralement 3 mois en moyenne à une étude pour passer la revue par les pairs dans une revue sérieuse) n'ayant étrangement aucun écho dans la communauté scientifique, pas plus que cette étude d'ailleurs. La technique utilisée a en plus été créée uniquement pour le suaire et n'est donc pas du tout une technique éprouvée et objective. Rien que là, c'est déjà très très mal parti et permet donc de réfuter la plupart des affirmations de l'étude ainsi que de comprendre qu'on est très loin d'une étude sérieuse.
@pierrerolland6458
@pierrerolland6458 Жыл бұрын
Rêve d'Argent, encore vous avec le même argumentaire en copier coller ?... Vous êtes sacrément passionné.
@dutertreangelot9290
@dutertreangelot9290 Жыл бұрын
On peut connaître votre profession ?
@revedargent3467
@revedargent3467 Жыл бұрын
@@dutertreangelot9290 prof en formation après ma licence d'Histoire. Mais je ne vois pas en quoi ma profession, fut-elle cordonnier, change quoi que ce soit à la véracité de mes propos.
@yvonpierredelaporte1884
@yvonpierredelaporte1884 Жыл бұрын
Votre son est tellement faible que je zappe
@simonbruder637
@simonbruder637 3 ай бұрын
La science patine se contredit voyons le côté artistique je pense que vu les connaissances aujourd'hui dans tous les domaines l'artiste n'est pas encore né pour reproduire une réplique exacte je dis bien réplique exacte
@danieljolivet675
@danieljolivet675 4 ай бұрын
Vous nous les brisez menu avec votre bout de chiffon !!!
@hervefabre8403
@hervefabre8403 4 жыл бұрын
Différentier 2000 ans après, du sang artériel d'un sang d'origine veineuse tient du délire. En effet, ce qui différencie ces deux formes de sang c'est simplement le taux d'oxygène fixé sur l'hémoglobine et ce taux dépend bien sûr du taux d'oxygène dans l'air ambiant. Il est donc impossible de faire une différence entre l'origine artérielle ou veineuse d'un sang présent sur un tissu, surtout après de si nombreuses années. Il est très surprenant que ce tissu - dont apparemment les gens savaient d'où il venait - ne soit même pas cité dans les évangiles en tant que tel et surtout qu'il n'ait jamais été adoré entre l'an 1 et 1357. Surprenant aussi que le visage du christ corresponde aux trait d'un homme originaire du nord de la France, et pas du tout aux traits d'un juif né en l'an 1 en Palestine. Jésus a été supplicié pendant des heures, il a ensuite agonisé également pendant des heures, et son corps est resté exposé pendant une dizaine d'heures sur sa croix. Dans de telles conditions, le visage du Christ ne pourrait pas afficher la sérénité que montre ce portrait. Les yeux devraient être enfoncés dans leurs orbites la bouche ne pourrait en aucune façon être aussi parfaitement fermée avec des lèvres aussi toniques et aussi bien dessinées. Ceci d'autant plus sa couronne d'épine ne lui a même pas été retirée. Enfin la rigidité cadavérique aurait interdit de donner cette position aux bras et au jambes du Christ après sa descente de croix. Pour le faire, il aurait fallu lier le corps du Christ sur une planche.
@qugondallier9671
@qugondallier9671 3 жыл бұрын
Ca y est Nous avons notre spécialiste Quelle chance nous avons ! Mmmdddddrrrr !
@Brennus1
@Brennus1 3 жыл бұрын
Où sont vos sources en terme de médecine et de reconstitution temporel ? Et la couronne, la lance, les clous et autre reliques ne sont pas mentionnées dans la Bible donc sont faux aussi celon votre théorie... Bref, on doit rechercher un cercueil en forme de croix celon la théorie de la rigidité cadavérique c'est bien ça ?
@jenaipastoutdit9781
@jenaipastoutdit9781 3 жыл бұрын
Je vous rejoins en ce qui concerne le sang, bien que cela ne veuille pas dire qu'il ne sagit pas du linceul du Christ.Analyser du sang séché sur un tissus vieux de plus de 2000 ans et en plus discerner du sang artériel et veineux et déterminer le groupe sanguin , m'interroge .En fait c'est le côté exploit sientifique qui me dérange ,mais pas le fait de croire à l'authenticité du linceul ,on peut y croire sans toutes ses données biologiques . Heureux celui qui croit et qui n'a pas vu.
@ichar8224
@ichar8224 2 жыл бұрын
Par le 'flash' de sa résurrection ayant imprimé le linceul, le Seigneur nous a laissé une image glorieuse de son visage
@ichar8224
@ichar8224 2 жыл бұрын
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