merci ;-)

Très vrai !

Parfois, il faut savoir quitter une entreprise qui ne vous correspond pas !!! Pendant vos entretiens de recrutement, vous choisissez autant l’entreprise que celle-ci vous choisi !!!! Tous mes vœux de succès dans votre recherche ;-)

je comùprends ;-)

Merci ! J'adore la Réunion... trop hâte d'y revenir !

très vrai !!!

Merci pour ça !

Vous avez raison, bien sur. Il faut sans aucun doute contextualiser chaque situation !

Merci !!!

Exactement !!!!

Merci !!!!

La nuance est importante effectivement ! Merci.

Merci Maria ;-))

Merci :-)

merci

Avec grand plaisir Aubine !

Le juste milieu peu exister, non ?

Toujours réfléchir aux conséquences avant de parler... cela s'apprend, lentement !

si il est avéré, c'est extrêmement démotivant ! Il faut être équitable avec chaque membre d'une équipe et ne pas faire de favoritisme si on veut motiver toute l''équipe

😀

Le monde des start up est parfois étrange :-)

@@happy-work et horrible 😭

👍

Bonjour la Tunisie !

tout à fait

Il faudrait que cette personne vous donne des exemples très concrets !

Vous pouvez essayer d'aborder le sujet de façon posée afin de voir si cela peut évoluer, en mettant en avant votre motivation... ou partir. Il peut arriver d'être incompatible.

merci beaucoup @@happy-work

tu a raison ne change rien !!!!

Et merci pour vos vidéos je vous ai découvert récemment

Merci de les regarder !!!! Bonne journée

Dans une société, il est fondamental d’avoir des règles communes, non ? Le respect de l’autre passe également par le fait de définir ensemble ces règles. Si le fait d être en retard n’est pas une règle dans une équipe, pourquoi pas… mais ce que vous décrivez me semble exceptionnel ! Si une personne est malade, il faut l accompagner, non pas fermer les yeux en se disant « baaaah, pas grave si il arrive en retard… il est malade »

@@happy-work facile de se cacher derrière des règles choisies par une majorité qui va parfois à l'encontre de la biologie...on peut déterminer génétiquement si quelqu'un aura un rythme plus diurne ou nocturne et de la quantité de sommeil, on sait qu'il y a une différence. Pourtant, on veut que tout le monde rentre dans la même case. Et ainsi pour les autres problèmes déjà listés dans l'autre réponse. Et je parle bien de problèmes car même même les médecins ne prennent pas au sérieux les répercussions que certains états peuvent avoir. Du coup, à part quelques vitamines et autres médicaments, il n'y a ni le soutien médical, ni la compréhension d'une équipe de travail. Vous parlez de respect de l'autre, sauf que ça va dans les 2 sens: si dans un cas c'est juste un ego blessé pour une convention non respectée, de l'autre on n'est pas respecté tant qu'être humain, où on pointe du doigt son unique défaut en lui attribuant aussi des étiquettes "pas sérieux/ respectueux/rebelle" (et peut-être maintenant même de complotiste! 😵‍💫) alors qu'on peut être sérieux malgré tout et même fournir plus d'efforts que d'autres pour le prouver. Ce sont des cas exceptionnels, certes, mais qui méritent aussi d'être considérés et tenus en compte, puisque ces gens ont aussi le droit d'exister, de travailler, sans être sous menace constante de licenciement (ce qui aggrave de plus l'état de santé et donc les retards ou carrément les absences). Après, je comprends les conventions, c'est bien aussi que ça existe; ce qui ne devrait pas exister c'est le jugement direct, car cela, à ce que j'ai pu constater dans une entreprise avec horaires libres, ça se traduit quand-même par un jugement sur autrui et une angoisse pour soi d'être jugé, et finalement le ~70% du personnel, arrivait vers 7h, c'est à dire même 1h plus tôt que l'ouverture de plein d'autres bureaux et magasins. Moi, avec mes problèmes j'arrivais plus tard (alors que j'avais au moins le droit légal de le faire, mais visiblement pas le droit "moral"), mais à force de sourires moqueurs, remarques, réunions placées exprès le matin tôt, presque 2 ans sans sommeil, des deuils, etc, je n'ai plus tenu le coup. Plus tard, une dystonie neurovégétative diagnostiquée avec laquelle on me dit juste qu'il n'y a pas de cure, je dois vivre avec, mais d'autre côté un système qui ne le reconnaît pas comme handicap (et la dépression ne l'est plus considérée non plus) et au même temps un marché du travail avec ses exigences qui pardonne pas. J'ai besoin d'un travail, et je me retrouve bloquée par la phobie d'avoir des remarques et menaces de licenciement constantes, malgré la qualité du travail que je peux fournir. Et votre commentaire sur la vision du retard, ne fait qu'aggraver cette phobie. Je ne sais pas comment m'en sortir et pouvoir réintégrer le marché du travail un jour

Il peut y avoir plusieurs situations, et du coup le retard n a pas la même importance ou conséquence. Si le retardataire n est pas attendu, pour un rdv ou autre, et qu il n a pas de problème pour rester après l horaire, pourquoi pas. Quelqu un ee malade peut voir avec la médecine du travail comment organiser le temps de travail. Pour ma part, je suis là première sur place et j ouvre un accueil. Le retard n est pas possible, ou de manière tres exceptionnelle. Merci pour vos conseils. 😊

C’est étrange comme méthode de la part de votre manager, mais oui, il me semble que vous devez le faire ;-)