Tant qu'on le coupe pas...

@@Marc99999 ah c'est clair, le couper est vraiment pénible.

Bonjour, Coulon EST un livre, une partie de l'histoire des grands prix motos ! Je n'arrive pas à me passioner pour la moto GP, comme je me suis passionné pour la moto des années 70-90. Shenne, Pons, Patrick évidemment, Sarron frères, Roberts... et tous mes autres compatriotes pilotes français.

Cet homme mériterait une encyclopédie !

Tu veut de l'animation et des gp intéressant ? Tu enlèves l'esp, l'ABS, l'antipanitage, l'anti dribble, ... Revenir aux motos et arrêter les PlayStation

@@philouphil j’aurais été d’accord avec toi il y a quelques années mais maintenant non. Les bécanes sont tellement performantes que ça offre un vrai spectacle. Re regarde un gp des années 80 on a l’impression qu’ils se traînent ! Et pourtant crois moi j’étais client des freinages de Schwantz ou des travers de McCoy 😄

@@originaleictus depuis que sais des 4 temps je n'ai plus jamais regardé un GP. Je ne connais même pas la tête et les noms des coureurs actuels

@@philouphil chacun fait ce qu’il veut mais tu devrais réessayer parce que ça vaut le coup. En plus on a des français qui font des podiums donc ça gâche rien ;)

@@originaleictus les magouilles de la Dorna, et les pilotes influenceurs dans leurs motorhomes. Se n'est pas mon délire. Je viens du fond des stands avec les mains dans la graisse

Les problématiques d’aujourd’hui ne sont plus celles de l’époque. Les performances, et par conséquent, les dispositifs permettant de tantôt les juguler, tantôt de les exploiter efficacement, ne sont plus les mêmes. Ainsi, le seul fait de comparer les problématiques des années 60/70 avec les problématiques contemporaines est parfaitement anachronique, et même complètement inepte. On ne parle plus vraiment de la même chose…

@@laurent1985ful je parlais uniquement d'un moteur sorti de nulle part en seulement 6 mois. Il y a eu récemment des copies de ce moteur qui ont été faites (6 exemplaires je crois), et avec les outils actuels de mesure laser, outils d'analyse e matière, moyens modernes d'usinage, il a fallu un peu plus de 3 ans à l'équipe qui a fait ça pour sortir ces moteurs, et encore, pas tout à fait les mêmes, certaines parties ont été simplifiées car infaisables de nos jours... les problématiques d'aujourd'hui ne sont plus les mêmes certes, elles apportent seulement moins de réponses. Nous croyons progresser, dans certains domaines c'est vrai, mais le génie humain (% humain, régresse car beaucoup trop assisté.

@@leofabbro456 Je suis d’accord, le moteur dont vous parlez, et d’autres encore, sont des prouesses remarquables. Elles le seraient même si nous raisonnions avec les moyens dont nous disposons aujourd’hui… Je ne crois pas que nous régressons en matière de compétences, au contraire. Les compétences mobilisées aujourd’hui ne sont tout simplement plus les mêmes qu’hier. C’est vrai pour la moto, encore plus pour l’automobile. Pour rester sur la moto, parvenir à concevoir un moteur qui développe près de 300 cv au litre et prenant près de 20K tours par minute tout en étant fiable (pour un moteur de course) est à mon sens quelque chose d’incroyable, et inimaginable il y’a 15 ans. Si nous progressons moins vite aujourd’hui que dans les années 70/80 (et encore, je n’en suis pas certain…), c’est parce qu’a cette période, tout ou presque était à faire. Et les progrès réalisés de nos jours, même marginaux, font la différence. L’électronique aidant, lesdits progrès ne sont pas accomplis dans les mêmes domaines, quand bien même la mécanique pure évolue encore (même si c’est à la marge). Je ne crois pas que les ingénieurs d’aujourd’hui soient moins compétents que leurs aînés. Encore une fois, les problématiques actuelles font qu’ils orientent leurs compétences vers d’autres domaines et vers la recherche de solutions à d’autres problèmes. Quant au fait que nous devenons des « assistés », c’est également discutable, car les assistances en question, il a bien fallu que des gens planchent dessus…

@@laurent1985ful les compétences se perdent car les ingénieurs d'aujourd'hui apprennent plus à se servir d'un ordinateur et son programme de conception qu'à penser par eux-mêmes. Ne pas oublier qu'en 1966, soit presque 50 ans en arrière, Honda faisait des moteurs 4 temps tournant à 23 000 tr/mn et développant 280Ch/litre. Certes moins fiables que maintenant. C'était de la mécanique pure entièrement pensée par un cerveau humain. C'est cette mécanique là, élaborée en 6 mois à l'époque qu'il a fallu 3 ans pour copier de nos jours. Je n'appelle pas ça du progrès. Plus rien n'est ainsi maintenant à moins de redonner aux "ingénieurs" le savoir d'utiliser leur cerveau

C'était une 250cc, avec une version en 305 et quelques chose pour courir en 350. Pour mémoire à l'époque ce 4 T courait et gagnait contre des 2T d'usine, pour moi la plus belle période oû la classe 250 était le summum de la technologie , avec des performances qui frisaient voir dépassaient celles des 500 cc d'époque. Excellents les commentaires de G. Coulon qui n'est pas fana des 500 2T, beaucoup en ont plein la bouche des perf. de ces 2T qui ne sont exceptionnelles qu'en 50 à 125 cc unitaire ( 400 cv/L pour les meilleurs). Un 1000 cc 2T 4 Cyl doit avoir de la peine pour égaler les 4T, vraiment de la peine! ( le 2T est coincé car pour donner de la puissance il doit avoir une course suffisante qui limite obligatoirement le régime). Un 500 2T a une course de 54 mm , un 1000 4T moto Gp a une course de 42 mm environ, comme un V10 de F1 de 3 L.

Gotlib sors de ce corps. 😁✌️

@@nicoduhangardelapotagerie3446 😉

La ligne d'arrivée c'était déjà un accomplissement. Guy l'a dit: ils changeaient les cylindres et les pistons après chaque séance.

@@jean-micheleich4635 oui mais ça c'est autre chose, c'est la fiabilité, éviter la casse moteur. Là il dit que la puissance diminue progressivement pendant la course. Je me demande avec quelle puissance elles finissaient les meules...

Le refroidissement par air, la carburation et l'allumage instables finissaient par avoir raison de la géométrie des cylindres/pistons et qui dit fuites dit pertes de puissance, quand ce n'était pas un serrage. Doigt sur l'embrayage de rigueur.