Êtes vous toujours en carnivore ?

Je complété mon témoignage : avant d'augmenter les protéinesà 300 gr de viande avec abas. J'ai commencer par m'adapter avec 200g de lipides par jour. Une fois adapté, j'ai jeuné 18/6 puis 22/2. tout en augmentant les protéines et en réduisant les lipides. La clef : je pèse tout, me contrôle tous les jours.

Merci pr votre temoignage tres interessant❤

@@moka5044 allô comment tu va 4 mois plus tard

@@Jayetbibi toujours là et même régime…

@@moka5044 félicitations lache pas 😍

Bonjour Pierre, merci pour le retour. Oui, nous connaissons la chrononutrition (pas mal de personnes qu'on suit, mais aussi d'abonnés à la chaîne viennent de la chrononutrition) et nous avons un avis mitigé la concernant : bien que nous ne soyons pas d'accord avec les préceptes défendus (et encore moins avec la base théorique sous-jacente) au niveau santé et longévité, nous avons réalisé que la chrononutrition a pu déjà aider certaines personnes, surtout si elles sont issues de tendances végétariennes (et a fortiori veganes) donc généralement riches en glucides et c'est donc une bonne chose à ce niveau. Pour plus de détails concernant les similitudes et les différences entre notre position et celle de la chrononutrition, je vous renvoie sur un post de réponse qu'on a fait sur le groupe séquoia qu'on vient de lancer (sur notre site web, inscription gratuite) : - Réponse globale sans la méthodologie : www.sequoiasante.com/community/topics/30750/posts/124673-pourquoi-nous-ne-recommandons-pas-la-chrononutrition - Réponse avec les 2 "bonus" méthodologie (en fin de réponse) : www.sequoiasante.com/community/topics/30750/posts/123052-chrononutrition N'hésitez pas à y jeter un œil et à interagir et à bientôt !

@ Bonjour Séquoia ! merci pour votre réponse. J'ai fait une première lecture de votre texte. Je ne saurais avoir d'avis sur la partie scientifique à propos du système hormonale. Lors de ma lecture, j'ai rencontré des affirmations plutôt étonnantes car j'ai déjà lu les livres du "doc", suivi ses vidéos explicatives et de mises au point, de l'historique et de l'évolution de ses conseils et un début d'expérience personnelle. Exemple : "inclut une forte dose de glucides dont du fructose ". Je n'ai pas vu ça et plutôt le contraire. Sinon le jeûneur que je suis a remarqué que le Dr Delabos n'avait pas de savoirs sur le jeûne ce qui sera une lacune importante. La lactofermentation lui est inconnue aussi. Sa base de justification scientifique est fragile et pourtant mes ressentis sont extrêmement favorables. J'ai une solide impression que vos combats sont les mêmes. Oui, je sais, vous n'êtes pas d'accord. Je continue de vous suivre avec grand intérêt et m'étonne avec désolation de votre relative faible audience.

@@pierredavain2398 Merci Pierre et à bientôt !

Exact. Il faut aussi savoir que l’exces de protéines entraine une acidication des tissus. Tout se paye dans la vie, l’acidification passe facture aussi de differentes façons en fonction de nos gènes.

Bonjour, vous faites probablement des crises d'élimination, une restauration de l'équilibre (homeostasis) qui génère des crises curatives. Si les évènements sont épisodiques et non chroniques cela est bon signe. Si cela se maintient dans le temps, je vous recommanderai de consulter un médecin

Vous avez parfaitement raison. Même si nous ne fonctionnons pas en calories, on comprend votre situation. Dans ce cas, 2 repas semblent plus adaptés. Cela dit il est aussi possible d’ajouter un jeune de 48-72 heures une fois tous les 2 mois par exemple.

Bonjour et merci pour le travail effectué rien que pour nous ! Je pratique le jeûne intermittent depuis 3 ans, (pas de petit-déjeuner, 2 repas /jour ) mais en glanant des informations chez d'autres youtubers, il semblerait difficile de concilier ce rythme alimentaire quand on a une hypothyroïdie. Qu'en pensez-vous ? Tant que je suis médicamentée, je ne ressens pas le besoin de manger le matin mis à part le café gras... Merci de m'aiguiller !

Même problème pour moi

@@contrelastupidite9603 Je viens de commencer le regime paléo cetogene du Dr Zsófia Clemens, si tu le fais aussi, on peut se mettre en contacte, pour se motiver mutuellement.

@Alex Mitard Bonjour, votre question est en effet d’une très grande importance et désolé d’y répondre si tard. Le régime Keto-carnivore a en effet montré des résultats intéressants, à commencer sur des confrères diabétiques de type 1. Cependant, nous ne prodiguons pas de prise en charge médicale sur cette chaîne. Toutefois, si vous le souhaitez, vous pouvez nous contacter via le formulaire de contact en nous expliquant un peu votre situation et nous vous vous contacterons pour faire un premier point ensemble. Et ensuite, vous pourrez opter ou non pour une (ou plusieurs) séances de coaching. Lien du formulaire de contact : www.sequoiasante.com/contact À bientôt !

@ Delphine 79 Son régime PKD est tout à fait intéressant. A noter que même si elle inclue quelques personnes présentant des maladies (comme le Crohn), elle n’a pas l’habitude du diagnostic ni de la prise en charge des maladies (car elle est universitaire pure, pas médecin) mais ce n’est pas un gros problème et, de toute façon, c’est une personne sérieuse et recommandable.

@Contre La stupidité Même réponse pour vous que pour Alex Mitard

En fait, les proteines se deconstruisent par casacade biochimique, et leur resultat final est la libération de glucose, donc, de production d’insuline. Quand on parle d’ index glycemique, on considère l’ entrée directe de glucose dans le sang, ce qui n’est pas le cas des protéines. Quant a consommer des graisses, cela peut paraître en effet paradoxal. Au debut d’ une période cétogène, notre organisme a besoin de capter de l’ énergie mais nous ne savons pas comment le faire ( je dis nous, car nous sommes un, notre organisme n’ est pas un étranger!, 😂 mais il s’agit bien du mecanisme de captation qui est bizarre pour notre organisme). Pour provoquer ce “basculement”, il est nécessaire de lui fournir un apport exterieur, car la captation de la graisse endogène (la nôtre) est difficile, surtout si l’ on presente une résistance à l’insuline, ce qui est très fréquent. Quand on a obtenu le basculement vers la cétose, on réduit les apports en tout et voilà. Comme il est bien souligné dans la vidéo, l’exercice physique est une condition sine qua non pour que tout cela fonctionne. Quand on y pense, en fait, notre société n’est qu’un très mauvais modèle de société. Elle pourrit l’individu, a base de sucres et de télévision ( en plus, avec des programmations bêtifiantes à souhait!)

Si ils vous fatiguent arretez de les regarder. Sortez prendre l’air par exemple 😊

Bonsoir, voici quelques éléments de réponse (liste non exhaustive) : 1. pour les antioxydants, il y a une confusion à ce niveau : non, nous n’avons pas besoin d’ingérer des molécules antioxydantes en grande quantité et, oui, nous avons besoin que notre système antioxydant naturel soit fonctionnel et non dépassé par une hyper-oxydation. Pour cela : - la plupart des molécules antioxydantes complexes « externes » provenant des végétaux (curcumine, polyphénols, etc.) sont en fait au mieux inutiles et au pire des poisons (comme le Bêtacarotene qui aggrave bien plus les cancers du poumon qu’il ne les améliore, au point d’avoir faut arrêter certaines études prématurément à cause de la perte de chance des personnes qui en prenaient…) - les vitamines antioxydantes sont en fait en partie un mythe : la vitamine E est en grande partie inutilisée au sein du bouillon inflammatoire les plaques d’athérome, la vitamine C est dégradée en acide oxalique qui est un puissant oxydant, etc. Ces vitamines sont indispensables mais probablement pour des raisons plus subtiles que leur seul pouvoir antioxydant - de nombreux végétaux sont Pro-oxydants et/ou pro-inflammatoires (ce qui aboutit en général à des processus d’oxydation - « classiques » ou radicalaires). - les produits animaux élevés dans de bonnes conditions (donc pas ou (très) peu de céréales, pas de foie de porc ni de volailles, pas de boudin… etc. : on explique tout ça en détail dans notre formation). Bœuf (dont ses organes) : parfait. Veau et agneau : seulement si brouteurs (presque impossible à trouver en France, sauf connaître un éleveur). - par exemple, l’acide urique - à quantité normale - a été voué aux gémonies alors que c’est le plus puissant antioxydant produit par notre corps qui soit connu actuellement !(devant la mélatonine). - Ces antioxydants fabriqués par notre cops ont un peu besoin de vitamines et, surtout, de minéraux comme le zinc (de la viande) par exemple. - au total, le régime carnivore permet à la fois la synthèse de nos puissants antioxydants naturels et en plus diminue fortement l’inflammation (donc diminue leur besoin). - et cela est largement corroboré par les travaux sur les tribus carnivores (dont certains comprennent notamment des autopsies : des milliers au total !). 2. de quelle acidose parlez-vous ? Si vous parlez « d’acidité » au sens naturopathique, nous ne pouvons pas vous répondre car elle ne correspond pas à une acidité au sens scientifique (c’est à dire biochimique) et constitue de fait un concept de nature plutôt spirituelle. En revanche, si vous parlez d’acidité au sens d’acidose (= par définition un pH sanguin < 7,35 avec bicarbonates [HCO3-] nettement diminués) métabolique (= par définition pression partielle en CO2 normale ou diminuée dans ce contexte d’acidose), non, le régime carnivore ne provoque pas cela, loin s’en faut. Une suggestion : n’hésitez pas à lire les travaux passionnants des explorateurs de la fin du 19è siècle et du 20è siècle, dont ceux que je cite dans ma vidéo « clash ». Ils ne se sont pas contentés d’observer ces tribus carnivores, ils les ont étudiées avec des prises de sang, des électrocardiogrammes…et, mieux encore, ils les ont autopsiés et ont parfois comparé à ce qu’il se passait lorsque ces mêmes tribus adoptaient ensuite un régime alimentaire bien plus végétal. Dernière chose : rien ne vaut l’expérience = les explorations poussées (coroscanner, épreuve d’effort, marqueurs sanguins élaborés - comme les LDL oxydées, les marqueurs inflammatoires fins comme l’interféron, la CRPus, l’IL6, etc.) pour vous apercevoir de la validité de ce que nous relayons… À bientôt !

@ Bonjour dr Sequoia...les explorateurs de la fin du 19 ième siècle ? Je ne les connais pas. Ce que je crois savoir , c'est que, aujourd'hui, le fructose particulièrement, et, avec les autres glucides, est le champion du monde pour permettre aux humains de capitaliser du gras et très rapidement. Si cela est vrai, et je crois que c'est incontestable, quelle conclusion en tirez-vous sur le régime de nos ancêtres lointains ? Moi j'en tire la conclusion qui s'impose par une déduction simple mais sensée. C'est le fructose qu'a choisi la nature pour accomplir la mission sine qua non de notre vie sur terre, et protéger nos organes vitaux et faire des réserves en cas de disette. Sans fructose pas de survie humaine!! Bien à vous, dr Sequoia.

​@@jeanlaureaudoynaud4776 Bonjour. La nature n'a rien à foutre de nous et ne cherche pas à protéger nos organes vitaux... Il n'y a pas de "dessein", "d'organisation". Ce qui ne nous tue pas dans un contexte donné nous permet de nous reproduire et ainsi transmettre les gènes associés à cette survie, dans ce contexte donné. La nature s'arrête là. Très faible présence des glucides dans les régimes paléolithiques, donc pas d'inconvénient majeur à engraisser lorsque par hasard on en absorbait. Le contexte a changé, nos gènes à l'échelle de l'espèce, pas assez.

Ils ont répondu à ça dans d'autres vidéos. Il ne faut pas confondre longévité (durée de vie en bonne santé) et durée de vie moyenne (incluant la mortalité infantile, les morts pour cause d'accident et de maladies bactériennes) La longévité à la préhistoire était comparable à la nôtre aujourd'hui si je me rappelle bien ce qu'ils ont dit, c'est la durée de vie moyenne qui était de 30 ans a cause de l'énorme mortalité a la naissance

La Préhistoire, c'est 3 millions d'années, d'après la théorie évolutionniste...en fait, en absence de documents écrits, personne ne sait à quel âge mouraient nos ancêtres durant cette immense période de cueillette...peut-être vivaient-ils bien plus longtemps. C'est durant l'histoire que, oui, vous avez raison, les gens mouraient jeunes...mais il y avait des raisons, les céréales peut-être avec cet excès de glucides ??? plus de sédendarité et surtout la pollution, le Nil à l'époque des Egyptiens était très pollué, chacun y déversant ses besoins et buvant dans ce même fleuve...imaginez, idem au Moyen Age où certains de nos rois sont morts parce qu'ils avaient bu l'eau de leur royaume... J'ai fait récemment ma généalogie, la vie humaine augmente considérablement pour la génération née vers la fin du 19 siècle et morte vers le mileu du 20 ième. Deux causes à mon avis, la nourriture très naturelle avec le jardin que chacun possédait, de cette génération principalement végétarienne (très très peu de viande pour les paysans, je peux en témoigner car je l'ai connue), et les médicaments apparus à cette période. Bien à vous, Cyber.

L’esperance de vie dont vous parlez tient en effet compte de la mortalité infantile, très élevée autrefois, jusqu’au debut du vingtième siècle d’ailleurs. Quant à la longévité, elle est constatée non seulement par l’âge des décès sinon aussi en tenant compte de l’apparition des maladies dégénératives. Ce qui pondérait la longévité en periode prehistorique , c’etait surtout le facteur “externe”: l’homme etait alors autant predateur que proie, ses conditions de vie l’exposaient aux infections et aux dangers de la nature. Il faisait alors partie de ce délicat équilibre entre espèces, chacune intervenant pour contrôler la croissance de l’autre. Mais depuis lors, l’homme est sorti de ce programme… la conséquence ou plutôt les conséquences sont l’apparition des maladies dégénératives ( plus ou moins en meme temps que l’agriculture) et la baisse progressive de la mortalité par infections et dangers de la nature. Reste à savoir si l’on a gagné au change…

@@vinceehrl Lol ça me fait un peu rire!! Comment peut on évaluer l'espérance de vie de la sorte à la préhistoire?? Et sortir de telles "statistiques" C'était il y a très longtemps et c'est indémontrable scientifiquement. De plus ils n'y avait pas l'écriture.. il n'y a donc pas de traces pour savoir ça. Ce que vous dites n'est donc que pure croyance.

@@cybercel3 On connait en revanche depuis plus de cent ans des populations qui vivent ou qui vivaient dans un mode ancestral et dont on a pu mesurer la santé et la durée de vie. Lisez Weston A. Price par exemple.

Bonne remarque, nous en parlerons davantage. Certes les poissons sont un peu moins denses en termes de protéines, mais la différence est faible, donc leur pouvoir insulinogène est peu différent de celui de la viande à quantité égale de protéines absorbées. Mais il est vrai qu’ils rassasient parois assez vite, sur le coup.

@ Je constate que le poisson est toujours occulté. Quand on habite comme moi en bord de mer, dommage ! Il existe notamment les petits poissons gras (sardines, maquereaux,...) qui me semblent hautement recommandables. Que croyez-vous que mangeaient les humains du paléolithique qui habitaient au bord de la mer, d'un étang, d'une rivière ???!

@@martialpelatan3382 Je doute qu'ils pouvaient facilement se procurer des sardines... Ce qui ne signifie pas que ces animaux ne soient pas bon pour nous !

Belle démonstration que rien n'est plus antinaturel que le cétogène !

@@jeanlaureaudoynaud4776 C'est l'implémentation d'un régime cétogène CARNIVORE qui est compliquée, pas celle d'un régime cétogène tout court. Et la raison pour laquelle c'est compliqué est liée à notre consommation de pièces animales maigres/nobles, avec découpage et rejet des parties grasses. Apparemment, la transition d'homo sapiens vers une consommation animale consistait à exploiter les restes/carcasses et se concentrer sur la moelle osseuse (ce qui est gras).

@@jeanlaureaudoynaud4776 Avant l'agriculture, la consommation de glucides était très faible. Le gras était par conséquent l'apport énergétique principal et la cétogénèse un mode normal.

Tout dépend de ce que vous appelez toxique : pelée + épépinée + cuite, on ne peut pas dire qu’elle soit franchement toxique lorsqu’elle accompagne un repas suffisamment carné. Par ailleurs, pour paraphraser Paracelse, ce qui fait le poison c’est la dose (qui varie assez d’une personne à l’autre). Enfin, si dans le cadre d’un régime cétogène de type carnivore flexible (keto-carniflex) cela permet d’aider à inverser un diabète en permettant de se passer de fromage par exemple (c’est le cas pour certains), c’est intéressant.