Je vois que chez vous aussi, vous êtes vernis au niveau du vent 😄!Je me souviens quand j'étais gamin dans les années 60 / 70, on partait a vélo au passage à niveau fraîchement automatisé pour voir passer la "Micheline" (X2400 rouge et crème puis X 2800) à 15h. Toulouse-Montréjeau.... Que de souvenirs.

Fabuleux son ce moteur MGO, quel régal !!!!!!!

quelle mélodie au départ !!

ça c'est de l'authentique, ça fout le frisson ! on se reconnait en vadrouille aux fins fonds du pays perdu de chez les grands parents à attendre ce fameux train du soir !!! ..............

Sacrés X 2800 !!!!!! Les voir et les entendre ne lasse jamais . Que est l'état de la ligne de ses gares et installations aujourd'hui …. et de son activité ferroviaire ?

Je suppose que c'est la composition X 2800 réversible qui effetuait le graissage des rails de l'Ouet Lyonnais avec la remorque XR 6000 graisseuse

Il est aller à quelle vitesse 1:12 ?

Excepté les 75 km de la ligne TOULOUSE / AUCH et exclusivement en passagers, le département du Gers (32) n'est plus desservi par le transport ferroviaire ! Du réseau existant encore jusque dans les années 70, n'existe plus rien des lignes Mont de Marsan / Tarbes, Mont de Marsan / Port Sainte Marie (Agen) via Nérac et Condom, Auch / Agen et Auch / Tarbes (ex ligne Tarbes- Périgueux ). De décennies en décennies, tout ou presque des plates formes et installations est progressivement gagné par les ruines et enseveli de friches. Les quelques timides tentatives de réhabilitations, plus politico-médiatiques que réellement volontaristes et en définitive convaincues du contraire, ne se résument que par quelques épisodiques lancements "d'études" techniques ....de faisabilité.... préalables à de nouvelles interminables "études", toujours plus techniques, toujours plus préalables, toujours plus de faisabilité ..... hors de prix, sans aucune consistance, ni jamais le moindre aboutissement ! L'exemple de AGEN / AUCH en est l'une des plus tristes illustrations ! Se pose en définitive la question de l'absence de toute volonté citoyenne comme politique de la part de pouvoirs publics digne de ce nom et surtout de l'émergence d'une telle irresponsabilité collective dans la plus totale indifférence ! Telle force d'inertie largement convenue est de nature à compromettre en la condamnant chaque jour un peu plus, toute "relance" ponctuelle de sections isolées de lignes fermées au trafic, quand bien même d'un potentiel économique évident, au milieu d'un réseau ferroviaire national moribond, désormais fragmenté, totalement désorganisé et de plus en plus difficilement exploitable.