Alors si vous aimez la poésie, lisez mon recueil : Le pâtissier-poète, qui vous surprendra autant.

J abandonne au bout de 20 pages Molloy. Je ne comprend pas l'histoire. Vous m'apprenez qu il n'y a pas d'histoire chez Beckett, ouf !!mais je ris sur des phrases, des mots. C'est plein d humour. Mais je ne ris pas. Enfin je ne sais pas. Je ris. Je vais l'écouter en audiobook. Merci pour votre " rien ne vous prépare à lire Beckett". Je n'étais pas prête. 😂

Je lis G. Musso parce que les livres 'audiolib' sont disponible dans la bibliothèque. Comme ça, j'améliore mon vocabulaire. J'achète ses livres dans une friperie. Les histoires sont débiles mais en écoutant la version mp3 je m'endors doucement.

Vous aurez la réponse dans Pandore au Congo d'Albert Sanchez Pinol

Pouce vers le haut. Car chez ces algorithmes là, madame, on n'aime pas, non, on n'aime pas. On calcule !

Cette vidéo est un BANGER ! Merci pour ce travail de qualité, autant sur le fond que sur la forme. J'aime beaucoup la manière dont tu nous narres cette video essay, on reste captivé jusqu'au bout. Une vidéo d'une youtubeuse talentueuse bien évidemment ;)

Récemment j'ai lu les œuvres complètes de Jean-Baptiste Botul et je me suis jamais rarement autant délecté d'une lecture qui rappelle les traditions des enseignements oraux de Socrate ou du Christ himself

vous faites vraiment une vidéo sérieuse ou c'est un prétexte pour nous emmerder avec vos délires racistes ?

super vidéo de présentation. Bravo! Pour les amoureux de l'auteur, ce 4 mai 24, Rufus vient de présenter le festival Beckett à venir en juillet à Roussillon, Vaucluse. Roussillon où Beckett a séjourné pendant la guerre avant d'écrire Godot. Festival magique rempli de nombreux spécialistes et passionnés de l'auteur. à découvrir. Merci encore de vos éclaircissement sur le sujet.

Tout ce que vous décriez dans ce roman est en fait ce qui fait son originalité. Joël Dicker écrit comme le ferait un peintre impressionniste, par petite touche et pour prendre un exemple de ce que vous dite: si le héros avait vécu une folle passion avec cette (trop) jeune fille, le livre aurait perdu tout intérêt et serait devenu un banal roman à l'eau de rose.

Bon courage

Oui et pas la littérature.... Je vous présente mes meilleurs salutations à toute l'équipe de votre équipe de France et de la France culture direct et la mort de Clément à l origine du gouvernement de l'Europe de la santé et des droits des jeunes femmes de l abaya est un organisme de formation à domicile et en France culture et aux enfants en formation des jeunes adultes de l abaya de santé de la famille de santé 😂😂😂

Toujours des analyses très intéressantes et pertinentes. Une superbe vidéo, merci.

Vidéo très intéressante, avec un point de vue bien argumenté et assumé. Néanmoins, je suis dans la team "talent", et n'ai pas trouvé d'argument assez fort dans ta vidéo pour en sortir... En fait, j'ai l'impression que tu décris ici le processus pour parvenir à pratiquer l'art/être artiste, en somme : bénéficier d'un milieu favorable, avoir des "personnes-ressources", être poussé. Pourtant, je trouve que la question du talent n'est pas pour autant évacuée. Je veux dire : des artistes, il y en 10 par villages, 100 par villes, 10 000 par métropoles (au plus bas), rien qu'en France. Malheureusement, je n'ai pas vraiment l'impression que chaque année nous ait apporté sa centaine de millier de chefs d'oeuvre. En fait, je pense qu'il y a les "artistes", et les artistes hors normes, les excellents, les meilleurs, ceux qui accouchent d'une "œuvre". L'argument des personnes sources, du milieu, tient un peu, mais pas vraiment. Quand un artiste identifie sa vocation, il va de lui mm tout faire s'en rapprocher. Ainsi, mm une personne pauvre multipliera ses chances de tomber sur un bon établissement, dans un milieu arty, près de personnes sources, car elle utilisera son temps de vie vers ce but (et le nombre d'artistes/écrivains issus des classes moyennes ou basses va dans ce sens; à l'inverse, nombre personnes des classes aisées se sont en effet adonnés à l'art, c'était même contenu dans leur éducation, sans pour autant marquer l'Histoire). En somme : si tu veux faire de l'art, dans la plupart des cas, tu y parviendras. Donc, j'ai tout de même l'impression qu'il y a qqchose d’indicible, de profondément inégalitaire et injuste qui différenciera les meilleurs du reste. Quelque chose qui fait qu'on retiendra Hugo et pas la centaine de milliers d'écrivains de sa génération : le talent. Autrement je ne vois pas, statistiquement ça ne tient pas.

Fait un bilan de lectures de 2023 en 10 livres svp (oui tu n’aime pas faire des tops)… sinon à dans 2 ans alors.

j’adore ton style et ton timbre vocal, excellente analyse

Et la cannes des Indes ? mdr

Ah c'est exactement ça.Pas du tout une ode à l'amour, ni à la femme, ni à Solal. Et Mariette qui, sous le comique, montre le véritable visage de l'amour

04vr 🎉😢

Knut Hamsun a inspiré F. Kafka, J. Fante, C. Bukowski. il s’est attaché à fuir les carcans de la littérature de son époque, et ceci en travaillant à la fois la psychologie de ses personnages et la langue à la manière d’un orfèvre. K. Hamsun est un aventurier qui a parcouru les styles, les genres et les époques. Génie aujourd’hui infréquentable et oublié.

C'est bien de poser cette question parce que effectivement l'histoire est une fiction pratiquement tout est faux la chronologie est fausse...

Comment peut on dire que l'on a eu du plaisir à lire quand il s'agit par ex de Flaubert, Celine, Kafka, Dostoievski, Houellebecq, Arthaud, Buzzatti, Baudelaire, Maupassant, Beckett etc etc qui sont tous des écrivains qui décrivent le Réel dans sa Vérité, c'est à dire : comme une souffrance déployée de laquelle on ne peut se délivrer, un ennui ou encore un gouffre... Les gens qui les lisent et en sortent toujours aussi optimistes, est ce parce qu'ils les ont lu "par dessus la jambe" ? ... Ca me dépasse ...Au fond, ce style de lecteur sont les vrais cyniques car ils ne tiennent pas compte du "message" de ces livres, qu'ils ont pourtant lu, dans la vision de leur propre vie... Pour résumer : je ne comprends pas pourquoi tous les lecteurs sérieux ne deviennent pas nihilistes ...

Il n’avait qu’une maison, son âme

Merci! Merci! Je viens d'écouter avec très grand intérêt et attention votre vidéo sur Samuel Beckett. J'ai découvert Beckett en lisant un recueil intitulé "Poèmes suivi de Mirlitonnades". Ne connaissant pas Beckett, et compte-tenu qu'il était prix Nobel, j'ai relu ce petit livre (une quarantaine de pages) au moins deux ou trois fois, avant de me rendre à l'évidence qu'il y avait pleins de blagues des plus drôles et noires (normal, il est Irlandais) des textes terribles (sur la mort:" imagine si ceci ..."), et aussi terriblement émouvants (pour exemple, sur les peines d'amour). C'est toujours la même chose, un petit texte qui commence de façon anodine, et à la fin, il y a toujours ce pincement au coeur, à l'âme, parce que c'est Beau et Vrai.

Pour lire Musso depuis longtemps, je suis globalement d'accord avec ce qui est dit, les reférences culturelles dont font part ses personnages sont bourgeoises , difficile lors des lectures lorsque l'ont ne connait pas. Et c'est cliché

Superbe vidéo. Quel travail. Cela en valait la peine en tout cas. Merci beaucoup !

Plus qu'un livre, un MUSSO... Créateur de Best-sellers depuis 2011

Très drôle de croire que Ndiaye a juste distribuée ses manuscrits c'est avant tout son nom qui l'a fait entré dans le milieux ;) toute personne sait que si t'es personne le manuscrit il fini a la poubelle 9/10 sans jamais être lus

Le mode opératoire de Marsan rappelle vraiment (beaucoup) celui d'Harvey Weinstein: ne pas faire comprendre "tu dois coucher pour avoir le rôle", mais plutôt "maintenant que tu as le rôle, il vaudrait mieux coucher pour que tu le gardes", et profiter de cette ambiance malsaine pour violer des jeunes femmes venues pour bosser. C'est la 2e fois que je vois cette vidéo, et ça me permet d'apprécier la justesse dans le choix des mots.

Oraculaire. Un voyou vautré Ayant la constance du talent Celui qu'on provoque d'un brûlis Passant Évite le passé Et lit ceci Un enfer neuf est dedans Non d’entrailles consumées Table rase Ne subsiste qu'une ravine A l'œil baissé ! Point d’amour propre pour un écrit ravagé Écrire n'est pas vivre Ne parler qu'au papier Est périr sans une quelconque grâce Vous voilà ronces et épines Jetant vos dévolus Sur l'infinitif Sainteté de plumes à venir Dives muettes ne pouvant vivre Hors des larmes de sang Voici l'écrit mortel Attaquant la parole qui passe Un donjon sans visitation Écrire L'enfermement ! Une engeance de spectres grisâtres ennuyés Un simple jeu d'osselets La beauté hurle Je t’ai doublée ! Froisser sa fleur écrite n'est pas aimer. J.S

C'était brillant, bravo !

J'ai jamais lut de Musso mais our ce qui est des femmes qui se comporte comme des hommes j'ai ue la même impression en lisant une nouvelle de Stefen King, je sais plus le titre. Une femme qui se fait v*oler et qui va se venger. La façon dont c'est décrit on vois que c'est un homme qui a écrit. Déjà le personnage a clairement des trais de caractere masculin et la description des faites est ultra clichés. L'agression se passe dans un endroit reculé de nuit par un vieux paysans dégoûtant. Ensuite le faite de préparer une vengeance extrêmement frontale n'est absolument par realiste. Ça m'a étonné parse d'habitude j'aime plutôt bien ce qu'écrire cet auteur. Dans "la vengeance des mères" de Jim Fergus aussi les personnages on un petit décalage mais c'est déjà plus subtile et on sent que Fergus a tenter de se mettre à la place de ses personnages même si il y a quelques couacs.

Merci pour cette incroyable vidéo qui remet les points sur les "i". Sans argent, sans réseau, sans encouragements, l'éclosion d'un talent est bien compromise! Salutations depuis la ville de naissance de Blaise Cendrars❤

Merci à vous deux ! Je suis en train de lire "La mort d'un père" et avoir accès à l'enregistrement de ces lives ajoute une dimension encore plus agréable à ma lecture. :)

Super vidéo, tu me donnes envie de lire le livre !!! J'me permets de faire la pub pour une asso que j'aide souvent : Deuxième Texte. On promeut les autrices du passé en rendant leur contenu accessible gratuitement sur Wikisource ;) et tant d'autres choses ! En ce qui concerne le creative writing : effectivement, c'est très utile les ateliers pour apprendre les bases ; maintenant, aux USA, c'est devenu une industrie. Le master de creative writing est presque devenu une construction pyramidale... oups x) Donc faut voir le contexte.

La création sert à se faire plaisir et non, par vanité, à faire plaisir aux autres escomptant par-là une reconnaissance à mesure de l’estimation de soi. Ma vie durant, j’ai refusé de partager mon œuvre, non par timidité ou doute sur mes capacités, mais par désintérêt pour l’opinion d’autrui pouvant altérer la perception de moi-même. À 25 ans, je refusais de faire écouter des morceaux de musique que je créais la nuit après la fermeture de mon commerce, à des clients fidèles ainsi qu’à mon marchand d’instruments qui, pourtant, m’avait fait écouter une bande magnétique de son cru pour laquelle je l’avais complimenté, et à un bon ami qui venait fréquemment depuis quelques années nous rendre visite et nous partageant une passion sportive que j’avais réussi à lui communiquer. Ceux-ci sont quelques-uns des exemples de jeunesse, mais en 2018, je mis involontairement un terme à l’amitié d’un intellectuel de vingt-ans de compagnonnage dans le monde de la pensée, par son dépit devant mon refus de partager mes impressions avec des cercles, lui faisant comprendre que je n’avais jamais nourri d’aspirations à exposer mes raisonnements à autrui. Je fus toujours bien à avec moi-même, en bonne compagnie, et n’ai jamais eu besoin de servir les autres voire les inspirer ; mes idées (ma création) me rendent heureux et mon cercle premier, à savoir mes enfants, sont les seuls au monde à en bénéficier. Ce ne sont pas les autres sur qui on pourra compter puisqu’ils sont intéressés, la preuve est qu’ils vous lâchent dès que vous ne partagez guère vos créations propres, qui n’ont point besoin de jugement ni d’une quelconque appréciation ; cela m’indiffère totalement puisque je n’ai jamais couru après la reconnaissance et n’aurai à aucun moment souffert de cet ostracisme inversé. Comme Albert Jacquard, je n’ai pas l’ambition de concourir si ce n’est avec moi-même ; de fait un podium ne fut jamais la cible tant rêvée par le commun. L’exclusive ambition fut de réussir ma vie personnelle et non une carrière. Comme J’aime créer, dans divers domaines ; je crée mes vêtements, ma maquette de bâtisse idéale, de la musique, des nouvelles et romans, je confectionne des recettes maison, je suis chanteur classique baryton-martin registre wagnérien, l’architecture et la décoration sont mes domaines de prédilection. Et pourtant, je ne suis qu’une toute petite personne, une poussière dans l’humanité, mais je me sens tellement bien de n’avoir jamais couru après une vaine gloire, une reconnaissance du plus grand nombre, mes activités sportives furent de tout temps préférées dans la catégorie solitaire : tir sportif, entretien corporel d’intérieur : vélo et tractions, natation, marche. À 14 ans, je m’inscrivais, à l’insistance de mon entourage scolaire, dans le club de football de mon quartier, on m’expliqua aussitôt les règles : que toute décision de changer de club, de comportement, etc. appartiendrait dorénavant au club, dès lors je déposai mes crampons sur le bureau du secrétaire en lui faisant mes adieux, et je me mis à courir, seul, à courir radicalement, en solitaire, ainsi découvris-je le vent de l’indépendance caresser mon âme humaine, mais assez construite pour, plus tard, me lancer dans le sport de combat, de sorte qu’à 38 ans, je pratiquais encore du kick boxing pour accompagner un neveu qu’il fallait affranchir de sa timidité d’adolescent que j’accompagnais à moto. J’ai épuisé plusieurs moitiés qui se fracassaient leur fierté mal placée sur le roc de ma personnalité assertive et discrète. Oui, je suis l’exilé intérieur et revendique mon indépendance résolue d’où je puise mon entière satisfaction d’être sur terre. Pour moi, la vie a toujours eu un sens.

N'importe quoi !

Merci pour cette super vidéo ! Ta troisième partie me fait penser au livre "Le chaos ne produit pas de chefs-d'oeuvre" de Kerninon qui détruit le mythe du grand écrivain qui réussit à écrire constamment malgré la misère alors que souvent ce sont des mensonges.

Excellente et très intéressante vidéo ! J'attend la prochaine avec impatience.

Vidéo très interesante et merci de revenir après tout ce temps... OK si le talent n'existe pas vraiment s'il n'est que le résultat de ce qu'une élite a voulu mettre en avant, le travail encouragé d'une équipe : les parents avec leurs encouragements et les moyens mis à disposition, une femme qui vous aide dans la réalisation de l'oeuvre, un adoubement du milieu de référence (Paris) etc ... Nous mêmes baignés dans cette culture depuis toujours, sommes nous capables d'apprécier des oeuvres qui s'en éloigneraient complétement ? Notre socle culturel plus ou moins commun ne nous prépare pas à plus d'ouverture d'esprit, non ? Vous posez là les bases remettant pas mal de choses en question et c'est très bien... et maintenant que fait- on de celà ? ça mérite d'autres vidéos (avant 2 ans !?) Pour l'un des commentaires, parlant du sport... je ne trouve pas que cet "art" s'éloigne de cette démonstration. En effet, les champions réalisent leurs performances souvent à l'aide d'une équipe (des parents qui ne s'opposent pas à la pratique et/ou qui l'encouragent, des entraineurs, des moyens mis à disposition etc) ce n'est qu'un pied à l'étrier de dispositions naturelles ou innées. En d'autres mots, on ne saura jamais parce que ce n'est pas quantifiables, le nombre de personnes talentueuses génétiquement qui ne pourront ou qui n'ont pas pu aller au bout de leur exploit parce qu'un autre facteur les en a empêché...

Très intéressant, merci pour ce retour :) Si seulement le fait de déconstruire le mythe du talent en le confrontant aux données scientifiques permettait, enfin, d'actualiser les discours dans le débat public.

Pour ma part, je n'ai pas pu aller au-delà de trente pages, tant j'ai trouvé le genre ultra-convenu ! Le gars a voulu se la jouer "Le monde selon Garp", mais c'est juste mauvais !!!

Dans certaines disciplines on peut parler de prédispositions. Dans le milieu sportif, on a pas tous les mêmes. Génétique ? Ou don de Dieu? Allez savoir 🙂

Ce fut un vrai plaisir de vous écouter à nouveau. C'était très intéressant ! j'aime aussi la manière dont vous réglez son compte au mythe du "croire en soi et en ses rêves" Bravo à cette video qui m'a passionné et m'a fait beaucoup de bien.

Quel plaisir de te retrouver et sur un sujet aussi intéressant !

Une nouvelle vidéo très intéressante

😂❤

Top vidéo, parfaite sur le sujet, plaisir de te revoir !!

Rien que l'utilisation du mot "déconstruire" prouve que de talent vous ne pouvez en avoir aucun !

Bonjour ! Je tiens à vous signaler à mon sens une légère erreur dans le début de la partie 4 qui commence vers 35:57 à propos du « prix Hugo de l’imaginaire ». A priori ce prix, qui est un prix initialement littéraire américain a été surnommé ainsi, non pas en hommage à Victor Hugo, mais en hommage à Hugo Gernsback principal promoteur de la « science-fiction » au début du XX ème siècle. fr.m.wikipedia.org/wiki/Hugo_Gernsback fr.m.wikipedia.org/wiki/Prix_Hugo