Nouvel emploi ou nouveau rôle
2:19
New job or role
2:21
4 ай бұрын
Setting workload boundaries
2:13
4 ай бұрын
Composer avec un patron stressant
1:59
Dealing with a stressful boss
1:56
Éviter le blâme et la honte
2:27
Using appreciative inquiry
2:23
8 ай бұрын
Avoid blame and shame
2:07
8 ай бұрын
Mindful self-compassion break
4:09
Пікірлер
@Michelle-hc5ow
@Michelle-hc5ow 3 ай бұрын
I love that there are evidence-based actions suggested for each factor but that each team will need to amend, add or remove actions based on their unique working contexts and conditions.
@workplacestrategiesforment956
@workplacestrategiesforment956 11 ай бұрын
[MUSIQUE DE RELAXATION] Lorsque vous êtes prêts, ouvrez les yeux et regardez autour de vous. Haussez et abaissez les épaules. Relâchez les muscles de la mâchoire puis expirez longuement. [MUSIQUE DE RELAXATION] Cet exercice peut être effectué en tout temps lorsque vous voulez prendre une pause et vous offrir un moment de compassion. [MUSIQUE DE RELAXATION] (DESCRIPTION) Découvrez d’autres conseils dans le site Web Stratégies en milieu de travail sur la santé mentale. www.ssmcv.com. Stratégies en milieu de travail sur la santé mentale. Gracieuseté de la Canada Vie.
@workplacestrategiesforment956
@workplacestrategiesforment956 11 ай бұрын
[MUSIQUE DE RELAXATION] Lorsque vous êtes prêts, ouvrez les yeux et regardez autour de vous. Haussez et abaissez les épaules. Relâchez les muscles de la mâchoire puis expirez longuement. [MUSIQUE DE RELAXATION] Cet exercice peut être effectué en tout temps lorsque vous voulez prendre une pause et vous offrir un moment de compassion. [MUSIQUE DE RELAXATION] (DESCRIPTION) Découvrez d’autres conseils dans le site Web Stratégies en milieu de travail sur la santé mentale. www.ssmcv.com. Stratégies en milieu de travail sur la santé mentale. Gracieuseté de la Canada Vie.
@workplacestrategiesforment956
@workplacestrategiesforment956 Жыл бұрын
Laurel : Merci Laura. L'Association canadienne pour la santé mentale a déclaré cette semaine la première semaine de mai Semaine de la santé mentale au Canada. Leur thème de cette année est mon histoire. Ils expliquent que, collectivement et individuellement, nous avons tous de multiples couches et histoires qui font de nous ce que nous sommes dans nos webinaires précédents. Nous avons reçu de nombreuses questions sur la façon de faire face à la vie sous toutes ses formes. De nombreuses questions ont porté sur les défis, la gestion et l'acceptation du changement, un changement que nous ne voulions pas, que nous voulions ou pensions attendre. Aujourd'hui, nous allons discuter avec Mary Anne de certaines des situations les plus courantes mentionnées et de la manière dont nous pouvons mieux y faire face en anticipant, en acceptant et en nous adaptant au changement. Aujourd'hui, le changement est l'une de ces choses sur lesquelles nous pouvons compter dans la vie, car il est constant au travail, à la maison et dans nos communautés. Bien que parfois génial et excitant, cela peut aussi être une source de stress. Je suis sûr que nous pouvons tous énumérer les principaux facteurs de stress de la vie, comme le décès d'un être cher, le divorce, le déménagement, la perte d'emploi, les blessures corporelles. OK. On a compris, je vais passer à autre chose. Mais lorsqu'il s'agit de changements, même de petits changements peuvent perturber notre sentiment de contrôle ou de sentiment d'être à l'aise dans notre vie. Parfois, même lorsque nous choisissons de changer, cela peut provoquer un stress indésirable, comme le fait de devoir choisir entre le chemin que nous empruntons et une nouvelle opportunité passionnante. Mais bien souvent, nous avons l'impression que le changement dans notre vie est hors de notre contrôle. Cependant, imaginez, si vous voulez, à quel point la vie serait ennuyeuse, s'il n'y avait pas de changement, si tout se déroulait comme prévu, rien d'inattendu ne se produirait. Aujourd'hui, nous allons discuter de la possibilité de prospérer tout en faisant face au changement. Nous aborderons la façon d'accepter le changement, même lorsqu'il nous place dans une situation ou une vie auxquelles nous ne nous attendions pas. faire face à de multiples changements en même temps peut être accablant et nous demander quelle est la prochaine étape. Notre bien-être général peut en pâtir, les relations se dégrader et notre capacité à faire face aux choses les plus simples peut diminuer. alors que nous parlons d'événements inattendus qui bouleversent notre vie à la maison. Ensuite, au travail, nous explorerons comment nous pouvons redéfinir notre façon d'envisager le changement et de développer nos compétences. Nous devons prospérer grâce au changement. Et en fait, grandissez grâce à cela. Je l'ai dit plus tôt, nous sommes tous différents et nous avons nos propres histoires. Bien que nous puissions partager des événements de vie similaires, ce sont nos circonstances personnelles qui font que les changements auxquels nous sommes confrontés nous sont uniques. C'est vrai. Certains changements sont plus difficiles que d'autres et certains peuvent s'y adapter plus facilement. Mais si nous apprenons à appliquer les cinq A : anticiper, adapter, accepter, modifier et éviter, nous arriverons peut-être à gérer et à envisager le changement d'une manière différente. Ida passe la parole à toi. Ida : Eh bien, vous savez, le rythme du changement s'est accéléré au cours des 70 dernières années et tout indique que cette tendance se poursuivra. Cela a certainement été le cas au cours des trois dernières années. Et nous pouvons penser que notre vie est planifiée, mais il est rare que la vie progresse comme prévu, vous savez, les changements que nous subissons peuvent survenir soudainement et de manière inattendue, comme le décès d'un être cher ou le licenciement d'un emploi que nous adorons, ou ils peuvent survenir un peu moins soudainement, peut-être lentement avec le temps, nous commençons à reconnaître qu'une relation de longue date ne fonctionne tout simplement plus. Dans les deux cas, cela peut nous amener à nous demander qui nous sommes et où nous allons. Le premier jour des cinq jours est donc anticipé. Donc, par définition, cela signifie s'attendre à des changements constants et s'y préparer. Vous savez, je pense que cela me montre vraiment que même si je ne peux pas m'attendre à un changement précis, je peux anticiper et m'attendre à ce que les choses changent. Et je sais que certaines choses vont changer, comme la technologie que nous utilisons au travail. En anticipant ce changement, il est moins probable que cela me stresse vraiment. Mais lorsque le changement est inattendu et que ce changement se produit, et si j'ai l'impression d'avoir du mal à y faire face, quelque chose peut m'aider. Ou l'une des choses qui peuvent m'aider, c'est de vraiment prendre quelques minutes et de vraiment faire le point sur ce qui n'a pas changé autour de moi et, vous savez, sur ce qui a été fiable, ce qui a été constant. Donc, par exemple, si je traversais une rupture de relation ou un changement d'emploi important, qui sont mes sources constantes de soutien. Ce sont mes amis, ma famille et mes collègues de travail. Ainsi, en me concentrant sur ces constantes fiables, je peux mettre la source du changement en perspective et ce sera plus facile à gérer. Mary Ann, qu'en penses-tu ?
@workplacestrategiesforment956
@workplacestrategiesforment956 Жыл бұрын
Laura : une personne. La question suivante concerne le manque de formation. Alors, comment gérez-vous le fait de vous sentir dépassé et mal préparé à travailler dans un milieu de travail, je suppose, en raison du manque de formation dispensée ? Mary Ann : Oh, je veux dire, la première chose que je ferais, c'est de dire que, vous savez, si je pourrais suivre la formation s'ils disent non, je la mettrais par écrit parce que maintenant cela devient de la gestion des risques, n'est-ce pas ? Que je pense que j'ai besoin de cette formation pour faire ce travail efficacement. Et c'est pourquoi, s'ils ne le font toujours pas, peut-être qu'ils n'ont pas le temps, peut-être qu'il n'y a pas de budget, ils n'en ont toujours pas. Pour moi, j'irais le trouver en ligne et je ferais ce que je pouvais faire toute seule si je voulais réussir et que j'avais l'impression qu'ils ne soutenaient pas ma réussite de cette façon. Je veux dire, il n'y a tout simplement rien que nous ne puissions plus trouver par nous-mêmes. Je ferais donc ce que je dois faire. Une autre façon d'être mieux préparé est de demander à quelqu'un qui est vraiment doué pour ce travail. Si vous pouviez les suivre, si vous pouviez les interviewer, discuter avec eux et savoir d'eux ce qu'ils font et comment ils le font différemment. Mais ne laissez personne vous dire que, parce qu'ils n'ont pas de budget pour la formation, vous devez rester bloqué. Tu ne le fais pas, tu peux trouver des informations gratuitement, euh, partout. Oui, Laurel : Mary Ann, ce sera peut-être notre dernière question. Hum, étant donné notre temps et c'est quelque chose que vous avez déjà abordé. Mais la question qui se pose est de savoir comment anticiper les changements éventuels sans être constamment inquiet. Il s'agit donc en quelque sorte de remplacer l'un par l'autre, ce qui permet d'anticiper sainement le changement à venir, ce que je pense que vous avez déjà fait. Mais peut-être que si vous pouviez terminer cela avec quelques sages paroles, Mary Ann : Eh bien, des mots sages, euh, je n'utiliserai pas les mots qu'ils utiliseraient normalement. Mais des choses se produisent, nous n'avons pas besoin de visualiser toutes les choses terribles qui peuvent se produire dans la vie. Ce que nous devons faire, c'est quand ils se produisent dire oui, ces choses se produisent. Je savais que ces choses allaient se produire. Qu'est-ce que je peux en tirer ? Comment puis-je m'en sortir ? Comment puis-je en tirer le meilleur parti ? Ma mère est en train de mourir. Comment puis-je tirer le meilleur parti de cette situation inévitablement mauvaise ? Euh, je peux l'aimer tout de suite ou quelqu'un d'un coup sur la façon dont je peux tirer le meilleur parti de quelque chose ? C'est tellement terrible. Eh bien, je pourrais faire quelque chose en leur honneur. Je pourrais vivre d'une manière qui respecte et honore leur esprit. Ainsi, même les pires choses de la vie, lorsque nous les anticipons et que nous n'y résistons pas, surtout lorsqu'elles se produisent, alors, nous pourrons continuer. La seule chose à prévoir est donc de ne pas visualiser toutes les choses terribles qui pourraient se produire. Mais dire que lorsque cela se produira, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour l'accepter et avancer de manière à tirer le meilleur parti de chaque jour du reste de ma vie. Laura : Merci beaucoup, Mary et il ne nous reste qu'une minute. Nous allons donc fermer essentiellement pour informer tout le monde ou pour vous rappeler que nous avons des liens vers diverses ressources auxquelles nous avons fait référence aujourd'hui. Euh, en bas de votre écran, vous pouvez regarder ceux en anglais et en français. Bien entendu, comme toujours, nous sommes stratégies pour la santé mentale. Euh, il y a beaucoup de ressources, Maryanne. Merci beaucoup pour votre sagesse aujourd'hui, comme toujours. Et euh, nous vous informerons de la date de notre prochain webinaire public prévu pour l'automne, mais nous n'avons pas encore finalisé les détails. En attendant, vous pouvez vous attendre à voir cette version enregistrée de ce webinaire sur KZfaq dans quelques jours. Et pour ceux d'entre vous, euh ? qui n'a peut-être pas eu l'occasion de participer, vous pouvez peut-être en parler à votre ami qui ne l'a pas fait. Ils peuvent, vous pouvez toujours accéder aux réunions via le lien fourni. Merci donc à tous pour votre attention aujourd'hui.
@workplacestrategiesforment956
@workplacestrategiesforment956 Жыл бұрын
Laurel: Thanks Laura. The Canadian Mental Health Association has declared this week the first week of May to be mental health week in Canada. Their theme this year is my story. They explain that collectively and individually, we all have multiple layers and stories that make us who we are in our past webinars. We've received a lot of questions about coping with life in all its forms. Many of the questions have been around challenges, dealing with and accepting change, change that we didn't want nor that we wanted or thought to expect. So today we're gonna be talking with Mary Anne about some of the most common situations mentioned and how we can cope better by anticipating, accepting and adapting to change. Now, change is one of those things we can count on in life because it's constant at work at home and in our communities change. Although sometimes great and exciting can also be a source of stress. I'm sure we can all list lots of life's biggest stressors, passing of a loved one, divorce, moving job loss, a personal injury. OK. We get the picture, I'll move on. But when it does come to change, even small changes can mess with our feelings of being in control or feeling comfortable in our life. Sometimes even when we choose to change, it can cause unwanted stress like making a choice between the path that we're on and a new exciting opportunity. But quite often it feels like change in our life is outside of our control. However, imagine if you will, how boring life would be, if there was no change, everything progressing as anticipated, nothing unexpected ever happened. So today, we're gonna be chatting about whether it's possible to thrive while dealing with change. We'll be touching on how to embrace change even when it places us in a circumstance or a life we didn't expect facing multiple changes all at the same time can be overwhelming and having us ask ourselves what's next? Our overall well-being can suffer relationships become strained and our ability to cope even with the simplest things can diminish as we talk about unexpected life changing events at home. And then at work, we'll explore how we can reframe how we look at change and develop skills. We need to thrive through change. And in fact, grow from it. I said earlier, we are all different and we have our own stories. Although we may share similar life events, it's our own individual circumstances that make the changes we face unique to us. It's true. Some changes are harder than others and coping with change may come easier to some. But if we learn to apply the five A's anticipate, adapt, accept alter and avoid, we will get to a place where we may be able to manage and look at change in a different way. Ida over to you.
@workplacestrategiesforment956
@workplacestrategiesforment956 Жыл бұрын
Ida: Thanks Maryanne. Now, the next uh A is accept. Now this means, you know, accept the changes that we can't control. You know, I, I think about um the numerous times at work where a new process or technology has been ruled out and, you know, my reaction is often to procrastinate until I absolutely have to figure it out. And then once I complete the training and put the new process into place, I realize how much time I have spent just thinking about it and actively putting it, putting off that training. And then when I finally did it, I realized how easy and quick it was. So, in essence, I let it take up a lot of unnecessary space in my brain. So I did try and remind myself about that and and motivate myself not to uh not to procrastinate over and over again or avoid wasting that brain space. And many workplace changes are outside of our control. You know, whether that be new leadership, a reorganization as well as new tools and processes that are, that are pushed out when we think about it, it doesn't really make sense to resist a change that's not within our control, but sometimes resistance happens anyways, it's often I think a a result of fear. So in the workplace, it may mean that we're fearful that we won't be successful in the new workplace environment, we'll be uncomfortable or we'll have extra work that we uh that we can't cope with. But we can move away from that fear and towards acceptance by recognizing why we are resistant and focusing on the things that we can control. So if new procedures or technology is being rolled out, I mean, we can look at taking some additional training so that we get comfortable with it. Mary Ann. I want to, uh, ask you again in terms of what are your thoughts with regards to accepting those things we can't control?
@workplacestrategiesforment956
@workplacestrategiesforment956 Жыл бұрын
Mary Ann: Um It was uh the late Great Stephen Covey who said it's easy to say no when you have a bigger yes. And what what that means to me is I prioritize my family over work. And when I think that taking on more work and if you understand, I'm a consultant that's all on me. I can't blame anybody else but taking on more work and knowing that it's gonna have a negative impact on them, makes it easy. Now, every job that I've ever talked and I've talked to thousands and thousands of people. Now, they all have times where you gotta do a little extra, you gotta work a little harder, you gotta work a little longer. That's just normal. It's when this becomes the norm that you need to push back and say again, here's all the things I have to do. Here's the hours. What do you want me to do about it? But instead our insecurity comes up and we think, well, I have to, I'm gonna let people down. Everybody's counting on me. This is important work that I do these things that we tell ourselves that make it such a stressful situation. Whereas most of the time it's, let's problem solve around this. I'll work really hard for eight hours, but then I need to work really hard at being a good family member or a good friend or whatever. So that's the one thing about bringing work home occasionally. Of course, we all have to, and on a regular basis, something's wrong and you're only gonna burn out. So it's not gonna do a favor to you or to your employer. So that's, that's on that one. And then the other part, Laurel I think you were asking. No, I don't know. What were you asking? What was the other part, Samia: the other part? Laurel: Yeah. So how not to let what's happened in your personal life impact your work performance. So kind of that old saying, leave your personal issues at the doorstep of your workplace, which we know that isn't possible because we're a whole person and we come with the issues that may have happened to us the night before that, that morning. In fact, so just wondering if you could touch on that. Mary Ann: So I think that I, I, I, I very much believe that we should be able to be ourselves at work without fear. Uh But I also believe that we have to understand the impact that we're having on others. And so we've created something called the team agreement process where you actually bring your unique team together to talk about how they want to interact. What they feel is, um the ideal work experience and what sort of behaviors take them towards that and what sorts of behaviors take them away from that. And what this means is that if I'm going through a bad time of my life, I don't have to hide it, but I'm very clear about how I can or should not let it impact others. So coming in hysterical and screaming is not going to be acceptable. That's not gonna be a behavior that takes us towards the work environment. But coming in and saying, you know, can I chat with you at break? I, I want you to know what I'm going through or to go to your boss and say, I just want you to understand what I'm dealing with it. It, yes, it will impact your work a bit. Your focus is gonna be a little off. You're a little shook. But it's the important thing is it's not impacting the other people. You're not complaining every minute of every day. You know, you're not um making other people's lives more stressful. And the thing is people say, well, what if you have depression? I know so many people who have depression that always put a smile on, they never have a negative impact on anybody. Even when the repetitive, negative thoughts of worthlessness and hopelessness are just so profound for them. So we can manage our behaviors, our personal impact on others. And if it slows down your work, but distractions are taken away so that you can just focus. It's actually a reprieve from whatever your personal stressors are. So your work can continue if you focus on the work. Um while you're there, Laura: we have um the next, I'm gonna skip over and come back to the next question because the, the question below kind of relates to what we're just talking about, which is how can we support our colleagues who express negative language or feelings about changes at work. It's um it's hard to stay positive when people are negative. So I guess that would be the situation where somebody is coming to work, perhaps influenced by some, some other things going on. Mary Ann: Yeah, I would say um to people who are negative about anything, I'll say, what would you do instead? What do you think would make this better? Um Given that we have to whatever have this new technology or we have to change locations or whatever it is, how would you have managed this and get them focused on solutions rather than just what the problems are? Maybe they've come up with a great solution, you know, if they've been thinking about this and if they don't feel confident bringing their solution forward, maybe you can and say, yeah, let me, let's, let's flush this out. Let's really think about the pros and cons of this. And if you don't want to, I'll bring it forward. It's the thing is, is when you start to talk to somebody about solutions, one of two things is gonna happen, either they're not going to complain to you anymore because you're not playing the game, right? Or they're not gonna complain to you anymore because they're gonna be thinking about solutions either way you win Laura: the next question. Um How do we address the new impacts that menopause has on our productivity, on our emotionality? And our resilience and the comment is, it's hardly the conversation that you want to have with your supervisor.
@workplacestrategiesforment956
@workplacestrategiesforment956 Жыл бұрын
Mary Ann: well, wise words, um I won't use the words that they would normally use. But stuff happens, we don't need to visualize all the terrible things that could happen in life. What we need to do is when they happen to say yes, these things happen. I knew that these things would happen. What can I learn from it? How can I grow from it? How can I make the best of it? My mother is dying. How can I make the best of this inevitably bad situation? Uh I can love her right now or somebody suddenly on how can I make the best of something? That's so terrible. Well, I could do something in their honor. I could live in a way that respects and honors the spirit that they had. So even the very worst things in life when we anticipate them and we don't resist them, especially when they've happened, then we can go forward. So the only thing to anticipate isn't to visualize every terrible thing that could happen. But to say when it happens, I will do what I need to do to accept it to move forward in a way that makes the best out of every day of the rest of my life. Laura: Thank you so much, Mary and we have one minute left. So we're gonna close basically to let everybody know or to remind you that we do have links to a variety of the resources that we've referenced today. Um At, at the bottom of your screen, you can take a look at those in English and French. Of course, as always, we're strategies for mental health. Uh It has a wealth of, of resources, Maryanne. Thank you so much for your wisdom today as always. And uh we will be letting you know when our next public webinar is we're anticipating in the fall, but we haven't got the details finalized yet. Um In the meantime, you can expect to see this a recorded version of this webinar on youtube in a couple of days. And for those of you uh who perhaps haven't had the opportunity to join, maybe you can tell your friend who didn't join. They can you can still access the meetings through the link provided. So thank you everybody for your attention today.
@workplacestrategiesforment956
@workplacestrategiesforment956 Жыл бұрын
[Changement de diapositive -00:03:24:05 La matrice de l’équipe prosociale s’affiche à nouveau. La bulle « Remarquer avec gentillesse et curiosité » pointe vers « Extérieur », « Intérieur », « Avancer » et « S’éloigner ».] Nous pouvons utiliser la matrice de l’équipe comme un outil de communication. Nous pouvons l’utiliser pour aider les équipes à tenir des conversations de ce genre sur un objectif commun. Elle peut changer notre façon de tenir des conversations. Voici des questions que nous pouvons placer dans chacun des quadrants pour nous aider à formuler des réponses. [Actualisation de la diapositive - 00:03:48:02 La question « Quel est notre objectif commun? » apparaît entre « Avancer » et « Intérieur ».] La première question vise l’intérieur et a trait à notre objectif commun. Nous avons vu comment vous pourriez préciser ce que vous faites pour les personnes que vous servez ou les produits que vous créez, mais aussi ce que vous faites les uns pour les autres, en tant que membres de l’équipe. [Actualisation de la diapositive -00:04:02:18 La question « Quel élément intérieur dégoûtant pourrait se manifester au sein de l'équipe? » apparaît entre « S’éloigner » et « Intérieur ».] Nous pouvons aussi réfléchir au genre d’éléments intérieurs dégoûtants qui pourraient se manifester et inciter les personnes à s’éloigner de l’objectif commun. Certains éléments courants se manifestent dans la majorité des équipes, comme la frustration, la peur, l’ego, l’anxiété, vous savez, avoir peur de dire une chose stupide. Les pensées et sentiments de ce genre sont fréquents et peuvent nous éloigner de notre objectif, alors nous devons devenir plus conscients de ce qui peut se manifester. [Actualisation de la diapositive -00:04:32:15 La question « Que pourraient faire les membres de l'équipe pour s’éloigner? » apparaît entre « S’éloigner » et « Extérieur ».] On peut comprendre alors que, si on se laisse prendre par de tels pensées et sentiments, quels genres de comportements risquent de se manifester? Quels genres de comportements surviennent lorsque les membres de l’équipe s’éloignent? [Actualisation de la diapositive -00:04:44:14 La question « Que pourraient faire les membres de l’équipe à la place pour avancer? » apparaît entre « Extérieur » et « Avancer ».] On peut également comprendre ce que les membres de l’équipe pourraient faire pour avancer. En tant qu’équipe, on peut préciser les comportements qui nous font avancer et ceux qui nous font s’éloigner. On peut avoir une conversation à ce sujet au lieu d’avoir une conversation sur ce qui est correct ou incorrect, bon ou mauvais, vrai ou faux. La conversation peut plutôt porter sur les actions qui font avancer et s’éloigner, et là encore, en tenant compte de l’objectif commun. Cette approche change notre façon d’envisager les choses. Des équipes différentes trouveront des comportements différents qui font avancer et s’éloigner en fonction des éléments qui se manifestent et de ce qui compte pour elles. Mais on peut avoir cette conversation, qui peut être ardue si on s’intéresse seulement à ce qui est vrai ou faux, correct ou incorrect. [Changement de diapositive-00:05:32:09 La diapositive a pour titre « Outil de communication ».] Nous pouvons acquérir des habiletés afin d’utiliser la matrice comme un outil de communication en équipe. [Actualisation de la diapositive -00:05:38:08 L’élément « Sujets difficiles » apparaît comme premier point.] Et nous pouvons l’utiliser pour tenir des conversations difficiles. Nous savons que cet outil permet aux équipes de créer un climat de sécurité psychologique et une façon plus sécuritaire de communiquer lorsqu’elles doivent tenir des conversations difficiles. Par exemple, l’une des équipes avec lesquelles Ron a travaillé a tenu une discussion sur le comportement consistant à faire taire quelqu’un. Pour certains membres de l’équipe, il s’agissait d’un comportement anodin. Il ne suscitait aucune pensée ou émotion de quelque sorte. On y voit seulement un geste inoffensif et drôle. Mais pour un membre de l’équipe, ce comportement lui rappelait le fait d’être une femme noire à l’école où ses enseignants lui disaient continuellement de se taire. Ce comportement était donc plutôt angoissant pour elle. Avant d’avoir la matrice, elle ne savait pas comment aborder ce point; la matrice lui a permis de parler simplement du fait que ce comportement l’incitait à s’éloigner. Parfois, on ne réalise pas du tout que des comportements incitent à s’éloigner, et la matrice donne un bon éclairage. Cela ne veut pas dire que tout le monde s’entend toujours sur les éléments qui font avancer ou s’éloigner. Par exemple, une équipe pourrait avoir une discussion pour décider si elle travaillera en laissant les portes ouvertes ou derrière des portes fermées. L’équipe pourrait décider de laisser les portes ouvertes. Il s’agit d’un mouvement qui fait avancer. C’est bon pour la collaboration et la communication. Un des membres de l’équipe dit alors qu’il a un TDAH et a beaucoup de difficulté à se concentrer s’il laisse la porte de son bureau ouverte. Il doit garder sa porte fermée pour arriver à faire son travail. Cela ne veut pas dire que tous les membres de l’équipe adoptent exactement les mêmes comportements, mais nous pourrions interpréter ce comportement de façon différente. Lorsque l’équipe voit que la porte de ce collègue est fermée, elle ne conclut pas automatiquement qu’il ne veut pas collaborer ou qu’il est fâché contre l’équipe. Cela peut simplement vouloir dire qu’il s’agit d’un mouvement vers l’avant pour l’équipe et que celle-ci a eu la possibilité d’avoir cette conversation. [Actualisation de la diapositive-00:07:35:09 L’élément « Habiletés de l’équipe à utiliser la matrice » apparaît en deuxième point.] Vous pouvez acquérir comme équipe la capacité d’utiliser la matrice pour arriver à tenir certaines de ces conversations. [Actualisation de la diapositive -00:07:43:09 L’élément « Habiletés individuelles à se diriger vers le côté pour avancer » apparaît en troisième point.] En tant que personnes, vous pouvez également acquérir la capacité de vous diriger vers le côté « Avancer ». Il n’est pas toujours facile d’atteindre ce côté de la matrice. Il existe un grand nombre d’habiletés fondées sur des probantes que vous pouvez acquérir pour réussir à avancer plus qu’à vous éloigner. [Changement de diapositive-00:08:00:28 La diapositive montre des photos de Dayna Lee-Baggley, Ph. D. et de Ron Pizzo. Vous pouvez communiquer avec Dayna Lee-Baggley par courriel à [email protected], sur les médias sociaux à @drleebaggley et sur son site Web www.drleebaggley.com. Vous pouvez communiquer avec Ron Pizzo par courriel à [email protected].] Nous vous remercions infiniment d’avoir regardé cette vidéo. Si vous avez d’autres questions ou préoccupations, n’hésitez pas à communiquer avec nous.
@workplacestrategiesforment956
@workplacestrategiesforment956 Жыл бұрын
[Slide update]- 00:03:31:10 “What is our shared purpose?” is added between Toward and Inside.] So the first one is toward inside, and that's about our shared purpose. So we talked about ways that you could clarify both what you do for the people you serve or the products that you create, but also for each other as teammates. [Slide update-00:03:44:20 “What inside yucky might show up in the team?” Is added between Away and Inside.] Then we can also ask what are some of the kind of yucky inside stuff that shows up that might lead people away from the shared purpose? And so there are some common ones that show up in most teams, including things like frustration, fear, ego, anxiety, you know, worried that you might say something stupid. These are all these common thoughts and feelings that will show up that could lead us away so we can increase our awareness of what's showing up. [Slide update-00:04:15:00 “What might Team members do to move away?” is added between Away and Outside.] We can then also understand that if you get caught up in those thoughts and feelings and what kinds of behaviors might show up, what kind of behaviors might it look like if team members are moving away and this of course, what behaviors might they be doing? [Slide update-00:04:29:05 “What might Team members do instead to move toward?” is added between Outside and Toward And we can also understand what are the team members could do that would move them towards.] And so as a team, we can actually clarify what are the toward behaviors and what are the away behaviors. We can have a conversation about that instead of having a conversation about right, wrong; good, bad; true, false. Instead, we can have a conversation about towards and away moves and we can again think about that in terms of shared purpose. And so this changes the way we're thinking about things. Different teams will come up with different towards and away behaviors depending on what shows up for them and what matters for them. But we can have this conversation that can be a tricky conversation if we're thinking about it in true, false or right, wrong. [Slide change-00:05:12:04 Slide says “Communication tool”] So we can develop skills to use this as a communication tool in teams. [Slide update-00:05:17:11 “Difficult topics” is added as a bullet point] And we can use it to have difficult conversations. So we know that if teams make use of this tool to have difficult conversations, it can create psychological safety and have a safer way to have those communications. So, for example, on one of the teams that Ron worked with, there was a discussion about the behavior of shushing people, right? And so for some team members, that was nothing behavior. It didn't generate any kind of thoughts or feelings. It's kind of just a silly, fun thing to do. But for another team member, it actually reminded her of being, you know, a black female in school and her teachers always shushing her. And so it actually was a pretty distressing behavior for her. Now, she didn't have a way of bringing that up before the Matrix, but the Matrix allowed her to just talk about the fact that that was kind of an away move for her. Now, sometimes we are totally unaware of these things being away moves, and so it's clarifying. That doesn't always mean that we always agree on all the towards and away moves. So for example teams might discuss are we going to work with our doors open or door closed and the teams might decide, let's work with our doors open. That's the towards move. That's good for, you know, collaboration and communication. Then one of the team members says, Well, actually I have ADHD, and working with the door open is just way too distracting for me. So I need to keep my door closed to get my work done. So it doesn't mean that the whole team is doing the exact same behaviors, but we might interpret that behavior differently when the team sees that team members door closed doesn't necessarily mean that they don't want to collaborate or they're, you know, upset with the team. It can just mean that that's a towards move for them and they've had the ability to have that conversation. [Slide update-00:06:59:01 “Team skills in using the Matrix” is added as a second bullet point] And so you can develop skills as a team to make use of the matrix to be able to have some of these conversations. [Slide update-00:07:06:24 “Individual skills in getting the Toward Side” is added as a third bullet point] You can also develop skills as individuals about getting to the towards side. It’s not always easy to get to the towards side of the matrix. And so there's lots of evidence based skills that you can learn to be able to move more towards than away. [Slide change-00:07:20:00 The slide shows images of Dr. Dayna Lee-Baggley and Ron Pizzo. You can contact Dr. Dayna Lee-Baggley at [email protected], @drleebagley for social media and on her website www.drleebaggley.com You can contact Ron Pizzo at [email protected]] So thank you very much for watching this video. If you have more questions or concerns, please feel free to contact us here.
@sherzaminkhan2126
@sherzaminkhan2126 Жыл бұрын
If any vacancy for a laboure please adjust me in your company. I am from Pakistan 🇵🇰. Very needy. I need a visa of Canada 🇨🇦.
@jacquesmaltais2150
@jacquesmaltais2150 Жыл бұрын
Great ideas
@workplacestrategiesforment956
@workplacestrategiesforment956 Жыл бұрын
[MUSIC PLAYING] Hello, everyone. Welcome to another Canada Life public webinar. Before we begin with today's topic, I'd like to acknowledge that I'm sitting in our Toronto office, which is situated on the territory of the Mississauga's of the Credit, the Anishinaabe the Haudenosaunee, and the Huron Wendat detonations. We acknowledge the dish With One Spoon Covenant, a treaty whose spirit is one-based in collective stewardship and sharing of land and resources, and one which extends to all nations living in present day Toronto Canada Life acknowledges the harms of the past and we respect the history people and land in the areas we live and operate. And we're committed to building relationships and moving forward in the spirit of truth and reconciliation, guided by shared principles of respect, equality, and collaboration. If you'd like to listen to French audio for today's session, you can access French interpretation by clicking on the link that was contained in the original invite. And if you no longer have that invite, go to the event page at workplacestrateg iesformentalhealth.com to find the link. And if you're doing that, please be sure to mute your computer audio as well. Our topic today is the emotional cost of caregiving-- strategies for caregivers and the leaders who support them. As always, we're joined by Mary Anne Baynton, director of collaboration and strategy with Workplace Strategies for Mental Health as well as members of the Canada Life Well-being team from all across Canada. I'm Laura, and today I'm joined by Laurel, Michelle, Ilana, Carolyn and Samia. As you listen, you're welcome to note your questions or comments in Slido. Visit slido.com and use the hashtag showing at the bottom of the screen, hashtag caregivers. Also, if you have ideas of topics that you'd like us to cover in future webinars, please feel free to share those in Slido as well. And we expect to have time left at the end of today's session to respond to your questions and comments. We'll be mentioning a number of resources that are available to you throughout today's session, and we've compiled those resources into one pagers in English and French. And we'll post those on the event page in Workplace Strategies after today's session. Laurel and Mary Anne, I'm passing it over to you now to get us started with our first topic, caregiver resources. Wonderful. Thanks, Laura. I'm going to get us started with a quote from Rosalyn Carter, former First Lady of the United States. She once said that there are four kinds of people in this world. Those who have been caregivers, those who are currently caregivers, those who will be caregivers, and those who will need caregivers. Caregiving is universal. So what is caregiving? It can be someone caring for a life partner, parent, child, or a dependent with special needs. It can be caring for an extended family member, or even a friend, or neighbor. Caregiving may be helping someone cope with activities of daily living. They may find themselves supporting the person's medical treatment, helping them make appointments, get to appointments, or advocating on their behalf with providers, agencies, or the health care system. It can be rewarding to provide care for a loved one, but it can also be overwhelming, confusing, and stressful, especially while working full-time. Caregivers often feel obligated to take care of others before taking care of themselves, which can lead to burnout, isolation, and depression. This is why we feel it's such an important topic to discuss, so that we can learn how to support caregivers through the stress and emotions associated with caregiving. And if you yourself are a caregiver, we hope that there will be some helpful information shared here today to help you. Mary Ann, what assistance does the Workplace Strategies for Mental Health site offer to caregivers to help them reduce the stress associated with their role? So Laura, there's a lot. But I want to say first just listening to you saying about caregivers don't take care of themselves first. If one more person said to me when I was a caregiver, oh, you need to take more time and care for yourself I think I might have lost my mind. Because the thing is, you're trying to do your job. You're trying to be good at being a caregiver, and you're exhausted. And the idea that you're going to go to the spa for a day is just so far from your reality that those kinds of well-intended statements just seem like somebody saying, well let's paint the sky green. So I absolutely loved all of the people that I've ever cared for in my life. But that doesn't mean that I didn't want to run and hide sometimes. It didn't mean that sometimes I felt like I had had enough. And so I want to be realistic when we're talking about this that caregiving sounds like motherhood and apple pie, but sometimes it's more like uncontrolled chaos. And a lot of the things, Laurel, that we have on the workplace strategy site-- so we have things we actually have something called caregiver resources. Which came from people giving me tips and strategies that really reduced my stress, improve my ability to care for people. We have health resources, which is when you want to learn more about the person's condition, or about how you can help them. We have information there about government services. I mean, something as simple as the benefit finder. Who knew that there was one website that the government puts up where you can say what province you live in, what the condition is of the person you're caring, for what sorts of things you need. And it'll pop up with what's available. We also have information for leaders who have caregivers in their team, who they really don't know how to help. And of course, whenever you read about it, it says flexibility, but sometimes that's not possible. So there's many other things there. And then, Jessica Grass who is a psychotherapist, she wrote for us the supportive conversation library. And among other things, talking to somebody who's in pain, or somebody who's got a mental health issue. There's talking to somebody who has chronic disease or has a terminal diagnosis. So do we have anything on Workplace Strategies? Yes, we have a lot. There's also a whole section on loss and grief and the very different approaches, the different reactions that we might have to it. So yeah, Laura. Lots. There's lots. Wonderful. And this is something, this next question is actually something that I deal with being far away, geographically far away from some of the members in my family. And that is that in many cases as a caregiver, you're also looking after logistic things, which may mean matters of housing, home care, or community support. A lot of which has to kind of be sourced locally, so how can you help individuals trying to do some of that from afar? So again, that kind of information is under caregiver resources. But let me tell you something things that I found out, is that the Red Cross often has home care services, as well as equipment that they will rent. That there are the Canadian Cancer Society may have wheelchairs or other pieces of equipment that you can use. In many provinces there's local health authorities. They have different names in different provinces, but they often can link you to resources. And almost all of what I've just talked about is free, or it's very low cost.
@workplacestrategiesforment956
@workplacestrategiesforment956 Жыл бұрын
Bonjour tout le monde. Bienvenu à un autre webinaire public de la Canada Life, Canada Vie. Avant de commencer, j'aimerais reconnaître que je suis assis dans notre bureau de Toronto situé sur le territoire des Mississauga de Crédit, d'Anichinabé [INAUDIBLE] et les Hurons-Wendat. Nous reconnaissons [INAUDIBLE], reconnaissons les traditions de partage des territoires et ressources qui recouvrent toute la région de Baie de Crédit de Toronto. Nous respectons l'histoire des peuples et des territoires des personnes sur lesquelles on a pris. On s'engage à une relation de vérité et réconciliation qui sera guidée par des qualités de collaboration. Si vous voulez écouter l'audio en français, vous pouvez avoir accès à l'interprétation en français en cliquant sur le lien qui est inclus dans notre invitation courriel. Si vous ne l'avez plus, vous pouvez aller sur notre site Web pour trouver le lien. Le sujet d'aujourd'hui, c'est le coût social de soins, des stratégies des aides-soignants par Mary Ann Baynton, directrice de coopération des stratégies, [INAUDIBLE] ainsi que des membres de l'équipe à travers le Canada. On est joint aujourd'hui par Laura, Laurel, Michelle, Ilana, Carolyn et Samia. Posez vos questions et commentaires dans Slido sur Slido.com. Utilisez le hashtag en bas de l'écran, #Caregivers. Si vous avez des idées ou des sujets dont vous voulez que l'on parle à l'avenir, partagez ça aussi avec nous. Nous allons avoir du temps à la fin de la session d'aujourd'hui pour répondre à vos questions et commentaires. Nous allons vous mentionner différentes ressources qui sont disponibles pour la session d'aujourd'hui. On a compilé ces ressources en anglais et en français et on va les mettre sur la page de clavardage de la session d'aujourd'hui. Laurel et Mary Ann, je vous passe la parole pour commencer le premier sujet: les ressources pour les aides-soignants. Merci Laura. Je vais vous donner une citation de [INAUDIBLE] Carter, l'ancienne [INAUDIBLE] de médecine. Elle a bien dit qu'il y a quatre genres de personnes dans le monde. Ceux qui ont été des aidants naturels, ceux qui sont pour le moment des aidants canadiens, ceux qui vont devenir des aidants naturels et ceux qui en ont besoin. Les aidants naturels, ça veut dire quelqu'un qui soigne pour son partenaire de vie, un enfant, un parent ou un dépendant avec des besoins spéciaux. Ça peut être pour un membre de la famille, pour un ami ou pour un voisin. Ça peut aussi être d'aider quelqu'un à traiter avec la vie quotidienne, d'aller à des rendez-vous médicaux, de faire des rendez-vous, ou d'aller les chercher pour les emmener à des rendez-vous avec le système de santé. Ça peut être une récompense, une bonne récompense d'offrir des soins de la part d'un aidant pour une personne bien aimée, mais ça peut être exigeant. Surtout, si vous travaillez à temps plein. Les aidants naturels se sentent souvent obligés de s'occuper d'autres personnes plutôt que de s'occuper de soi-même, ce qui peut mener à des burn-out, etc. C'est pour ça qu'on a trouvé que c'était un sujet important à discuter, qu'on puisse comprendre les besoins d'un aidant naturel. Si vous-même vous êtes un aidant naturel, nous espérons qu'il y a des renseignements que vous allez utiliser ensuite. Mary Ann, certains disent que le système pour les stratégies dans les sites pour la santé mentale pour les aidants naturels pour les aider avec le stress à [INAUDIBLE]. Oui, il y en a beaucoup, mais ce que vous dites, que les aidants naturels ne s'occupent pas d'eux-mêmes d'abord. Une autre personne m'a dit, quand j'étais une aidante naturelle: « Ah, vous devez prendre plus de temps pour vous-même. » Je pense que j'avais peut-être perdu la tête parce que dans le fond, vous essayez de faire votre travail, vous essayez d'être bon à être un aidant naturel et vous êtes exténué. L'idée d'aller dans un spa pour une journée, c'est tellement loin de votre réalité, que ce genre de commentaire bien intentionné nous donne l'impression que quelqu'un dit: « On veut peinturer gris ce bonhomme-là, vert ce bonhomme-là. » Alors, j'ai adoré absolument toutes les personnes de qui je me suis occupé dans ma vie, mais ça ne veut pas dire que je ne voulais pas aller me cacher des fois. Ça ne veut pas dire que parfois, je me sentais comme si j'en avais eu assez. Alors, je veux être réaliste quand nous parlons de ça parce que les aidants naturels, ça demande occasionnellement d'être une mère, mais parfois, c'est un chaos sans contrôle. Plusieurs choses que nous avons dans la stratégie, sur le site de stratégie, par exemple, on a souvent des choses, des ressources des aidants naturels qui viennent des personnes qui m'ont donné des conseils et des stratégies qui ont vraiment réduit mon stress de soigner tout le monde. On a des ressources de santé lorsque l'on veut s'occuper à en apprendre plus sur la condition de la personne. Donc, vous pouvez l'aider. Nous avons aussi des renseignements à propos des services gouvernementaux. Je veux dire, c'est aussi quelque chose simplement pour trouver les bénéfices des sites Web des gouvernements à mettre sur pied, où l'on peut dire la province dans laquelle on vit et la condition de la personne de qui vous vous occupez, le genre d'affaire que vous avez et ça vous montre tout ce qui est disponible. Nous avons aussi des renseignements pour des leaders qui ont des aides-soignants dans leur équipe et ils ne savent vraiment pas comment aider. Vous savez, lorsque l'on est lié aux questions de flexibilité, parfois ce n'est pas facile parce qu'il y a plusieurs choses à voir. [INAUDIBLE] qui est psychothérapeute, elle écrit pour une bibliothèque de conversation d'appui: lorsque l'on parle entre autres de quelqu'un qui vit des douleurs, ou des problèmes de santé mentale, quelqu'un qui a une maladie chronique ou un diagnostic terminal, alors, est-ce que l'on a quelque chose sur les stratégies en lieu de travail? Oui, on en a beaucoup. Il y a toute une section sur les pertes et le deuil ainsi que les différentes approches, les différentes réactions que nous pourrions peut-être avoir avec ça.
@workplacestrategiesforment956
@workplacestrategiesforment956 Жыл бұрын
On ne savait pas quand, mais c'était inévitable et après que j'ai arrêté d'essayer de penser: « ah, il va y avoir quelque chose » et d'être un peu partout à la fois et d'être frénétique, il y a eu un changement qui s'est opéré. Au lieu de me préoccuper sur comment l'empêcher de mourir, je me suis concentrée sur comment célébrer sa vie alors qu'elle était toujours avec nous. Ça a complètement tout changé pour moi. J'ai commencé à penser à tout moment : quel genre de souvenir peut-on créer? Est-ce que l'on peut rire plusieurs fois aujourd'hui? Est-ce que l'on peut parler du passé, de l'ancien temps, des éléments qu'elle trouverait amusants? C'est seulement parce que j'ai tellement appris sur la perte ainsi que le chagrin, que j'ai réalisé que de créer ces beaux souvenirs, ça ne ferait pas en sorte qu'elle ne me manque pas, mais lorsque j'y repenserai il y aurait beaucoup d'éléments à penser. Donc, je sais que je l'ai emmenée vers la vie en général. Donc, je sais que c'est un engagement limité. Est-ce que l'on peut le faire tous les jours, quelque chose qui est un beau souvenir? Est-ce que l'on peut objectivement le faire? Créer des moments délibérément et nous vivrons des moments amusants là-dedans. Donc, il y a d'autres éléments que j'aimerais partager avec vous. Mon oncle avait un cancer du pancréas et j'ai passé ces derniers mois avec lui. Il y avait énormément de choses à faire. Gérer l'aspect logistique, les funérailles... J'ai pris un vol vers ma maison, mais je n'avais pas de réactions émotionnelles fortes. J'ai pris un vol vers la maison quelques semaines avant l'anniversaire du décès de ma mère. C'est là que je me suis écroulée. Parfois, ça vous frappe à différents moments. On m'a dit que ça va et ça vient comme des vagues. Pendant deux ans, essentiellement, ça allait et ça venait comme des vagues, mais après ça, soudainement, il y a quelque chose qui va le déclencher, mais la différence, c'est qu'en y repensant de façon intentionnelle, je pense aux souvenirs positifs. Comment honorer les gens que j'ai perdus dans la façon où je vis ma vie présentement, les choses que j'apprécie et qui me font du bien? Et un autre élément également, c'est que j'ai rencontré quelqu'un deux fois. Cette personne allait collaborer sur un projet que je faisais pour l'Association de la santé mentale canadienne. Cette personne-là est quelqu'un qui travaillait dans un centre d'appel pour les gens en détresse. J'ai reçu un appel disant qu'il n'allait pas venir à la prochaine rencontre, puisque la personne était décédée. Elle s'était suicidée. Donc, quelqu'un que j'ai rencontré deux fois et j'étais complètement dévastée. Ça m'a fait remettre en question le travail que je fais, mon existence. Ça m'a fait remettre en question la vie en général et les gens m'ont peut-être regardé en me disant: « mais tu ne la connaissais même pas. Pourquoi est-ce que tu as une tellement grosse réaction? Tu ne la connaissais même pas. » Je veux simplement vous dire que plus j'ai appris sur la perte et le deuil, ce n'est vraiment pas en lien avec la relation avec la personne. C'est vraiment comment on s'identifie par rapport à la personne, l'attachement. Donc, la perte et le deuil, c'est unique envers nous-même, notre historique, notre personnalité, nos traumatismes passés, nos pertes passées, notre état de santé mentale, notre bien être actuel et le plus vous pouvez l'accepter et même l'accueillir en disant: « oui, ce sont mes émotions, il y a quelqu'un qui est important pour moi et quelqu'un que j'ai perdu et je dois intégrer cette perte dans ma vie et décider qui je serai maintenant, et de ne pas me sentir comme si je dois vraiment me lever par les épaules ou, peu importe, je dois me relever. » Donc, merci beaucoup Mary Ann. J'ai une question ici, parce que l'on est assez familier avec les réponses au deuil, le choc, le chagrin, etc., mais souvent, on peut observer et vivre des symptômes physiques comme la fatigue, la nausée, la douleur, la perte de poids, prendre du poids, ne pas être capable de dormir. Donc, comment ces réponses peuvent avoir un impact sur les gens dans l'environnement de travail? Donc, pour moi, le plus important, c'était vraiment, j'avais comme une espèce de brouillard mental. C'est comme si je ne pouvais pas me concentrer. À l'époque, Carolyn, vraiment, la journée suivant les funérailles de ma mère, on parlait de l'évolution de la santé mentale dans l'environnement de travail au Canada et le groupe avec lequel je travaillais, je disais: « tu dois parler plus lentement parce que c'est comme si ça n'enregistrait pas dans mon cerveau. » Donc, je comprenais que ça faisait partie du deuil. Je ne me suis pas fâchée envers moi-même ou... vraiment je ne me suis pas flagellée non plus par rapport à ça, mais il y a des choses étranges qui se passent, parfois on oublie. On oublie parfois de manger, on oublie de boire de l'eau et une des choses qu'Alan Wolfelt... si vous lisez des éléments sur le deuil, il a vraiment beaucoup écrit là-dessus et il disait que lorsque vous vivez ce processus, vraiment, buvez un grand verre d'eau et à chaque fois que vous buvez votre verre d'eau, buvez-le. Ne le buvez pas parce que vous avez soif, buvez parce que vous devez boire. Même chose avec la nourriture. N'attendez pas d'avoir faim. Donc, mangez. Dites: « je vais prendre un petit morceau parce que je sais que j'ai besoin de le faire. » Et faites-le. Mangez sans attendre d'avoir faim et je pense que ce qui est le plus important, le conseil le plus important, c'est vraiment de pouvoir bouger et d'être bon envers soi-même. Ne mettez pas de pression, comprenez que ce ralentissement physique, ça fait partie du processus et c'est correct, c'est normal. Ce n'est pas un problème de santé mentale de ressentir le deuil à la perte de quelqu'un. Voilà. Oui, merci. Samia, tu as d'autres questions pour Mary Ann à ce sujet? Oui, Mary Ann, tu faisais une référence à une citation d'Alan Wolfelt, et nous savons que c'est sur la stratégie de santé mentale en environnement de travail.
@workplacestrategiesforment956
@workplacestrategiesforment956 Жыл бұрын
Excellent, merci pour votre perspective. Ilana, est-ce que vous avez des questions finales sur ce sujet avant qu'on passe à la session de questions-réponses? Oui, j'en ai, merci, Samia. Nous avons parlé de l'espace de travail dans une perspective de prestation de soins et vous avez dit, Mary Ann, que votre travail, c'est un refuge. Lorsque l'on parle du deuil, il y a des gens qui vont continuer à bien travailler, alors qu'ils doivent faire face à la situation. Donc, on vit une grande gamme d'émotions, on a de la difficulté à prendre soin de nous, mais on reste quand même productif au travail. Donc, la question, vous avez répondu aux questions de Samia, mais je veux y aller encore plus large. Quelles sont les manières d'aider au travail tout en continuant de lutter contre le deuil? Encore une fois, Ilana, c'est unique, comme l'individu. Pour certaines personnes, ce qu'ils veulent faire, c'est de travailler avec presque aucune interruption ni interaction. Si le travail le permet, bien sûr, donc, vous pouvez le faire, il y a d'autres personnes qui sentent qu'ils ne veulent pas travailler isolés, ils ont besoin de gens autour d'eux. Donc, parfois on peut modifier les environnements de travail ou les espaces de travail ou la situation afin de pouvoir accommoder cette situation ou cette demande. Il y a des gens qui auront besoin d'une opportunité de pouvoir pleurer et on a seulement besoin peut-être de parler de comment ça pourrait marcher. Donc, je connaissais une réceptionniste et de pleurer quand tu es réceptionniste, ça ne donne pas une bonne première impression lorsque quelqu'un arrive et entre dans l'espace. Donc, il doit y avoir certaines discussions et collaborations en lien avec quoi faire lorsque ça se passe et comment les gens peuvent prendre votre place ou peu importe. Dans l'espace de travail, tout d'abord, il doit y avoir une conversation en place. Si moi je suis le « leader, » je vais dire à la personne: « Dis-moi ce que tu penses, quelles sont tes forces présentement? Qu'est-ce que tu penses que tu peux très bien faire malgré ce que tu vis? Dis-moi ce que tu penses qui pourrait être des défis. Quelles sont vos préoccupations? » Donc, ça va peut-être être plus difficile pour vous, quelque chose qui pourrait peut-être être un élément déclencheur et dis-moi comment est-ce que je peux être la personne qui va pouvoir t'aider? Donc, chaque personne sera unique et leurs besoins seront uniques également. Parfois, cette conversation de collaboration est plus facile lorsque vous êtes un « leader, » mais qu'en est-il des personnes qui sont vos collègues? Qu'est-ce qu'on peut faire sans sentir peut-être qu'on pose la mauvaise question ou on est dans l'intimité de la personne? Je pense qu'on doit comprendre qu'on doit s'empêcher de donner des conseils à moins que ce soit quelque chose en particulier qui nous soit demandé, donc une question. La meilleure chose à faire, la chose la plus gentille à faire, c'est de donner l'opportunité aux gens de pouvoir mentionner ce dont ils ont besoin et de pouvoir partager ce qu'ils ont en tête. On doit être de meilleures personnes pour écouter, que d'être des conseillers, et donc est-ce que la personne veut que nous parlions de la personne qui est décédée? Donc, il y a des gens qui ne veulent même plus dire leur nom parce qu'ils ont peur que la personne soit vraiment désespérée, paniquée. Peut-être que la personne est encore dans ma tête et je veux qu'on en parle ou peut-être que quelqu'un va dire: « je ne pourrais pas passer au travers si tu mentionnes cette personne-là, pas pendant que je suis travail, peut-être quand je serai en pause. » Donc, de vraiment comprendre, de demander à la personne: « comment vous vous sentez aujourd'hui et comment vous êtes capable de vous adapter à la situation aujourd'hui? Quelle est la meilleure approche lorsque vous vous sentez dépassée? Comment s'adapter? » Ce genre de conversations-là ont moins tendance à déclencher des émotions négatives. Donc, vous vous dîtes: « bon, il ou elle va mieux, je suis contente de voir qu'il ou elle n'est plus en douleur. » Donc, peut-être que la personne est en douleur, mais on doit moins parler et écouter plus. Excellent, merci. Je pense que c'était votre dernière question et dernière diapo. Donc, maintenant avec le temps restant, on va passer aux questions qui nous proviennent depuis Slido. Donc, avant que Laurel pose la première question, une question que l'on reçoit souvent, c'est: où trouver les ressources qui ont été mentionnées aujourd'hui? Nous avons créé des documents d'une page en anglais et en français, qui mentionne toutes les ressources ou la plupart des ressources qui ont été mentionnées aujourd'hui. Il y a des liens inclus. Donc, vous pouvez trouver les ressources sur le site. Donc, si vous allez sur Stratégies en milieu de travail sur la santé mentale, sur leur site internet et dans le champ Recherche, vous inscrivez le nom du webinaire et vous allez trouver l'information. Le site est facile, c'est facile de naviguer sur ce site-là, donc vous allez trouver l'information consolidée. Donc, passons aux questions qui sont dans Slido. Est-ce qu'on voulait commencer avec la première Laurel? Oui, oui, merci beaucoup à tout le monde pour vos questions. C'est excellent, on va pouvoir en poser le plus possible. Mary Ann, donc je vais mettre deux questions ensemble, c'est un thème familial. Donc, vos recommandations sur comment les familles vont peut-être pouvoir commencer tôt à se préparer pour prendre soin d'un membre de leur famille. Donc, rassembler la famille et donc les étapes qui devront être nécessaires à mettre en place éventuellement pour prendre soin d'un être cher. La deuxième partie de cette question, c'est qu'il y a des membres de la famille qui sont peut-être prêts à débuter ces conversations-là, il y a d'autres membres de la famille qui ne veulent même pas entendre parler de ce sujet-là. Donc, comment est-ce que vous pourriez recommander aux familles... donc, comment débuter ces conversations-là et de débuter ça tôt et comment avoir ces conversations difficiles? Comment naviguer ces conversations?
@workplacestrategiesforment956
@workplacestrategiesforment956 Жыл бұрын
Encore une fois, il y a des membres de la famille qui n'ont pas le luxe d'avoir ces conversations parce que les choses se passent très rapidement, mais que ça se passe rapidement ou pas, ou que vous ayez le temps, la conversation est que lorsque cela lieu, que voulez-vous faire? Quel genre de rôle voulez-vous prendre sur vos épaules et laisser les gens vraiment pouvoir faire ce qu'ils se sont préparés à faire? Donc, les gens partagent cette charge et pouvoir mentionner... par exemple dans mon cas, c'était moi qui ai pris ma mère et les autres, disons qu'ils n'allaient pas le faire, qu'ils n'étaient pas préparés à le faire, qu'ils n'allaient pas... donc, ils ne voulaient pas le faire. Ils ne voulaient pas y aller chacun leur tour. Donc, d'y aller et de se dire que ce n'est pas tout le monde qui va faire la même chose, mais ce n'est pas vrai. Vous faites ce que vous voulez faire. Également, on doit parler de ce que cette personne, ce que le proche aimerait. Donc, c'est une partie très importante de la conversation. Donc, de le mentionner en premier et également Laurel, ce que je voulais vraiment, je voulais mettre vraiment l'emphase sur les enfants. On ne devrait pas les garder de côté. Donc, de réaliser la façon dont on traite les enfants, à un moment ou une personne est en train de mourir, ça aura un impact sur leurs sentiments de confiance envers nous pour le reste de leur vie. S'ils pensent qu'on leur a caché des choses, s'ils pensent que nous leur disons la vérité... ça peut avoir un impact négatif s'ils sentent qu'on ne leur a pas dit la vérité. Comment leur en parler, c'est aussi très important et ça doit être basé sur leur âge, ce qu'ils sont prêts à entendre, si c'est approprié pour leur âge. Donc, il y a beaucoup d'informations, de connaissances à ce sujet, mais d'être le plus honnête possible. Donc, de leur demander ce qu'ils savent déjà, ce qu'ils ont besoin de savoir, ce qu'ils en pensent et ce qu'ils aimeraient savoir en bout de ligne. Excellent, Ilana, je me tournerai vers vous pour la prochaine question. Merci Laurel. Donc, Mary Ann, pour en revenir aux environnements de travail, est-ce qu'il y a une façon que les environnements de travail se préparent similairement aux familles? Donc, par exemple, ce qui me vient en tête, c'est que l'information soit facilement disponible sur les programmes gouvernementaux, des bénéfices et prestations. Est-ce qu'il y a d'autres suggestions pour les environnements de travail? Oui, parce que je pense que c'est Caroline qui parlait de comment la perte et le deuil va faire partie de la vie de tout le monde et donc, tout comme, souvent, on a des gens qui vont venir, qui vont parler de la santé mentale, parler de la planification financière, parler de différents sujets dans l'environnement de travail, il s'agit d'une expérience commune que nous aurons. Donc, de pouvoir parler avec les gens, parler de la partie émotionnelle de tout ça, mais aussi l'aspect pratique, l'aspect logistique de tout ça, c'est un excellent service aux employés et il y aura toujours des experts dans la communauté, que ce soit pour les maisons funéraires, par exemple, des gens qui vont venir vous parler s'il y a des hospices ou souvent ils ont des gens qui peuvent venir parler, les soins palliatifs aussi, les hôpitaux. Donc, d'aider tout le monde à normaliser une expérience qu'ils auront de façon presque inévitable. Est-ce que l'on a des suggestions pour les environnements de travail? Donc, les « leaders, » les ressources humaines, etc., les différents secteurs, sur comment aborder les aidants naturels tout en maintenant leur vie privée alors qu'ils vont discuter de leurs besoins? Encore une fois, c'est une réponse universelle à la question. Posez-leur la question. Qu'est-ce que vous voulez dire aux gens? Qu'est-ce que vous voulez garder privé? Comment voulez-vous que je parle aux gens en lien avec vos absences, s'il y a des absences et de quoi avez-vous besoin de notre part? Il y a certaines de ces choses-là qui sont tellement de base pour le « leadership » qui va emmener une sécurité mentale. Donc, c'est quelque chose d'assez universel. J'ai une autre question en lien avec la famille, de Slido. Comment s'entendre avec les frères et les sœurs, si nous savons ce qui est le meilleur pour maman ou papa, peu importe qui est la personne de qui nous nous occupons, mais nous avons tous des liens différents avec cet individu? Donc, Mary Ann, je pense que vous en avez parlé un petit peu en lien avec votre propre expérience pour votre mère et je me demandais si vous pourriez aider à aborder la question de cet individu ou y répondre. Oui, également, nous avons eu des discussions en lien avec... lorsque vous êtes avec maman, vous faites du mieux que vous pouvez. Donc, la façon dont vous allez interagir avec elle. On n'a pas dit: « Tu dois faire exactement ce que nous avons fait. » Nous essayons vraiment d'offrir une flexibilité et dans certains cas, ça signifiait ne pas vouloir voir le tout parce que la personne n'était pas d'accord, mais c'est correct, on essaie de les laisser avoir l'expérience qu'ils ont besoin d'avoir. Aussi, il y a certaines choses qui sont vraiment essentielles, en lien avec les soins. Vous pouvez probablement être d'accord pour aller voir un fournisseur de soins de santé ou un prestataire de soins pour prendre cette décision, au lieu que ce soit un frère ou une sœur qui prenne cette décision. Donc, vous pouvez vous mettre d'accord que ce fournisseur spécifique va alors donner son point de vue et les aider à décider. Donc, ça peut être difficile, mais souvenez-vous que tout le monde vit une perte et qu'il n'y a pas de compétitions de qui les aimait plus ou l'aimait plus, on va tous vivre des pertes et la personne qui avait le lien le plus difficile, c'est probablement la personne qui vivra l'expérience de deuil la plus difficile. Donc, soyez gentil. Excellent, et peut-être que je vais vous demander de conclure notre session et il est bientôt 14 heures. Donc, il y a eu beaucoup de questions sur les ressources que vous avez mentionnées, surtout celle sur les stratégies pour la santé mentale en milieu de travail, sur le site internet. Lorsque quelqu'un est sur le site, est-ce qu'il y a des conseils, des trucs que vous pourriez nous suggérer afin de pouvoir naviguer les ressources qui ont été mentionnées? Il y avait une question spécifiquement sur l'outil pour trouver la liste de bénéfices ou de prestations. Oui, c'est dans les ressources pour les aidants naturels, mais de tous les éléments qui ont été mentionnés, si vous inscrivez « aidant naturel » dans le moteur de recherche, vous allez tout trouver, mais si vous écrivez « Benefits Finder », donc « trouver les bénéfices », vous allez vous rendre à cet outil et c'est une page qui est disponible sur internet, mais peut-être aussi aller trouver l'outil de bénéfice pour le gouvernement canadien. Vous pouvez l'inscrire dans votre moteur de recherche préféré. Donc, nous sommes à la fin de notre session. C'est tout le temps que nous avions aujourd'hui. Nous voulons vous remercier tous et toutes d'avoir pris le temps de nous écouter et de contribuer avec vos questions. En tant que rappel, si vous avez des rétroactions sur la session d'aujourd'hui ou des idées pour des sujets que vous aimeriez que nous puissions présenter dans des webinaires futurs, partagez-les sur Slido et souvenez-vous de pouvoir chercher l'enregistrement de cette session en français et en anglais sur la chaîne KZfaq Stratégies en milieu de travail sur la santé mentale dans un instant. Donc, merci beaucoup, passez une très belle journée.
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@solutionsexplained Жыл бұрын
Helpful short intervention to stay calm when dealing with stress at work.
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@workplacestrategiesforment956 2 жыл бұрын
[00:00:00.00] Cette vidéo de yoga pour la santé mentale est une gracieuseté de Stratégies en milieu de travail sur la santé mentale de la Canada Vie et YogaFit Worldwide. N’hésitez pas à la visionner chaque fois que vous avez besoin d’une pause pour votre santé mentale. Nous proposons des variantes pour chaque posture afin de favoriser votre confort et le respect de vos limites, que vous soyez debout ou assis. Commençons en position assise, jambes croisées ou non, vous pouvez également les allonger, [00:00:30.00] selon votre préférence. Prenons un moment pour sentir les tensions dans notre corps et dans notre mental au moment de commencer. Détendons un peu les épaules. Remarquons aussi à quel niveau se trouve votre respiration en ce moment. Est-ce dans votre poitrine? Au milieu de votre cage thoracique? Ou bien dans votre ventre? Commençons à respirer un peu plus profondément et à faire descendre la respiration vers le ventre. [00:01:00.00] Nous pourrions placer une main sur notre ventre et une main sur la poitrine, si vous le souhaitez, pour sentir les mouvements. Nous pouvons continuer simplement avec la respiration abdominale. Nous pouvons également pratiquer la respiration à trois paliers, en ajoutant la cage thoracique - le devant, les côtés et l’arrière de la cage thoracique. La respiration [00:01:30.00] se termine sous les clavicules : ventre, côtes, puis poitrine. Tout au long de la séance aujourd’hui, visons la relaxation et la détente plutôt que la performance physique. Tout au long de la séance rappelons-nous l’essence de YogaFit. D’abord et avant tout il s’agit de respirer [00:02:00.00], de ressentir et d’être à l’écoute de son corps. Libérons-nous de tout esprit de compétition. Faisons abstraction des jugements et oublions nos attentes. Et enfin, ancrons-nous dans le moment présent. Faisons encore quelques respirations à trois paliers et remarquons la durée de l’inspiration et la durée de l’expiration. La durée de l’inspiration doit être égale à la durée de l’expiration. [00:02:30.00] Ayons peut-être la sensation de relâcher nos épaules un tout petit peu plus. On fait encore un cycle de respiration. Et quand vous êtes prêt, déposons nos mains sur les genoux et On fait rouler [00:03:00.00] les épaules à quelques reprises. Relâchons les épaules vers l’arrière, en faisant des mouvements circulaires; inspirons en montant les bras, expirons en joignant les mains devant la poitrine. Inspire en montant, expire en descendant.
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@workplacestrategiesforment956 2 жыл бұрын
Deux autres fois. Une dernière fois. [00:03:30.00] En mettant les mains sur les genoux, descendons une oreille vers une épaule en allongeant le côté du cou. Replaçons notre tête en position neutre et abaissons maintenant vers l’autre épaule. En retournant à la position neutre, baissons un peu la tête vers la poitrine, puis de nouveau en position neutre. Regardons d’un [00:04:00.00] côté, la tête au milieu, puis de l’autre côté. Revenons au centre une fois de plus tout en accueillant une flexion latérale en déposant une main sur le tapis. Inspirons en levant l’autre main, et expirons en descendant. Inspirons en montant. Une fois de plus de chaque côté, en allongeant le côté du [00:04:30.00] corps, puis en relâchant le tout. Replaçons les bras devant nous pour nous faire un gros câlin, en pratiquant l’autocompassion, pendant que nous respirons entre nos omoplates. À la prochaine ’inspiration, ouvrons les bras en cactus, expirons en amenant le bras opposé au-dessus pour nous faire un autre câlin. Inspirons en reprenant la pose du cactus, et en relâchant les mains vers le bas, serrons [00:05:00.00] le ballon de plage derrière vous, puis plaçons un bras devant nous, croisons l’autre bras devant pour étirer le dessus de notre épaule. Changeons de côté, puis ouvrons les deux mains, paumes vers le devant ou pouces vers le ciel, et en bougeant à partir de l’articulation des épaules. Dessinons quelques [00:05:30.00] huit avec nos pouces en l’air, en effectuant le mouvement au niveau des épaules plutôt qu’au niveau des avant-bras. Sentons les épaules plonger vers l’avant, puis s’ouvrir vers l’arrière. Répétons ce mouvement deux autres fois. Ouvrons les bras en les remontant vers le haut, et expirons en joignant les mains devant la poitrine. Recommençons toute la séquence une fois de plus, en amenant une oreille vers l’épaule. Le menton descend vers la poitrine, et [00:06:00.00] l’autre oreille de l’autre côté. Baissons le menton vers la poitrine, reprenons la position neutre, puis regardons par-dessus une épaule. De l’autre côté. Revenons au centre et faisons rouler les épaules. En tirant les épaules vers l’arrière, amenons-nous à nouveau vers une flexion latérale, une main sur le tapis, l’autre vers le ciel. Expirons en redescendant. De l’autre côté, [00:06:30.00] inspirons en levant le bras. Expirons en descendant. Une fois de plus de chaque côté. Inspirons. Dernière fois de ce côté, puis posons les mains sur les genoux. Enchaînons avec l’étirement de la poitrine, en pressant les paumes en arrière, retournons au centre, passons un bras [00:07:00.00] devant, et on change de côté. Ouvrons grand les bras pour venir faire des huit avec nos paumes. Encore deux de plus. Dernière fois. Et inspirons tout en levant les bras au ciel. Puis joignons les mains devant notre poitrine. Pour nous lever, balayons les pieds vers un côté, appuyons-nous sur nos mains [00:07:30.00] et sur nos genoux. Déplaçons un pied vers l’avant dans un mouvement circulaire, appuyons-nous sur notre cuisse pour nous lever dans la posture de la montagne. Prenons place sur le devant de notre tapis, pieds écartés à la largeur des hanches et paumes ouvertes vers les côtés. Recentrons-nous en inspirant vers le haut et en expirant vers le bas en joignant les mains devant la poitrine. Deux fois de plus Et une dernière. Joignons les mains devant notre poitrine et reculons d’un pas dans la posture de l’oiseau volant, ouvrons nos bras en prenant la position du [00:08:00.00] cactus. On fait un côté, puis l’autre. Il est possible de placer nos bras en cactus pour toutes les postures où nous voulons garder nos mains un peu moins élevées, si nous prenons soins de notre pression artérielle ou de nos épaules, par exemple. En reculant d’un côté et de l’autre, nous ouvrons l’avant de la cuisse, qui peut être un peu tendue pour les personnes qui travaillent assises toute la journée, et nous allongeons les muscles du mollet. C’est le dernier de ce côté-ci. [00:08:30.00] Dernier de ce côté. Laissons la jambe en arrière et tournons nos pieds vers le côté long de notre tapis. Je vais me tourner vers vous pendant que vous prenez la posture de la fleur de lune, mains vers le ciel en position d’étoile à 5 branches, fléchissons les genoux et remontons en inspirant. On échauffe les grands muscles et les articulations des épaules et des hanches. Nous pouvons [00:09:00.00] maintenir la position de la fleur de lune ou fléchir au niveau de la hanche tout en faisant un cercle avec vos bras vers le bas et en les levant en inspirant. La colonne vertébrale est droite et allongée pendant que qu’on fait nos mouvements dans la posture du tournesol.
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@workplacestrategiesforment956 2 жыл бұрын
Une dernière fois. Inspirons jusqu’en haut et joignons les mains devant la poitrine. Tournons maintenant nos pieds pour faire face à l’avant du tapis, puis on fait deux petits pas ou un long [00:09:30.00] pas jusqu’à l’avant de notre tapis, de retour dans la posture de la montagne. Dans un mouvement fluide, levons les bras, fléchissons les jambes en poussant les fessiers vers l’arrière dans la posture de la chaise en expirant, et remontons en inspirant. On fait une série de chaises pour nous échauffer davantage. Encore deux [00:10:00.00] de plus. Respirons tout en remontant jusqu’en haut. Maintenant, en déployant les bras, amenons les mains sur nos cuisses tout en fléchissant au niveau de la hanche, puis remontons en inspirant pour faire une demi-salutation au soleil. Encore deux. Et une dernière fois. [00:10:30.00] Inspirons jusqu’en haut et descendons les mains devant la poitrine. Deux autres inspirations en levant les bras. Les mains devant la poitrine, reculons en effectuant une large fente, votre pied arrière bien à plat sur le sol, le genou avant au-dessus de la cheville dans la position du guerrier 1, ouvrons les bras dans le cactus une fois de plus. Maintenons les bras à cette hauteur ou les lever dans les airs. Laissons le [00:11:00.00] talon arrière au sol sur le tapis pendant que nous allongeons le tronc en vous pliant vers l’avant. Une respiration de plus ici. À la prochaine inspiration, tournons le pied arrière, les orteils vers le côté long du tapis, en maintenant le genou avant au-dessus de la cheville dans la posture du guerrier 2. (Je vais me tourner vers vous.) Tendons les bras dans les directions opposées. [00:11:30.00] Gardons les deux pieds à plat sur le sol en remarquant si la partie latérale extérieure du pied touche au plancher ou s’il roule vers l’intérieur du pied. Deux autres respirations dans la posture du guerrier 2. Et à l’inspiration suivante, plaçons la main ou l’avant-bras avant sur la cuisse. La main arrière pointe vers le ciel. Maintenons cette position; nous pouvons placer la main sur la hanche ou le bas du dos pour soulager l’épaule. Et si vous voulez, nous pouvons faire des cercles avec le bras au ciel dans n’importe quelle direction. Changeons de direction. On fait un dernier cercle en terminant avec la main au ciel. En descendant la main du haut, reprenons la posture du guerrier 2. Laissons tomber la main de derrière sur la cuisse, tendons la main avant vers le ciel en allongeant le devant du corps pour le guerrier renversé. [00:12:30.00] Respirons une fois de plus au niveau de la cage thoracique. Sur l’expiration, retournons dans la posture du guerrier 2, et enchaînons le mouvement en nous penchant vers l’avant, main de derrière vers le ciel, en effectuant une flexion latérale de chaque côté si vous êtes assis. À l’expiration, retournons à la posture du guerrier 2. À l’inspiration, penchons-nous vers l’avant, puis allons vers l’arrière. [00:13:00.00] Encore un cycle complet. Dernière fois ici, en accueillant l’angle de côté. Dernière fois en guerrier renversé, puis terminons dans la posture du guerrier 2. Pivotons le pied arrière, en position de fente, nous pouvons faire deux petits pas ou un grand pas en avant pour rejoindre le devant du tapis et reprendre la posture de la montagne. On se recentre, inspire vers le haut, expire en redescendant les mains à la poitrine. Transformons le mouvement en une demi-salutation au soleil. [00:13:30.00] Inspirons vers le haut, posons les mains sur les cuisses, inspirons pour nous relever. Une autre fois. Inspirons tout en remontant. Paumes jointes à la poitrine, étirons les jambes en reculant l’autre pied dans la posture du guerrier 1. Bras en cactus ou vers le ciel. Ancrons bien les deux pieds en alignant le genou avant et détendons les épaules un tout petit peu plus. Encore une respiration [00:14:00.00]. À la prochaine inspiration, tournons le pied arrière pour reprendre la posture du guerrier 2. (Je me tourne à nouveau vers vous.) Les orteils du pied arrière pointent légèrement vers l’intérieur. On peut regarder notre main avant ou vers le mur latéral, selon ce qui semble le plus confortable. Prenons une dernière respiration dans la posture du guerrier 2. [00:14:30.00] Appuyons ensuite la main avant ou l’avant-bras sur la cuisse, et pointons la main arrière vers l’arrière ou vers le ciel. Nous pouvons rester dans cette position ou effectuer des cercles. Changeons de direction. [00:15:00.00] Terminons le bras au ciel. On en profite pour remonter le tronc. Descendons la main arrière. Levons celle de devant. Allongeons l’avant du corps et respirons dans la cage thoracique. Ces flexions latérales sont deux des six mouvements que nous pouvons faire chaque jour pour une colonne vertébrale en bonne santé et flexible. Il s’agit d’une version alternative à la flexion latérale en position assise. renons une dernière respiration [00:15:30.00]. Plaçons les bras dans la position du guerrier 2, puis reprenons les mouvements de ce côté. Inspirons en descendant d’un côté. Expirons en reprenant le guerrier 2. Inspirons en renversant le mouvement. On fait un autre cycle complet. [00:16:00.00] Dernière fois vers l’avant. Dernière fois en renversant. Retournons dans le guerrier 2, en tournant les orteils du pied arrière, on fait deux petits pas ou un grand pour retourner à l’avant de votre tapis. Prenons la posture de la montagne, paumes vers l’avant et enchaînons une fois de plus, des demi-salutations au soleil. Inspirons vers le haut, déployons les bras vers les cuisses. On fait ce mouvement deux autres fois. [00:16:30.00] Inspirons jusqu’en haut, descendons les mains devant la poitrine. Maintenons la position, et collons les avant-bras si c’est possible, puis entrelaçons les doigts. On fait maintenant des cercles pour détendre un peu les poignets et les avant-bras. Changeons de direction. [00:17:00.00] Relâchons les mains en faisant bouger les doigts pendant que nous descendons les bras, puis secouons-les pour bien relâcher la tension. Les bras de chaque côté du corps, descendons une oreille vers l’épaule, en relâchant le haut de l’épaule et le cou. Pour amplifier la sensation d’étirement dans la partie supérieure du bras opposé, nous pouvons éloigner la main du côté opposé et la relâcher. Encore une [00:17:30.00] respiration. Laissons pendre les bras le long du corps, descendons le menton sur la poitrine, puis relevons la tête en position neutre. On fait la même chose avec l’autre oreille. On peut encore une fois tendre la main opposée. Une dernière respiration. Plaçons les bras le long du corps, menton vers la poitrine, tête en position neutre, puis ouvrons les paumes vers l’avant. Dessinons des huit encore une fois, en faisant rouler [00:18:00.00] les épaules : fermons l’épaule vers l’avant, puis ouvrons vers l’arrière. Toute la région de l’épaule est sollicitée de même que les omoplates, libérant toute la tension pouvant s’y être accumulée. Deux autres fois. Plaçons les épaules à leur position initiale, et effectuons un cycle de respiration pour nous recentrer. On en fait deux de plus.
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@workplacestrategiesforment956 2 жыл бұрын
[00:18:30.00] Lors de la dernière inspiration, descendons les mains devant la poitrine, passons un bras devant nous et étirons-le vers le haut de l’épaule. On change de côté. Maintenant, croisons les bras, une main sur chaque épaule, ou prendre la posture de l’aigle en pliant un coude de manière à ce que la main pointe vers le haut, en plaçant l’autre coude en dessous, joignons l’extérieur [00:19:00.00] des bras ensemble, ou enroulons les avant-bras en collant les paumes. Si les bras sont dans la posture de l’aigle et qu’on souhaite augmenter la sensation d’étirement, on peut éloigner légèrement les mains du visage. Nous sentirons alors l’étirement dans le haut du dos et entre les omoplates. Si les mains sont croisées sur les épaules, respirons en portant notre attention dans la région des omoplates. [00:19:30.00] On fait une autre respiration. Et ensuite, en ouvrant les bras, plaçons les paumes l’une vers l’autre pour ouvrir la poitrine. En relâchant les muscles de la poitrine, les muscles du haut du dos se renforcent un peu. Pour prendre la posture de l’aigle de l’autre côté, dirigeons le coude opposé vers l’avant, plaçons l’autre en dessous, enroulons les bras, ou rapprochons le dos des mains, ou bien croisez les bras sur les épaules et respirons dans la région des omoplates. Éloignons [00:20:00.00] les mains pour étirer davantage. Effectuons un dernier cycle de respiration. On déroule, ouvrons les bras encore une fois en approchant les paumes l’une vers l’autre pour étirer une dernière fois la poitrine. Plaçons les bras le long du corps. Prenons maintenant la posture de l’arbre, qui nous apportera l’équilibre. Déplaçons [00:20:30.00] le poids sur une jambe, tournons l’autre jambe vers l’extérieur en amenant la pointe du pied au sol et le talon en appui à l’intérieur de la jambe pour un appui plus large ou montons le pied sur la jambe. Si nous sommes assis, levons une jambe si on peut et laissons-la élevée pour faire travailler l’équilibre. Détendons les épaules en les éloignant des oreilles. C’est le moment idéal pour nous faire le rappel de nous détacher des jugements, de l’esprit de compétition et des attentes. On fait encore une respiration. [00:21:00.00] Et relâchons la jambe. On change maintenant de côté. Amenons le poids sur l’autre pied, tournons l’autre jambe. Encore une fois, on peut choisir entre laisser le pied en appui sur le sol ou sur l’autre jambe. On peut placer les bras en cactus ou même les lever. Et si on sort de la position, reprenons-la tout simplement. [00:21:30.00] On prend une dernière respiration. Relâchons les bras, puis les jambes, secouons-les un peu. En descendant sur le tapis, on fait une demi-salutation au soleil. Inspirons en levant les bras, déployons-les, plions bien les genoux, poussons les hanches derrière, posons un genou au sol derrière nous, puis le deuxième. Replaçons les pieds vers l’avant dans un mouvement circulaire, installons-nous en position [00:22:00.00] assise. Préparons-nous pour le papillon. Rapprochons la plante des pieds, et il est bienvenu de s’asseoir sur un tapis plié ou un bloc, pour être plus confortable au niveau du dos. Plantes des pieds jointes, serrons les muscles extérieurs de la cuisse pour ouvrir l’intérieur de la cuisse ou fléchir vers l’avant au niveau des hanches. Si nous sommes sur une chaise, on peut éloigner davantage les pieds et fléchir un peu aussi au niveau de la hanche. [00:22:30.00] Reprenons la respiration à trois paliers en respirant dans le ventre, les côtes et la poitrine. On fait une dernière respiration. Revenons ensuite lentement en position neutre. On peut laisser les jambes en papillon, les croiser ou prendre toute autre position. On peut même les allonger. Préparons-nous pour la posture du chat-vache. [00:23:00.00] Si nous sommes assis sur une chaise, on peut écarter un peu plus les genoux ou nous déplacer un peu vers l’avant de la chaise. Pour le chat-vache, commençons notre mouvement à la base de la colonne vertébrale. Replions un tout petit peu le coccyx vers le bas en arrondissant le dos, en descendant le menton sur la poitrine. En inspirant, plaçons les mains sous les genoux, laissons le coccyx s’incliner vers l’arrière et la poitrine s’ouvrir. Arrondissons-nous à l’expiration. Puis inspirons [00:23:30.00] en étirant et en ouvrant la poitrine. Les mouvements du chat-vache font partie des six postures importantes pour la colonne vertébrale. On peut donc faire ces deux exercices quotidiennement. Il y a donc la flexion latérale des deux côtés. En plus du chat-vache. On fait encore une série de chacune. Ouvrons grand vers l’avant, et retrouvons la position neutre de la colonne vertébrale. On passe maintenant à une position assise jambe croisée. En étendant les jambes, on peut croiser une cheville sur un tibia. Et si nous sommes sur une chaise, on peut croiser une cheville sur l’autre. On peut rester comme ça ou amener la cheville sur la cuisse. Et même sur une chaise, on peut amener la cheville sur la cuisse. On peut s’installer sur le dos si on le souhaite, ou placer les mains sur le tapis, et rapprocher le pied qui se trouve sur le sol. Gardons la colonne droite et allongée. Fléchissons le pied [00:24:30.00] croisé sur la cuisse pendant que nous étirons certains muscles de la hanche. Continuons à pratiquer la respiration à trois paliers. Relâchons lentement la jambe du dessous, en décroisant l’autre jambe. On peut les secouer un peu. Et changeons de côté, en passant sur le tibia, sur la cuisse et plions la jambe qui se trouve au sol. Gardons le pied croisé fléchi. [00:25:00.00] Et si nous sommes assis et souhaitons intensifier l’étirement, on peut se pencher un peu vers l’avant. Dernière respiration dans cette position. Étendons lentement la jambe, décroisons et secouons un peu. Lorsque nous sommes assis bien droit, le coccyx est soulevé et la colonne est en position [00:25:30.00] neutre. En pliant un genou, amenons la plante du pied à l’intérieur de la jambe. Si nous sommes assis, laissons la jambe exactement là où elle est. Servons-nous des muscles latéraux ou obliques pour exécuter une rotation. Plaçons les bras croisés devant tout en contractant les muscles latéraux, tournons le tronc, plaçons une main derrière nous, puis l’autre sur le genou. Les mains servent uniquement ici à nous soutenir et non à nous entraîner plus loin dans la torsion. Ce sont les muscles qui s’en occupent. Si nous avons une jambe [00:26:00.00] étendue, les orteils de ce pied pointent vers le ciel. Ces torsions assises sont les deux derniers mouvements vertébraux parfaits pour la routine quotidienne. Prenons une autre respiration. Lors de notre prochaine inspiration, revenons vers l’avant. Étendons la jambe et plions l’autre, en amenant la plante du pied à l’intérieur de la jambe. Encore une fois, plaçons les bras croisés devant pour [00:26:30.00] tourner de l’autre côté. On fait quelques respirations profondes tout en relâchant les tensions le long de la colonne vertébrale.
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Et lors de notre prochaine inspiration, revenons lentement vers l’avant, et reprenons [00:27:00.00] la position avec les jambes croisées. Pour la période de relaxation, si nous sommes assis sur une chaise, nous pouvons simplement fermer les yeux à demi plutôt que de les fermer complètement, surtout si nous avons tendance à nous endormir. On peut également s’allonger ou s’asseoir sur le sol si on le préfère. Trouvons la position dans laquelle nous nous sentons le plus à l’aise pour faire la relaxation. Commençons par quelques petits roulements d’épaules et portons attention à notre [00:27:30.00] respiration une fois de plus. On peut également placer une main sur le ventre et une main sur la poitrine. Sentons notre respiration avec notre main sur le ventre. Sentons nos côtes qui se déplacent vers l’avant, les côtés, puis vers l’arrière du tapis. Puis la dernière partie de l’inspiration sous les clavicules. La respiration à trois paliers est un outil que nous pouvons utiliser partout pour nous aider à nous détendre [00:28:00.00], surtout lorsque nous allongeons l’expiration. Essayons-le maintenant. Allongeons vraiment l’expiration en comptant la durée. Sentons nos épaules se détendre un peu plus. On peut laisser nos mains sur le ventre et la poitrine [00:28:30.00] ou les déposer le long de notre corps ou sur nos genoux. Pour détendre notre corps, concentrons-nous d’abord sur le front. Imaginons que nous pouvons effacer les lignes sur notre front en nous détendant. Sentons le front se lisser et l’espace entre les sourcils se détendre. [00:29:00.00] Relâchons les sourcils. Relâchons les muscles autour des orbites. Laissons les yeux toujours très sollicités s’enfoncer. Détendons les globes oculaires. [00:29:30.00] Sentons ce relâchement se propager dans les joues, l’arête du nez et dans la mâchoire. Détendons la mâchoire supérieure, puis sentons le palais s’élargir et prendre de l’expansion. Relâchons la mâchoire inférieure [00:30:00.00], laissons tomber la langue en relaxant le bout, le milieu et la racine de la langue. Sentons la détente et l’espace dans votre bouche. On peut également détendre davantage l’espace entre le nez et la lèvre supérieure, puis celui qui se trouve entre les lèvres et le menton. On détend les côtés du cou, la gorge et l’arrière du cou. Nos épaules descendent un peu plus. En détendant les épaules, relâchons le haut des bras, les [00:31:00.00] coudes, les avant-bras, les poignets et les mains. Le poids des bras permet de relâcher davantage les épaules et de détendre l’avant de la poitrine et le haut du dos. Notre cage thoracique bouge avec aisance [00:31:30.00] à chaque inspiration et à chaque expiration. Profitons des expirations pour assouplir le bas du dos, en évacuant toute tension qui pourrait s’y être accumulée. Relâchons l’avant du ventre et allongeons la colonne vertébrale pour la sentir longue et détendue. Prenons maintenant conscience des hanches, de l’extérieur de celles-ci, des fessiers et des articulations profondes de la hanche, des zones pouvant être tendues, et relâchons-les [00:32:30.00] aujourd’hui. Détendons les cuisses, l’extérieur, l’avant, l’arrière des cuisses, l’arrière des genoux, l’avant des genoux, la partie inférieure des jambes. Libérons le dessus [00:33:00.00] et la plante des pieds. Chaque inspiration apporte plus de relaxation. Chaque expiration permet d’expirer la tension qui reste ou l’énergie stagnante. Inspirons comme si tout le corps participait. [00:33:30.00] Expirons comme si chaque partie du corps expirait. Respirons maintenant de la plante des pieds jusqu’au sommet de la tête. Expirons du sommet de la tête vers la plante des [00:34:00.00] pieds. Toute tension restante s’évacue avec l’air que nous expirons. Et notre souffle parcourt tout le corps, de la plante des pieds au-dessus de la tête. Nous voilà rempli d’une énergie toute nouvelle, celle dont nous avons besoin aujourd’hui. Ces inspirations nous illuminent de la plante des pieds au sommet de la tête. [00:34:30.00] Elles transportent cette nouvelle énergie vibrante jusqu’à nos doigts et à nos orteils, qui remuent légèrement. Ce mouvement se déplace dans nos poignets et nos chevilles avec des petits cercles, et un léger hochement ou mouvement latéral de la tête, réveillant doucement notre corps. [00:35:00.00] Replaçons la tête à la position neutre et prenons un moment pour voir comment nous nous sentons mentalement et physiquement, si certaines de nos tensions ont été évacuées. Si nous étions allongés, roulons sur le côté, on fait une courte pause [00:35:30.00], puis utilisons les mains pour nous aider à nous asseoir. En position assise, commençons à cligner des yeux et à faire rouler les épaules quelques fois. Relâchons les épaules vers l’arrière. Assis bien droit, inspirons en levant les bras au ciel, expirons vers le bas. Une dernière fois. [00:36:00.00] Inspirons en levant les bras. On joint nos mains devant la poitrine. Merci d’avoir pris ce temps aujourd’hui pour prendre soin de votre santé mentale.
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@workplacestrategiesforment956 2 жыл бұрын
[00:00:00.00] Canada Life Workplace Strategies and Yoga Fit Worldwide welcome you to our yoga video for mental health. Please feel free to return to this video at any time you need a mental health break. We have tried to consider modifications for every pose, but please do only what feels safe and comfortable for you, whether standing or seated. We're starting today in a seated position, however you would like to sit, whether you'd like cross legged, [00:00:30.00] legs extended, or any other option. Noticing for a moment any tension we might feel in our physical body and in our mental body as we begin. Let's soften our shoulders down just a little bit. And also notice where your breath is landing in your body right now. Is it up in your chest? Is it in the middle of your rib cage? Or is it down towards your belly? Let's start to breathe a little deeper into our lower lobes of the lungs by breathing towards our bellies. [00:01:00.00] And if we'd like to place a hand on our stomach today and a hand on our chest, please feel free to do so as we feel our belly hands begin to move with our breath. We can continue with this belly breath. If we'd like to add on for a three-part breath, we can begin to breathe into our rib cage. The front sides and back of our ribs. And the last part of our [00:01:30.00] breath enters up underneath our collarbones, breathing belly, ribs, and chest. As we move through our practice today, let's ensure that we are keeping relaxation and release of tension as our goal, rather than working ourselves to 100% of our edge. And reminding ourselves as we move through of our yoga fit essence. We are [00:02:00.00] breathing first and foremost, feeling, listening to our bodies. We're letting go of competition. We're letting go of judgment, and we're letting go of expectation. And finally, we're staying in the present moment. As we continue with this three-part breath for a few more rounds, noticing the length of our inhalation and the length of our exhalation. And perhaps bringing them to the same length, so they match. [00:02:30.00] Perhaps feeling our shoulders sinking down just a little bit more. Let's flow through one more round of breath. As you're already releasing our hands down onto our laps, and rolling [00:03:00.00] through our shoulders a few times. Let's release the shoulders back and down moving through some circles sweeps, inhaling to rise up, exhaling down to heart center. Inhale the rise, exhaling down. We have two more. Last one right here. [00:03:30.00] Putting the hands come to the lap as we take one ear down to one shoulder. Lengthening through the side of our neck. Let's take our head back up to neutral and finding the other shoulder. And coming up to neutral in this time a little nod down towards our chest, and coming back to neutral, and we'll take a look over one [00:04:00.00] side, coming back to the middle and over to the other side. Back through to neutral once again as we head into lateral flexion, placing one hand down on the mat. Let's Inhale the other side up, exhaling down, and healing up. One more time on each side, lengthening through our side [00:04:30.00] body, and releasing this one down, bring the arms around in front of us for a big self hug, little self-compassion, as we breathe into the space between our shoulder blades. On our next inhalation, we're opening all the way up into a cactus, exhaling, taking the opposite arm on top into those cell hugs. Inhaling to open into our cactus, and releasing our hands down, we're going to [00:05:00.00] squeeze the beach ball out behind us, and then bringing one arm across, we'll cross the other arm in front, just stretching out through the top of our shoulder.
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Switching sides, and then opening both hands up, bringing the palms to face the front or thumbs to the sky, moving through our shoulder joint. We're drawing some figure [00:05:30.00] eights in the air with our thumbs, letting that movement happen at our shoulders rather than the forearms. So we're feeling the shoulders as they dive forward, and then open up to the back. Let's do two more of those. Opening all the way up, coming back up to the top, and exhaling down to heart center. Moving through that whole sequence one more time, taking one air to one shoulder. Chin coming down towards the chest, and the [00:06:00.00] ear over to the other side. Chin down towards the chest and we come up to neutral, taking a look out over one shoulder. Over the other direction. Coming back through the center and rolling through our shoulders. Sucking them down into our back pockets, we've got lateral flexion once again, one hand on the mat, the other hand reaching to the sky. Exhaling it down. On the [00:06:30.00] other side, inhale the rise. Exhaling down one more time each side with an inhaler. Last time here, and then bring the hands back onto our laps, we're moving into our chest stretch, pressing our palms back, coming back through the center, taking one arm [00:07:00.00] across, and switching sides. Opening all the way up to our palms open, figure 8. Let's do two more. Last one here. And then inhaling all the way up to the sky. Bring your hands down to our heart center. If we're moving to standing, we're going to circle sweep our feet around towards one side coming onto our hands [00:07:30.00] and knees, circling one foot forward pressing through that thigh to draw ourselves up into our Mountain Pose, coming to the top of our mats with our feet hip width apart and our palms open towards the sides. Let's come into a centering breath here with an inhaling up and an exhale down to our heart center. Two more. Last one right here. Leaving our hands down at our heart center and stepping back with one foot, we're moving into flying birds as we open up our arms into [00:08:00.00] Cactus, moving from side to side. These Cactus arms are an option for us in any of our poses that we'd like to keep our hands a little bit lower if we're caring for our blood pressure or shoulder we can come here into cactus instead. As we step back from side to side, we're opening out through the front of our thigh which might get a little tight as we sit throughout the day, as well as lengthening through our calf muscles. Here's our last one on this first side. [00:08:30.00] Last one on the second side, keeping this leg back as we turn our feet towards the long edge of our mat. I'm going to turn to face you as we move into our Moon Flowers reaching our hands up towards the sky, 5 pointed star, sinking down into a Wide Squat and inhaling to rise. Starting to warm up through the large muscles and joints of our shoulders and our hips. Let's do one more of these with the [00:09:00.00] option to stay in Moon Flowers, or we could add a hip hinge here circling our arms down and inhaling them up, keeping our spine nice and long as we hinge in Sunflowers. Let's do one last one here. Inhaling it all the way up to the top and bringing our hands down to heart center. If we were stepped back to the long edge of our mat, we're turning our feet to face the front, taking two short steps or one long [00:09:30.00] step up to the top of our mat, finding our Mountain Pose. Once again, heading into our chair flow with a rise of our arms and an exhale to sink our tail back into a Chair Squat and an inhaled flow back up. Nice functional chair flow to further warm us up. We have two [00:10:00.00] more. Inhaling all the way up to the top. And this time Swan Diving, bring your hands onto our thighs as we hip hinge inhaling to rise, a little mini Half Sun Salutation. Just warming up that hip hinge a little bit more. Last two. And our final one right here. [00:10:30.00] Inhaling it all the way up to the top and our hands down to our heart center. Two more of those centering inhales up. Keeping our hands at our heart center now as we step back into a High Lunge, placing our fullback foot on the floor, stocking our front knee over our front ankle in a Warrior 1, opening our arms up into that Cactus once again. Staying here with the arms or perhaps reaching the arms a little bit higher into a longer expression. Keeping that [00:11:00.00] back heel grounded out onto the mat as we further lengthen through that front hip flexor. We have one more breath. On our next inhale, we're pivoting on the back foot, turning our back toes more towards the long edge of the mat continuing to stack our front ankle over top-- our knee over top of our front ankle in a Warrior 2. I'll turn to face you as we reach our hands in opposite directions. [00:11:30.00] Pressing both of our feet down into the floor and noticing whether or not we're connecting with the back edge of our foot or rolling onto our inner foot. We have one more breath in a Warrior 2. And on our next inhalation, we're placing the front hand or forearm on the thigh. The back hand to the sky. Staying right here, if we're caring for a shoulder, we could place our and onto our hip or lower back. And if we wanted to add some circles, here we could circle that top arm [00:12:00.00] in either direction. Switching directions. With one more circle, ending with the hand at the top, reaching up with that top hand, flow back into our Warrior 2. Dropping the backhand onto the thigh, reaching the front hand straight up towards the sky as we lengthen through our front side body in a reverse. [00:12:30.00] We have one more breath into that front rib cage. And on our exhale, finding our Warrior 2 once again, turning this into a flow, front for on the thigh backhand to the sky moving through lateral flexion on either side if we're seated. Our exhale is Warrior 2. Our inhale to come forward and to come back. [00:13:00.00] We have one more full round. Last time here in a Side Angle. Last time in a reverse and ending in our Warrior 2. Pivoting on our back foot, we're in a High Lunge, we can take two short steps or one long step forward to come to the top of our mat once again in our Mountain Pose. Our centimeters breaths, inhaling up, exhaling down to heart center. Let's turn this one into a Half Sun Salutation. [00:13:30.00] Inhaling up, Swan Diving hands to thighs, inhaling to rise. One more of these. Inhaling all of the way up. Bringing our hands down to heart center, we'll open up as we step back with the other foot into Warrior 1. Either cactus or a long expression of the arms. Planting both of the feet as we stack that front knee and relax our shoulders just a little bit more. We've got one more [00:14:00.00] breath. On our next inhale, pivoting on that back foot, finding those Warrior 2 legs once again, I will once again turn to face you. If we were to look at our back foot, our toes are turned a little bit more in than our heel. And we can take our gaze out over our front hand or towards the sidewall whatever feels comfortable for you. Let's take one more breath in our Warrior 2. [00:14:30.00] And then front hand or forearm onto the thigh, backhand into the back pocket or up towards the sky. Option, of course, to stay as we are or adding some circles.
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Let's reverse direction. [00:15:00.00] Last one here takes us back to the top. Let's use that to help draw our cells all the way back up. Backhand coming down. Front hand rising up. Lengthening through our front side body and adding some breath into the rib cage. These lateral flexion movements are two of our six spinal movements we can do every single day to help keep our spine healthy and mobile. We did lateral flexion already seated and this is just another version. One more breath right [00:15:30.00] here. Loading those arms back into Warrior 2, we're putting all those together in our flow on this side. Inhaling to come down on one side. Our exhale is Warrior 2. Inhale to reverse it. We have one more full round. [00:16:00.00] Last time here inside angle. Last time in reverse. Coming back to our Warrior 2, pivoting on those back toes, two full steps-- or two short steps or one full step up to the top of our mat, finding Mountain Pose at the top. Coming into our mountain with our palms rolling towards the front and heading into those Half Sun Salutations again. Inhaling to rise, Swan Diving hands to thighs. We have two of those left. [00:16:30.00] Inhaling all the way up, bringing our hands down to our heart center, keeping our hands here with the option to bring our forearms a little closer together if it's available and interlacing our fingers. We're rolling through our wrists now, releasing a little bit of tension through wrists and forearms. Let's reverse direction. [00:17:00.00] Bringing those hands to neutral, we'll pulse those fingers all the way down towards our sides and then give them a good shake out at the bottom. Let the last of that tension go. With our hands at our side, let's take one ear down to one shoulder, releasing through the top of the shoulder and the neck. If we needed more sensation, releasing the opposite hand as we reach it away, adding that sensation that perhaps moves down into our upper arm for some of us. We have [00:17:30.00] one more breath. Letting the hands come back in, chin coming down to our chest, and our heads up to neutral. Let's take our ears to the other side. If we still wanted more, reaching the opposite hand away. One last breath. Letting the hands come in, chin down to chest, head up to neutral and then rolling our palms open to face the front. Coming into those Figure 8s once again, moving [00:18:00.00] from the shoulder, letting the shoulder die forward and open up, helping us to get some movement happening through the full shoulder area, as well as into our shoulder blades and tops of the shoulder, releasing any more tension that we can here. Two more. Bringing those Figure 8s to neutral, and we'll Inhale up into one another one of those centering rounds of breath with two more. [00:18:30.00] This last inhale up, we'll bring your hands down to our heart center, taking one arm across as we stretch out through the top of our shoulder. Let's open it up and switch sides. Now bringing the arms either crossing them over top onto each shoulder or moving into Eagle Arms by taking one elbow out, scooping the other elbow underneath, bringing the [00:19:00.00] backs of our arms together, or bringing the forearms around, bringing the palms towards each other in Eagle Arms. If we were in Eagle Arms and we still felt like we needed more sensation, we could press the hand slightly away from the face and feel that stretch increase in our upper back and in between our shoulder blades. If we are having the arms just across the chest with hands on opposite shoulders, we could focus our breath into that shoulder blade space. [00:19:30.00] We one more breath here. And then opening up those arms, we're going to press the palms back towards each other into a chest expansion. Letting the chest muscles release as we add a little bit of strength through the upper back muscles. Coming into Eagle on the opposite side, we'll send the opposite elbow forward, scooping the other one underneath, wrapping the arms around each other, or bringing the backs of the hands together, or cross those arms over the shoulders and bring the breath into the shoulder blades. Pressing [00:20:00.00] palms away if we needed more. We have one last round of breath in eagle. Unwinding, opening up one more time pressing the palms back towards each other for our last chest expansion here. Let's let those arms come down to our side. So we're heading into a Tree Pose now, our balancing pose for today. As we [00:20:30.00] shift our weight slightly over to one side, we'll externally rotate through one leg bringing the ball of the foot onto the floor and the heel to the inner leg if we wanted a little wider base of support or drawing the foot up the leg. If we were in a seated post today, we might lift one leg if it was available and allow the leg to hover giving us a balancing option for seated. Softening our shoulders away from our ears. This is a great time to remind ourselves of letting go of judgment, competition, and expectation. We have one more breath. [00:21:00.00] And releasing the leg down. We're going to switch sides now. Bring our weight over onto the other foot, externally rotating. Again, wider base of support or taking the leg up, whatever feels good for you today. Arm expressions can come into Cactus, perhaps we find even raised arms. And reminding ourselves if we come out of the post, just to come back to it. [00:21:30.00] Let's take one last round of breath. Releasing the arms, releasing the legs, give them a little bit of a shake. As we prepare to head down onto the mat, we're moving through a Half Sun Salutation. Inhaling to rise up, Swan Diving from our hip hinge night, knees nicely bent, hinging through our hips, placing one knee back down on the floor behind us followed by the other. Let's scoop our feet around in front, coming into a seated position [00:22:00.00] that feels good for us today. We prepare ourselves for our Butterfly. Bringing the soles of our feet together, and if we found that it was more comfortable for us to sit on a folded mat or a block, please feel free to use that prop. With the soles of our feet together, we're either squeezing through our outer thigh muscles to open the inner or adding a little hip hinge forward. If we were on the chair, we might take our feet a little bit wider and add a little hip hinge here as well if we like. [00:22:30.00] Tuning into our three part breath once again, breathing into our bellies, our ribs and our chest. One last round of breath here. And then slowly easing ourselves back up to a neutral position. We could leave our legs in butterfly if we like or come into a cross legged or any other position. Even legs extended. As we head into a Cat Cow, [00:23:00.00] if we were seated on a chair with our knees a little bit wider if it were available to move into Cat Cow or scoot it a little forward on our chair, might feel best. As we head into our Cat Cow, we're starting our movement at the base of our spine. So allowing our tailbone to tuck under just a little bit as we round through our back body towards the back of our mat, ending with chin to chest. As we inhale, scooping the hands underneath our knees, we let the tailbone tip back and the chest open. Our exhale helps us round. Our Inhale [00:23:30.00] as we expand and open. Our Cat Cow are two more of those six important poses that we do for our spine or movements that we do for our spine. So we can add these two everyday also. So we have our lateral flexion on both sides. Our Cat Cow we have one more round of each. Opening all the way up to the front and finding that long neutral spine once again. Moving into a seated Figure 4 [00:24:00.00] now. So extending the legs out, we could cross one ankle over one shin. And if we were feeling available today for us in our chair, we could cross one ankle over the other. We could stay here or bringing the ankle over top of the thigh. And even in a chair, we could cross it over the thigh as well. We could move onto our backs if we like, or place the hands onto the mat, stepping that bottom foot closer to us if we needed more sensation. We're still keeping our spine nice and long. And if we have
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[00:24:30.00] that foot crossed over, we can keep it in a flexed position as we stretch out through some of those hip muscles and continuing with our three part breath. And slowly ease that lower leg out, uncrossing the legs. Maybe give them a little shake. And we can switch sides, crossing over shin, over thigh and/or drawing it a little closer to us. Keeping that crossed over foot flexed. [00:25:00.00] And if we were seated and still wanted more sensation, we could hinge forward towards our leg just a little bit also. One last breath here. Slowly letting that leg extend, uncrossing, give them a little bit of a shake. As we sit up nice and tall up on our sit bones, our tailbone is lifted. We're in a nice neutral [00:25:30.00] spine. Bending through one knee, we're going to bring the sole of the foot to the inner leg. And if we're seated, we're just going to leave our legs exactly where they are. We're using our side waist or oblique muscles to help us move into rotation. So maybe finding some Genie Arms contracting the side waist as we rotate belly ribs and chest to one side, placing one hand behind us, the other hand on the knee. They're just here to help support us. They're not actually here to pull us further into the twist. We let our muscles do that. If we have one leg [00:26:00.00] extended, the toes of that foot are pointing towards the sky. And these Seated Spinal Twist are the last two of our six spinal movements that we can add to our day. Let's take one more breath here. On our next inhalation, let's unwind back around towards the front. We'll extend that leg out, bending to the other, bringing the sole of the foot to the inner leg. Again, finding Genie Arms as [00:26:30.00] we rotate, belly ribs and chest to the other side. Some nice deep breaths here as we unwind some tension through the length of our spine. And on your next inhalation, let's slowly rotate back towards the front, coming back [00:27:00.00] into our cross-legged position. As we prepare to move into our relaxation, if we were in a chair today, perhaps just bringing our eyes to half mast rather than fully closed especially if we have a tendency to fall asleep. If it's preferable to either lay down or sit down on the floor, that's an option also. Finding our way into whatever position we feel most comfortable in to move into the relaxation today. Let's start with just a few little shoulder rolls, tucking them down once again and noticing [00:27:30.00] our breath once again. And if we wanted to place a hand on our belly and a hand on our chest once more, we could do so. Noticing our breath in our belly hand. Feeling those ribs as they move to the front, the sides, and towards the back of our mat. And that last sip of breath up underneath our collarbones. Our three part breath being a tool that we can take with us anywhere to help us shift [00:28:00.00] from perhaps a more stressed out state into a more relaxed state especially as we lengthen our exhalation. So let's do that now. Really lengthen through the exhale adding a counter to the length of your breath out. Feeling those shoulders soften just a little bit more. We could stay here with our hands on belly and chest if [00:28:30.00] we like or let them relax at our sides or onto our lap. As we start to relax through our physical body, let's take our awareness to our foreheads first. Imagine that we could erase any lines through our forehead as we relax, any tension we might hold here. Feeling the forehead soften and relaxing the space between our eyebrows. [00:29:00.00] Release the eyebrows themselves. As we begin to soften around the eye sockets, letting all those fine muscles release. Letting our hardworking eyes sink back. Softening through the eyeballs. [00:29:30.00] Feeling that softening in through the cheeks, the bridge of the nose, and into the jaw. Relaxing through the upper row of teeth and gums, through the roof of the mouth, letting the roof of the mouth widened and broadened. Releasing the lower row of teeth and [00:30:00.00] gums, allowing the tongue to sink down as we relax the tip of the tongue, middle of the tongue, and the root of the tongue. Feeling relaxed and spacious in the mouth. As the mouth relaxes, we can relax further through the space between the nose and the upper [00:30:30.00] lip, through the lips and into the chin. Releasing down the sides of the neck, the throat, and the back of the neck. Letting our shoulders sink away just a little further. As those shoulder sink away, we can release to the tops of the arms, the [00:31:00.00] elbows, lower arms, wrists, and hands. The weight of the arms helping us to release the shoulders further and relax through the front of the chest and into the upper back. Our rib cage moving with ease [00:31:30.00] on each breath in and each breath out. Softening to the lower back, letting any tension we might hold here move out on our exhalation. Softening through the front of the [00:32:00.00] belly and lengthening through the spine, allowing it get to feel spacious and relaxed. As we take our awareness to our hips, the outside of the hips and the seat and deep into the hip joints, areas where we may hold on to tension, let's give ourselves permission to let that [00:32:30.00] go today. And relaxing through the thighs, outer thigh, fronts of the thighs, backs of the thighs, into the back of the knees, the fronts of the knees, lower legs. Releasing tops of [00:33:00.00] the feet, and soles of the feet. Each inhalation drawing in more relaxation. Each exhalation allowing us to breathe out any remaining tension or stagnant energy. Breathing in as though our whole body could breathe in. [00:33:30.00] Exhaling as though the whole body could exhale. Breathing in now from the soles of the feet all the way to the crown of the head. Exhaling from the crown of the head out the soles of the [00:34:00.00] feet. Any remaining tension moving out with our exhalation. And our breath in from the soles of the feet to the crown. Full of vibrant renewed energy, whatever energy we need to serve us for the rest of our day. Feeling those inhalations light us up from the soles of the feet to the crown of the head. [00:34:30.00] Bringing that new vibrant energy into our fingers and our toes with a little wiggle of those fingers and toes. That physical movement moving into our wrists and ankles with a little rotation, and a gentle nod or side to side of the head, gently waking our body. [00:35:00.00] Bringing our heads to neutral and pausing for a moment here to just notice how we're feeling mentally, how we're feeling physically, if we were able to move some tension out of our body or mind today. And if we were laying down, perhaps rolling to one side, pausing for a [00:35:30.00] moment, then using the hands to help press ourselves back up to a seated position. As we find seated, sitting up nice and tall, perhaps starting to blink the eyes open and rolling through our shoulders a few more times. Letting our shoulders release down into our back pockets. As we sit up nice and tall, let's inhale up, exhaling a little swan dive. Last time. [00:36:00.00] Inhaling all the way up to the top. Bring your hands down to heart center. Thank you for sharing your time with us today and taking time to take care of your mental health.
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Bienvenue à tous à un autre webinaire public de La Canada Vie. Si vous souhaitez écouter l'audio en français pour la session d'aujourd'hui, vous pouvez accéder à l'interprétation en français en appelant le numéro affiché à l'écran. Assurez-vous de couper le son de votre ordinateur. Nous avons également placé cette information dans les questions-réponses de la réunion. Si vous n'êtes pas situé à London, Ontario, veuillez sélectionner le lien dans les questions et réponses pour localiser le numéro local de votre région. Notre bureau est situé sur le territoire du Mississauga de Crédit des Anishinaabe, des Haudenosaunee et des nations Huronne-Wendat. Nous reconnaissons la convention [INAUDIBLE], un traité dont l'esprit est basé sur l'intendance collective et le partage des terres et des ressources et qui s'étend à toutes les nations vivant dans l'actuel Toronto. La Canada Vie reconnaît les tords du passé et respecte l'histoire, les gens et les terres des régions où nous vivons et opérons. Nous nous engageons à établir des relations et à aller de l'avant dans un esprit de vérité et de réconciliation guidé par des principes communs de respect, d'égalité et de collaboration. Aujourd'hui, c'est le deuxième anniversaire de notre premier webinaire, le 04 mai 2020, et comme toujours, nous sommes accompagnés de Mary Ann Baynton, directrice des Stratégies en milieu de travail pour la santé mentale, ainsi que des membres de l'équipe santé et bien-être de la Canada-Vie de partout au Canada. Je m'appelle Laura et je suis accompagné de Samia, Michelle, Carolyn, Caroline et Ilana. Pendant que vous écoutez, vous êtes invité à noter vos questions ou commentaires dans les questions et réponses en anglais ou en français. Il nous restera du temps à la fin de la session pour répondre à certaines questions et commentaires. De plus, si vous avez des idées de sujets que vous aimeriez que nous abordions dans de futurs webinaires, n'hésitez pas à les partager également. Enfin, nous mentionnerons un certain nombre de ressources qui sont à votre disposition tout au long de la session d'aujourd'hui. Nous avons compilé ces ressources sur une seule page en anglais et en français et nous les publierons sur le site Stratégies en milieu de travail après la séance d'aujourd'hui. Samia va nous lancer sur le thème de l'équilibre. Samia. Si nous avons appris quelque chose au cours des deux dernières années, c'est l'importance de l'équilibre. La pandémie a certainement déstabilisé notre quotidien et nous a exposé à être en dehors de notre zone de confort. Avant la pandémie, beaucoup d'entre nous avaient des routines habituelles, des horaires pour la maison, des horaires de travail et des activités sociales éparpillées tout au long de notre semaine et peut-être avions-nous même ce temps précieux pour une soirée cinéma à la maison. Mais en quelques jours, tout a été bouleversé et plusieurs d'entre nous, moi, y compris, se sont retrouvés sans routine et sans équilibre. [INAUDIBLE] en première ligne, comme travailleurs essentiels, ont ressenti beaucoup de pression et estiment qu'il est encore plus difficile de trouver de l'équilibre dans leurs familles.
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Ceux qui travaillent depuis leurs domiciles, surtout ceux qui ont de jeunes enfants, se retrouvent non seulement à travailler à temps complet, mais aussi à s'occuper de leurs enfants à temps complet et ils ont peut-être aussi partagé leurs espaces de travail avec d'autres membres de la famille, ce qui leur laisse très peu de temps pour eux-mêmes. Si nous sommes en état d'équilibre, nous nous sentons capables de gérer les exigences du travail, de la famille et de notre vie personnelle. Sans cet équilibre, ces exigences nous laissent souvent épuisés et même accablés. Au cours de la séance d'aujourd'hui, nous allons parler de ce que nous avons du mal à contrôler, c'est-à-dire nous-mêmes et nos réactions aux facteurs de stress qui nous entourent. Ensuite, nous participerons à une courte pause pendant laquelle nous vous demanderons de participer à une brève activité guidée. Après cela, nous passerons à un peu de travail sur nous même. Nous partagerons des conseils, des idées, à appliquer dans votre vie privée et professionnelle. Enfin, nous terminerons la séance par une séance de questions et de réponses. Michelle commencera la conversation au sujet de nous-mêmes et de nos réactions. Merci. Alors comment se sent-on quand on est soumis à un stress excessif? Comment se sent-on sur une base quotidienne? Cela change selon nos circonstances. Lorsque nous vivons un stress excessif, nous pouvons être épuisés, pressés, distraits, débordés, voire frustrés. Nous avons peut-être l'impression de décevoir les gens. Nous pouvons craindre d'être critiqués ou jugés. Rester dans cet état de stress excessif n'est pas bon pour nous ni pour notre vie familiale et professionnelle. Mary Ann, vous avez beaucoup parlé d'épuisement et de l'impact que cela a eu sur vous personnellement. Pouvez-vous parler de votre expérience en matière de stress excessif? Eh bien, je pense que ce que vous avez décrit, Michelle, ça a été ma vie pendant 20 ans et à présent, je pense que je suis beaucoup mieux outillé pour composer avec un stress excessif. Je pense souvent à Teddy [INAUDIBLE] Brown. Quel est le récit que je me raconte? Je vois que lorsque le stress est excessif, en fait, ce n'est pas forcément ce que je dois faire, ma liste de tâches à accomplir. Plutôt, c'est moi qui me dit : « Tu n'y arriveras pas », « Tu as trop de choses à faire », « Tu vas être en échec », « Tu vas décevoir les gens ». Et ce que j'ai appris, c'est plutôt d'être plus objectif par rapport à ces réflexions, par rapport à ce récit. Et entre autres, dans notre plan de résilience, il s'agit d'une ressource gratuite qui se trouve sur notre site Web de stratégies au travail, l'Université de Chicago a partagé quelque chose qu'on appelle les 4A, c'est-à-dire, que si on peut prendre un peu de recul et ne pas être si réactionnaire lorsqu'il y a un stress, et qu'on procède de manière plus réfléchie, les 4A : peut-on accepter, altérer, éviter ou encore accepter. Alors, ce que je vous propose, c'est de prendre du recul et de composer avec ce qui est dans la mesure de votre contrôle. Merci, Mary Ann. Bien, alors à présent, au travail nous sommes formés pour penser de manière critique. Cette façon de penser nous encourage à trouver des failles dans chaque situation afin de trouver des solutions, mais dans la vie lorsque nous réfléchissons de manière critique à chaque expérience, nous pouvons en retirer une partie, véritablement, de plaisir. Nous pouvons également rendre les relations moins agréables si nous regardons tout le monde de manière critique, mais nous pouvons ré-entraîner notre cerveau, le reformer pour qu'il se concentre plutôt sur ce qui est positif dans notre vie et ce pour quoi on peut être reconnaissant. Cette pratique de la gratitude peut changer notre qualité de vie. Nous connaissons tous le concept de la remise en forme. Il s'agit de faire la même chose pour notre cerveau. Notre cerveau peut être entraîné à se concentrer sur n'importe quoi. Par exemple, si vous achetez une nouvelle voiture et que vous observez autour de vous, vous allez trouver cette voiture partout. C'est que votre cerveau cherche ce type de véhicule. C'est ce qu'on appelle l'illusion de la fréquence. Après avoir vu quelque chose pour la première fois, on a tendance à la revoir plus souvent, Alors, remarquez plus souvent ce qui vous mène parfois à croire que les choses se produisent plus souvent, mais ce n'est pas forcément le cas. Tout ce qui se produit, c'est que vous êtes plus conscient de son existence. Au travail et dans la vie, il ne faut pas perdre la capacité de réfléchir de manière critique. Il est important de conserver son libre arbitre, mais il faut l'optimiser en veillant à toujours voir l'aspect positif des situations et des personnes. Caroline nous en dira quelques mots de plus. Merci Michelle. Une façon de former votre cerveau à voir les aspects positifs est de chercher délibérément les choses pour lesquelles vous pouvez être reconnaissants. Il peut s'agir de caractéristiques, de situations et d'expériences du quotidien. Alors, comme pour la voiture à laquelle Michelle faisait référence, on peut voir les points positifs qui ont toujours été présents, mais qu'on a négligés dans le passé. Le fait de noter les points positifs nous encourage à reconnaître ce qui est bien dans notre vie et ce pour quoi on peut être reconnaissant. On a tous entendu parler de pratiquer la gratitude. Il y a des gens qui se servent d'appui pour le faire. L'important, c'est d'ajouter cet exercice à votre trousse à outils, que ce soit peut-être le soir avant de dormir ou le matin en commençant votre journée. Vous pouvez aussi envisager une approche en flux tendu, c'est-à-dire que si vous êtes pressé, vous pouvez faire une pause mentale à tous moments de la journée, prendre quelques minutes pour respirer calmement et profondément pour mettre votre stress à sa place. Lorsque vous passez une mauvaise journée et que vous avez l'impression que rien n'est positif dans la vie, eh bien, essayer d'être reconnaissant pour quelque chose, par exemple, l'absence de circulation sur le retour du travail ou une place de stationnement près du supermarché lorsqu'il pleuvait ou le fait d'être arrivé au travail à l'heure. Cette pratique de gratitude peut être faite individuellement ou en équipe. Vous pouvez même l'essayer avec vos enfants en leur demandant ce qu'ils ont trouvé de bien dans leur journée pour les aider à penser de manière positive. Si vous êtes un dirigeant, vous pouvez demander à votre équipe d'écrire les choses pour lesquelles votre équipe est reconnaissant que ce soit la personne avec qui elle travaille, les réalisations de ce jour-là et ça peut être un moyen d'ouvrir ou de clore une réunion. Vous pouvez, par exemple, demandez à quelqu'un de partager une chose pour laquelle il est reconnaissant. Vous pouvez aussi également mettre en place une méthode plus formelle de partage de la gratitude au travail. Certains lieux de travail ont créé des forums de gratitude en ligne sur leurs sites intranet ou alors ils ont un tableau de gratitude où les gens peuvent afficher ce pour quoi ils sont reconnaissants ce jour-là. Nous avons aussi vu des réseaux de communications où les gens peuvent partager leur gratitude par rapport à d'autres membres de l'équipe qui les ont aidés. On affiche notre gratitude et cela peut avoir un effet positif pour toute l'équipe. Ça peut sembler facile, mais ce n'est pas le cas. Un membre de mon équipe m'a confié qu'elle avait mis en place une pratique de gratitude personnelle à plusieurs reprises, mais qu'elle n'avait pas réussi à maintenir l'activité. Elle l'a inscrit dans son calendrier, ça n'a pas marché. Elle a choisi une application gratuite, mais n'a pas continué. Elle s'est inscrite à un rappel quotidien par courriel, mais c'était un courriel de plus qu'elle devait gérer, alors elle l'a omis également. Elle a donc décidé de se concentrer sur des pratiques qu'elle savait pouvoir maintenir. En plus de s'engager à atteindre certains objectifs personnels de remise en forme cérébrale, elle a pris l'habitude d'envoyer des notes de remerciement d'appréciation à ses collègues. Exprimer sa gratitude ça peut sembler anodin, mais pas pour la personne qui reçoit cette gratitude. Ça signifie beaucoup. Ces efforts pour mettre l'accent sur la gratitude sont appuyés sur la science, beaucoup de ressources en parlent. Entre autres, c'est le cas de la Harvard Medical School où on dit dans une recherche que la gratitude est fortement et systématiquement associée à un plus grand bonheur. La gratitude aide les gens à ressentir des émotions plus positives, à savourer des expériences positives, à améliorer leurs santés et à établir des relations plus solides. Mary Ann, que pensez-vous de la gratitude?
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Eh bien, une chose, Caroline, qui est méconnue par rapport à la gratitude, c'est que si vous exprimez de la gratitude de manière peu sincère, vous dites : « Ah oui, bon, je suis reconnaissant de..., et cetera, et cetera » parce qu'on vous force la main ou alors au sein d'une équipe où on dit : « Rédigez trois choses pour lesquelles vous êtes reconnaissant par rapport au travail », cela peut avoir l'effet contraire. Cela peut vous rendre plus cynique et ça peut même être agaçant. Alors, il faut se concentrer sur les choses que vous avez soulevées, c'est-à-dire qu'on essaie vraiment d'appliquer la gratitude. Votre collègue qui a dit : « Je vais essayer de signaler à mes collègues lorsqu'ils font quelque chose que j'apprécie, je vais leur faire savoir. » Ça, c'est une forme très sincère de gratitude. Lorsque je me sers de l'un de mes journaux, le journal de cinq minutes, tel qu'il s'appelle, je m'oblige à faire quelque chose de différent tous les jours, à reconnaître quelque chose de différent tous les jours, mais je ne m'en sers pas tout le temps. Je m'en sers quand mon esprit tourne au négatif. Comme vous et Michelle l'avez toutes les deux dit, il s'agit de reformer mon cerveau, afin que si je sombre dans ces points de vue négatifs et que je veux renouer avec quelque chose qui est préférable pour ma qualité de vie, c'est-à-dire me concentrer sur le positif même dans des moments difficiles, je commencerai à l'appliquer. Alors, il y a beaucoup de données probantes au sujet de l'importance de la gratitude, mais cette gratitude, je le rappelle, doit être authentique. Vous ne devez pas inventer des choses dans l'espoir que ça fonctionne. Il faut vraiment trouver des choses pour lesquelles on est reconnaissant véritablement. Alors, merci Caroline. Merci. Alors, il y a un autre moyen de ralentir ces idées, en plus de s'adonner à la gratitude, à la reconnaissance et ça permet aussi de se détendre sur le plan mental et physique, c'est-à-dire d'inviter la pensée créative plutôt que négative pendant le travail. Alors, pendant la pandémie, notre équipe a eu beaucoup d'événements sociaux virtuels, comme ça a été votre cas aussi, et dans certains cas, on a voulu mettre en place des activités créatives. Nous sommes éparpillées partout au Canada, on ne peut pas se réunir et certainement pas pendant la pandémie. Alors, on a essayé diverses activités virtuelles pour encourager les membres de notre équipe à communiquer, mais pour autre chose que le travail. Alors, j'ai choisi une image ici, que j'affiche à l'écran, avec l'aide de ma sœur qui est artiste, j'ai envoyé ces photos à tout le monde. J'ai envoyé des directives, à savoir ce qu'il fallait pour créer ce projet et on s'est toutes réunies pendant une heure pour peindre ensemble et au début on s'est dit : « Bon, ça ne fonctionnera pas, ça ne pourra pas se faire en une heure », mais tout le monde c'est concentré sur sa peinture et ce qu'on a constaté, c'est que les conversations se sont faites de manière très naturelle et aux finales on avait toutes terminées notre peinture. Alors, pour nous, qui avons l'habitude de nous rencontrer en personne, parfois les événements virtuels paraissent un peu trop limitants, mais de toutes les activités que nous avons faites depuis deux ans, c'est celle, qui à mon avis, qui nous a le plus détendues et nous a permis de nous sentir plus connectées. C'est un exemple de la façon dans laquelle on peut être concentré sur une activité artistique, tout en étant engagé dans une conversation. Alors, dans le même thème, lorsque nous étions tous plus jeunes, je présume que dans votre cas, vous avez peut-être eu des ennuis à l'école parce que vous gribouilliez. Eh bien, il se trouve que le gribouillage peut aider à se concentrer pendant qu'on écoute. Pour certaines personnes, gribouiller leur permet de penser de manière plus innovante et créative. Nous avons une collègue au sein de notre équipe qu'on appelle une gribouilleuse de première classe et je crois qu'elle nous écoute aujourd'hui, elle saura qui elle est. Alors, lorsque nous sommes ensemble dans des réunions internes et que nous nous concentrons tous sur la formation qui est partagée, son contact, c'est qu'elle, elle est très occupée à gribouiller, à colorier, mais elle écoute. Elle écoute tout ce qui est dit parce qu'elle contribue à la conversation. Alors, manifestement, elle n'est pas distraite. On ne la détourne pas de la conversation. Et donc je lui ai demandé pourquoi elle le fait et comment ça l'aide. Et ce qu'elle m'a répondu, c'est qu'elle adore gribouiller et que ça l'aide à se concentrer. Lorsqu'elle gribouille dans une réunion, ça signifie qu'elle est concentrée sur l'écoute. Elle se sert du gribouillage pour empêcher son esprit de divaguer. Si elle ne gribouille pas, elle dit que son esprit part dans tous les sens, plutôt que de se concentrer sur le sujet. Elle a dit : « Je ne sais pas si c'est pratique, mais ça empêche mon esprit de vagabonder. » Il y a une explication psychologique. Selon un article sur [INAUDIBLE], le gribouillage peut vous aider à vous concentrer, vous aider à écouter et il peut soulager le stress, mais aussi améliorer la productivité. Cela permet aussi de contribuer à la rétention de mémoire. Pensez à griffonner un chiffre, un mot, une image par rapport à ce que vous entendez et vous avez de meilleures chances de vous en souvenir. Dans une étude, les personnes qui griffonnaient pendant un long message vocal, on les reçoit tous, se souvenaient mieux des détails du message par la suite que les personnes qui ne le faisaient pas. Les chercheurs pensent que les griffonnages et les gribouillages aident le cerveau à rester actif plutôt que l'attention permanente que l'on exige de nous constamment. Alors, si vous voulez améliorer votre capacité de concentration ou calmer vos pensées qui s'emballent, essayer de gribouiller. Ça pourra peut-être marcher. Mary Ann, nous avons quelques ressources de stratégies de travail qui peuvent être utilisées, n'est-ce pas? Oui, c'est ce qu'on appelle des pages à colorier pour les adultes. Elles sont gratuites. Vous pouvez les télécharger, il y a de magnifiques images d'ailleurs, dont vous pouvez vous servir. Alors, je souhaitais justement renchérir, Caroline. Griffonner, gribouiller, c'est une chose, oui, mais pour d'autres personnes, écouter de la musique pendant qu'elle travaille, cela leur permet de mieux se concentrer et d'éliminer d'autres bruits ou même d'autres réflexions. Pour certaines personnes, avoir un pupitre debout, ça les aide à se concentrer et il faut être persévérant, il faut trouver quelque chose qui fonctionne. Il faut faire des essais. Qu'est-ce qui vous calme, qu'est-ce qui vous aide? Moi, j'ai un esprit qui vagabonde très souvent et vous savez, cela n'a pas d'importance, qu'est-ce qui fonctionne pour vous. Ça peut être le jardinage, ça peut être l'art, la musique ou autre chose, mais si vous n'apprenez pas à ralentir votre esprit de temps à autre pendant la journée, vous êtes beaucoup plus susceptibles de vivre des problèmes associés au stress. Alors, il faut trouver un moyen de calmer votre esprit. Ah, cela me permet de faire le pont avec la prochaine question, car nous allons faire une petite pause, mais guidée, pendant laquelle nous allons réaliser une activité qui vise justement à calmer le corps et l'esprit et nous voulons que vous participiez. Ça ne dure que deux minutes et par la suite nous allons parler des avantages, des bénéfices de cette expérience. Alors, pensez à ce que vous ressentez en ce moment. Remarquez les points de tension dans votre corps ou dans votre esprit. Si vous ne le faites pas déjà, asseyez-vous et posez fermement vos pieds au sol. Placez vos mains sur vos cuisses, paumes vers le haut. Si vous êtes à l'aise, fermez les yeux, détendez-vous et respirez normalement. Détendez tous les muscles de votre visage. Concentrez l'attention sur l'arrière de vos paupières. Détendez l'arrière de votre tête, de votre nuque et de vos épaules. Détendez vos bras. Sentez vos mains sur vos genoux.
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Détendez votre poitrine, votre dos, votre abdomen et vos hanches, vos cuisses, vos mollets et vos pieds. Concentrez-vous sur les sensations de la plante de vos pieds. À présent, concentrez-vous sur les sons les plus évidents dans la pièce où vous vous trouvez. Maintenant, détendez cette attention et ouvrez doucement les yeux. Pensez à ce que vous ressentez maintenant. En moins de deux minutes et comparer cet état à ce que vous ressentiez avant cette activité. Il s'agit d'un exercice abrégé de relaxation musculaire progressive qui peut être fait sur une plus longue période. Nous nous sommes limités à deux minutes, car nous avons peu de temps, mais vous pouvez le faire sur une période beaucoup plus longue. L'objectif d'un exercice de pleine conscience comme celui-ci est de faire une pause dans votre réflexion. Vous êtes peut-être accablé par une échéance, mais prendre deux minutes pour vous concentrer sur d'autres sens comme l'ouïe ou le toucher peut vous calmer et vous ressourcer. Il est prouvé que de s'éloigner physiquement ou mentalement de son travail ou d'une situation stressante améliore la concentration et la productivité, réduit le stress et diminue le niveau de cortisol dans le cerveau et le corps. Une étude réalisée par le Center of Mind and Brain de l'Université Davis, a confirmé que le lien entre la pleine conscience et le cortisol est tellement évident qu'en quelques semaines de méditation on reçoit des résultats instantanés et durables et donc il s'agit d'une raison majeure d'incorporer la pleine conscience et la méditation dans votre pratique quotidienne, même pendant une minute ou deux. Mary Ann, je sais que nous avons aussi des ressources, n'est-ce pas? Oui, tout à fait. Il y a beaucoup de ressources sur la gestion du stress et la prévention de l'épuisement professionnel et beaucoup de conseils sur l'équilibre entre la vie professionnelle et privée. Je souhaite ajouter que nous n'avons pas forcément tous le luxe d'avoir une magnifique voix comme la vôtre, mais l'automne prochain, nous aurons des clips audio que les gens pourront utiliser pour cette raison. Alors, surveillez le site web pour les trouver. Je souhaite également parler d'une chose que je fais moi aussi. Tout ce qu'il faut, c'est de mettre la minuterie de son téléphone à 60 secondes et vraiment je ne me mets aucune pression de faire quoi que se soit que de rester immobile pendant 60 secondes. Je n'essaie pas de gérer mon esprit. Je n'essaie pas de faire quoi que ce soit de particulier. Et même ces 60 secondes permettent de calmer le système nerveux central. On sent la tension évacuer son corps et ce n'est que 60 secondes. Alors, pour ceux d'entre vous, qui comme moi, se disent : « Non, je n'ai pas le temps, j'ai une si longue liste de choses à faire ». 60 secondes. Vous pouvez vous accorder 60 secondes et ça fera une différence. Alors, je vous encourage vivement à le faire. L'autre chose, pour ceux d'entre vous qui êtes un peu plus actifs, qui, vous intéressez, par exemple, au yoga, le 16 juin, nous aurons une séance intitulée Yoga pour la santé mentale. Nous sommes allées chez YogaFit Canada et nous leur avons posé des questions, non pas sur les mouvements en particulier, mais sur les types de poses qui permettent à votre esprit de se calmer, à votre corps de se détendre, que n'importe qui peut faire, du tout début, du débutant parfait, jusqu'aux personnes qui s'adonnent au yoga régulièrement. Alors, si cela vous intéresse, le Yoga pour la santé mentale, le 16 juin, allez consulter le site internet pour les Stratégies en milieu de travail. Vous y trouverez toute l'information voulue. Merci Mary Ann. Vous m'avez donné d'excellentes idées et d'ailleurs je vais devenir adepte de ces 60 secondes. J'aimerais à présent passer à nous en milieu de travail. Il y a beaucoup de facteurs qui ont une influence sur les niveaux de stress que nous ressentons au travail. Et peut-être qu'on trouve notre travail vraiment en balance si on se sent soutenu par ses collègues ou ses dirigeants, si on s'intéresse, parce que l'on sait qu'évidemment que c'est encourageant, et si on se sent en santé. Cependant, parfois, on se sent accablé au travail, surtout si on se sent peu préparé, peu soutenu, si on ne s'intéresse pas à son travail, évidemment lorsqu'on a du mal avec notre santé physique ou avec la situation de notre famille, mais là on veut se concentrer sur les choses sur lesquelles on peut se concentrer en milieu de travail. Alors, Mary Ann, quelles sont vos réflexions par rapport à ça? Qu'est-ce qu'on peut contrôler, nous, dans notre milieu de travail? Oui, eh bien, Ilana, moi je me rappelle un moment où j'étais en épuisement. J'ai compris qu'il fallait d'abord que je précise mes priorités et que je les soumette à mon patron. Parce que, vous savez, lorsque j'étais vraiment en épuisement, lorsque j'étais vraiment accablée au travail, ma capacité avec l'harmonie, ce qui était important, était limitée. Je pensais que tout était urgent, que tout était important, personne ne pouvait faire ce que je devais faire, je devais tout faire moi-même. Avec le recul, je réalise que j'avais tort, mais je ne le savais pas à l'époque. Alors, c'est la première chose. Il faut d'abord préciser vos attentes et vos priorités pour que vous soyez certains et certaines que ce que vous faites, c'est vraiment le plus important et qu'il n'y a pas des choses que vous pourriez céder, par exemple, à quelqu'un d'autre. Il faut se poser la question : « Quand on me demande autre chose, à quoi dois-je renoncer, qu'est-ce qui peut attendre? » « Qu'est-ce qui n'est pas une priorité, si j'accepte cette tâche additionnelle? » Je sais que beaucoup de gens se disent : « Bon, je ne peux pas dire ça à mon patron. » Mon patron me dira : « Je m'en fiche, faites-le. » La vaste majorité des personnes qui ont un poste de direction, dont moi-même, lorsque je dirigeais des employés, nous ne sommes pas au courant de tout ce que vous avez sur votre liste de tâches à faire. On ne peut pas se rappeler ce que tout le monde fait. Alors, vous devez rappeler à votre supérieur que vous ne pouvez pas tout faire. Cela les arrange. Vous ne devez pas le dire de manière frustrée ou en colère. Dites tout simplement, à quoi puis-je renoncer pour faire cette autre chose? Par ailleurs, j'ai d'autres conseils pour gérer la charge de travail et le stress. D'abord, ralentissez. Vous vous dites peut-être que ce n'est pas possible parce que vous avez beaucoup de choses et je vous dis de ralentir, mais lorsque je ralentis ma façon de parler, lorsque je ralentis la prise de décision, lorsque je ralentis même mes mouvements, je suis plus efficace pendant cette période que si je me précipite, que je fais des erreurs et que j'oublie des choses, que je fais des choses sans discernement. Alors, c'est la première chose : ralentissez. Je vous promets que votre productivité et votre rendement augmenteront, si vous êtes pressé et épuisé - et pas le contraire.
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Enfin, ça vous paraîtra peut-être absurde, mais les données le prouvent : prenez des pauses. Si vous vous levez, que vous marchez, que vous prenez l'air, que vous arrêtez de constamment de travailler de manière ininterrompue, vous aurez un meilleur rendement et vous prendrez de meilleures décisions. Alors, voilà merci, Ilana. Merci, Mary Ann, vous nous avez donné beaucoup de stratégies très pratico-pratiques que l'on peut appliquer au travail. J'aimerais à présent passer au milieu de travail et ce que les milieux de travail peuvent faire. Dans un environnement de travail, si sur le plan psychologique on se sent soutenu pour faire notre travail dans un milieu sain, cela signifie qu'à la fin du travail, on peut quitter le milieu de travail intact. Tous les milieux de travail ont un certain niveau de stress. Quand je pense à, par exemple, un café où on sert des cafés le matin. À sept heures, évidemment, c'est très achalandé. Je pense, par exemple, à des comptables en période de déclaration de revenus. Alors, je vous rappelle que nous avons des ressources sur le site Stratégies en milieu de travail, qui identifient des stratégies qui peuvent être mises en place en milieu de travail pour aider les employés à composer avec le stress. Une partie de l'information ou une partie des exemples comprennent l'encouragement des employés à prendre leurs pauses, qu'ils s'agissent de vacances, de pause au travail tous les jours ou de ralentir, comme vous le disiez Mary Ann, et de promouvoir l'équilibre entre la vie professionnelle et privée, et aussi créer une culture dans le cadre de laquelle les employés se sentent à l'aise de parler avec leurs supérieurs lorsqu'ils ont des difficultés à maintenir cet équilibre entre la vie professionnelle et privée, ou à respecter les échéances. Une culture où les employés se sentent soutenus lorsqu'ils ont des difficultés personnelles ou familiales, cela leur permet de discuter avec leur supérieur. Il est important que les milieux de travail aient des programmes et des politiques pour éviter l'épuisement. Si vous êtes un dirigeant, il est important que vos subalternes quittent le travail, à la fin de la journée, avec de l'énergie. Ils ne doivent pas se sentir complètement « flappy ». Alors, posez-vous la question, est-ce que mes subalternes répondraient oui à la question suivante ou aux questions suivantes. La quantité de travail que l'on attend de moi est-elle raisonnable pour mon poste? Est-ce que je peux parler à mon superviseur de la quantité de travail que je dois accomplir? Est-ce que je dispose de l'équipement, des ressources et du temps pour faire mon travail convenablement? Mon travail est-il exempt d'interruptions et de perturbations inutiles? Ai-je la technologie qu'il me faut, ai-je le contrôle de mes tâches et est-ce que je peux leur accorder la priorité selon mes responsabilités? Les dirigeants et les équipes peuvent travailler ensemble pour aborder et améliorer la gestion de la charge de travail en milieu de travail. En tant que dirigeant, il est important d'avoir des conversations avec notre équipe, par rapport aux moyens par lesquels on peut mieux gérer la charge de travail. Ces conversations nous aideront à cultiver un milieu de travail psychologiquement sain et sûr, que l'on cherche tous à avoir. Alors, Mary Ann, de retour à vous. Je sais que le site Stratégies en milieu de travail regorge de ressources. Pouvez-vous nous en parler? Oui, effectivement. Il y a beaucoup de ressources à ce sujet, car c'est un des facteurs les plus importants dans le milieu de travail d'aujourd'hui. Si vos employés se sentent accablés, tout à fait stressés au travail, ils n'auront pas un bon rendement et donc on parle de charge de travail. Dans certains milieux de travail, la quantité de travail réalisé est problématique. Lorsque vous avez des gens qui travaillent quatorze heures par jour, six jours par semaine, sinon sept, vous avez un problème. C'est l'entreprise qui doit s'en charger. Souvent on a des problèmes de charge de travail parce que les gens travaillent huit heures par jour, cinq jours par semaine et pourtant ils disent qu'ils ont beaucoup de pression. Dans ces cas-là, le problème est beaucoup moins associé à la quantité de travail. Je me sers de moi, comme un exemple. Dans ma vie, je ne pourrai jamais terminer le travail que j'aimerais faire, car il y a tant de possibilités, tant de choses qui pourraient être faites, mais cela ne me stresse pas, car je me passionne pour mon travail. J'ai les ressources, le soutien et les gens qu'il me faut pour m'actualiser. Si on y pense, dans le milieu de travail, il s'agit moins de la quantité de travail et plutôt des moyens par lesquels on permet à chacun de s'actualiser. Quand vous travaillez au sein d'une équipe où vous avez que vous comptez, que votre travail compte, vous avez cette énergie, vous avez cette force motrice intérieure et les jours passent vite. Mais vous pouvez avoir beaucoup moins de productivité, beaucoup moins de demandes dans un milieu de travail où l'actualisation de soi n'est pas du tout à l'honneur, où on se sent menacé, que personne ne nous défend, que notre travail est constamment remis en question. Alors, il s'agit d'avoir des ressources comme celle que l'on trouve sur le site Stratégies et santé mentale ou Stratégies en milieu de travail qui permettent d'examiner d'où vient le stress. Comment peut-on se présenter au travail dans le meilleur état d'esprit possible et quitter le travail, comme vous le disiez un peu plus tôt, avec de l'énergie en réserve. Il faut comprendre que plus les demandes sont élevées à l'endroit des employés, qu'il s'agisse de charge cognitive ou sociale, plus il leur faut un contrôle par rapport à la gestion de leur travail et plus ils ont besoin de soutien, plus ils doivent se sentir épaulés. Alors, il y a beaucoup de choses qui peuvent nous aider. Une gestion encourageante est une approche qui permet d'optimiser l'énergie, la concentration des employés plutôt que de servir de l'approche punitive ou disciplinaire. Nous avons des activités de renforcement des liens au sein des équipes. Nous avons toutes sortes de ressources sur la confiance en son leadership. C'est ce qui permet de gérer la charge de travail et aussi soutenir la réussite des employés. C'est un outil très exhaustif qui permet d'aider un employé qui a peut-être une difficulté physique ou mentale, de sorte qu'ils puissent tout de même faire son travail convenablement en dépit de cette réalité, en dépit du stress auquel il est confronté dans sa vie. Alors, il y a beaucoup de choses disponibles, mais l'enjeu sous-jacent plus important, c'est de déterminer comment on se sent dans son travail et par rapport à sa position dans l'équipe. Ça peut tout changer, radicalement. Merci Ilana.
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@workplacestrategiesforment956 2 жыл бұрын
Alors, Mary Ann, nous recevons beaucoup de questions à savoir, comment on peut discuter avec son supérieur par rapport à ce dont on a besoin pour réussir au travail? Il y a beaucoup de gens qui ne se sentent pas à l'aise, par exemple, d'avoir ce genre de conversation. Qu'est-ce qui rend une conversation difficile, c'est justement notre inconfort. Donc, si on est à l'aise avec le conflit, la critique, on peut avoir ces conversations sans trop de difficultés. Mais quand on est inquiets par rapport à la réaction de l'autre personne, ce qui est souvent le cas lorsqu'il est question d'un supérieur, eh bien, on se sent plus inconfortable. Alors, apprendre à être curieux, détendu, ouvert aux idées, aux commentaires, aux conversations difficiles, cela exige ce que l'on appelle une intelligence émotionnelle, mais ça peut s'apprendre. Alors, le site Stratégies en milieu de travail dispose de ressources qui permettent aux employés d'apprendre à mieux gérer leurs réactions, contrôler l'impact qu'ils ont sur les autres. Et il y a aussi une évaluation de son intelligence émotionnelle, et cela peut aider à renforcer votre conscience de vous-même, votre conscience sociale et la gestion de vos relations, dont celles avec vos supérieurs. Alors, Mary Ann, vous en avez parlé dans le passé, mais avec le retour en milieu de travail pour un grand nombre de personnes, pouvez-vous nous dire quelques réflexions par rapport à ce que peuvent faire les employés avec leur supérieur et comment les aider à comprendre comment mieux soutenir l'employé et mieux comprendre ces besoins. Bon, alors, Caroline, souvent on m'accuse d'être trop pratique et bien que j'encourage tout le monde à faire son autoévaluation de son intelligence émotionnelle parce que ça améliorera votre qualité de vie, point à la ligne, ça améliorera toutes vos relations, pas seulement celles au travail, j'ai un moyen très simple de parler avec son supérieur de choses qui sont émotives, qui peuvent vous sembler un peu difficiles. Pensez plutôt à vous plaindre à votre supérieur ou plutôt à divulguer vos enjeux personnels au supérieur et ensuite, voyez les choses de son point de vue. Le supérieur veut que vous soyez un bon employé. Le supérieur ne comprendra probablement jamais ce que vous vivez, sur le plan personnel, mental ou affectif. Même notre famille ou nos amis, souvent, ne comprennent pas. Alors, ce que votre supérieur comprendra cependant, c'est votre besoin de faire votre travail convenablement. Alors, voici, comment je ferais les choses. Moi, je dirais à mon supérieur : « Je veux être un bon employé et à l'heure actuelle, pour le faire, j'aurais besoin de ces quelques choses de votre part ». Ces quelques choses peuvent être : « J'aurais besoin de votre aide pour établir un ordre de priorité sur ce que je dois faire et ce que je peux faire dans les 35 heures par semaine où je suis présente, par exemple. J'aurais peut-être besoin de refuser les heures supplémentaires pour le moment parce que j'ai des choses à la maison qui exige mon attention ou je vais peut-être vous demander de ne pas élever la voix quand vous me parlez parce que je vais sans doute réagir négativement à l'heure actuelle. » Vous n'avez pas besoin de divulguer quoi que ce soit, mais vous devez dire : « Je veux faire un bon travail et voici les choses qu'il me faut de votre part ». La deuxième chose que vous pouvez dire, c'est : « À l'heure actuelle, où je suis aux prises, par exemple, avec un facteur de stress, un problème de santé physique, et cetera, alors je vais faire certaines choses pour améliorer ma réussite au travail et voici ce que je pensais faire. Je pense que je vais quitter le travail à midi pour mettre un peu d'ordre dans mon esprit, pour faire un meilleur travail à mon retour. Je pense que je vais rester aux réunions où je suis vraiment nécessaire. Je pense que je vais commencer à changer mon alimentation parce que je sais que si je mange mieux, j'arriverais à me concentrer ». Enfin, quel que soit ce que vous vouliez dire. Et enfin, la dernière chose que vous allez dire c'est, pour composer avec cette crainte que vous avez par rapport à la réaction du supérieur, dites : « Si mon rendement n'atteint pas vos attentes, voici ce que j'aimerais que vous fassiez ». Et là, vous allez dire : « J'aimerais discuter avec vous en privé. J'aimerais que vous m'écriviez par courriel quels sont les problèmes, dans le cas de mon rendement, ce que je dois améliorer », quelle que soit la réponse que vous cherchiez. De sorte que le dirigeant comprennent comment interagir avec vous, que vos attentes soient claires et que vous n'attendiez pas que vote supérieur vous dise : « Ah, il y a quelque chose qui va mal. » Alors, toute l'idée, c'est que vous repreniez les rênes. Vous devez concentrer la conversation sur vous et votre rendement. Ne parlez pas de vos problèmes personnels et de votre vie familiale, mais plutôt de votre rendement au travail. Mettez en place un plan avant de prêter le son à la critique ou aux mesures disciplinaires. Merci. Merci à vous, Caroline. Alors, nous avons pris connaissance des questions et beaucoup des questions traitaient justement de ce que vous évoquez, Mary Ann. À savoir, comment, comme employé, on doit discuter avec son supérieur? Je pense que vous avez justement partagé d'excellents conseils. Nous avons reçu quelques questions au sujet du lieu où on peut trouver l'information. À peu près tout ce que nous avons évoqué se trouve gratuitement sur le site Stratégies en milieu de travail : strategiesdesantementale.com. Il est affiché à l'écran. Mais nous avons aussi des fiches qui sont des aides-mémoires, qui tiennent sur une page et qui vous permettront de retrouver ces ressources très facilement. Nous allons l'afficher sur le site de Workplace. Certains d'entre vous ont demandé si vous pouvez avoir accès à ces ressources et à cet enregistrement. Oui, cet événement est enregistré et sera affiché sur KZfaq d'ici à trois ou quatre jours, pour que vous puissiez y avoir accès. Nous voulons vous remercier aussi d'avoir pris le temps de participer. Nous n'avons jamais assez de temps pour répondre à toutes les questions que nous recevons, mais nous apprécions beaucoup vos questions, car elles permettent d'orienter les prochains webinaires. Dans le clavardage, vous nous avez donné d'excellents sujets à aborder à l'avenir. Alors, pour le moment, nous allons conclure en vous remerciant. Merci de votre participation, de vos idées et n'oubliez pas de chercher les archives de ce webinaire. Nous nous réjouissons de vous retrouver à l'avenir. Merci.
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@maryannbaynton8065 2 жыл бұрын
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@workplacestrategiesforment956 2 жыл бұрын
(DESCRIPTION) [00:00:00.00] Text, Don't let work and life drain you, learn to recharge. 1 2 2 6. 2 1 3. 5 6 3 2, London, Ontario. May 4, 2022. Workplace Strategies for Mental Health. Canada Life logo. French text. In a photo, a woman and child roller skate. (SPEECH) [00:00:09.01] Good morning and good afternoon, everybody across Canada. Welcome to another Canada Life public webinar. (DESCRIPTION) [00:00:15.77] To the right of the presentation, a presenter's video feed loads. (SPEECH) [00:00:16.51] If you are having any difficulty joining, if you saw that you had the option of joining as a presenter versus attendee, hopefully you have selected attendee and you're with us in that vein. I know a few folks have been clicking on the presenter button. So hopefully, we'll get that sorted out. And apologies if you're hearing any little dings in the background. [00:00:34.10] We would like to also note that, if you'd like French audio for today's session, you can see the login information on the screen in front of you. Make sure you mute your computer audio when you do that, so you're not hearing double sound. And the number that is showing there is local to London, Ontario. But the original invite that we sent out did contain a link, so you could access a number local to your area. [00:00:58.98] Before we begin, I want to acknowledge that I am located in Toronto, and that office is situated on the territory of the Mississaugas of the Credit, the Anishinaabe and the Haudenosaunee and the Huron-Wendat nations. And we acknowledge the Dish With One Spoon Covenant, which is a treaty whose spirit is based on collective stewardship and sharing of land and resources and one which extends to all nations living in present-day Toronto. [00:01:26.05] Canada Life acknowledges the harms of the past, and we respect the history, people, and land in the areas we live and operate. We're committed to building relationships and moving forward in the spirit of truth and reconciliation, guided by shared principles of respect, equality, and collaboration. [00:01:43.11] Today's May 4, and it's the two-year anniversary of the first May the 4th event we did in May 2020. As always, we're joined by Mary Ann Baynton, Director of Collaboration and Strategy with Workplace Strategies for Mental Health, as well as members of the Canada Life Well-Being Team from all across Canada. I'm Laura, and I'm joined by Samia, Michelle, Carolyn, Caroline, and Ilana. And you're going to be meeting all of them as we proceed today. [00:02:12.12] As you listen, you're welcome to note your questions or comments in the Q&A in either English or French. And in the time that we have at the end of the session, we'll be happy to respond to those questions. And also, if you have ideas for topics that you'd like us to cover in future webinars, please feel free to share those as well. We'd love to hear your ideas. [00:02:29.48] We will be mentioning a number of resources that are available to you throughout today's session. We have compiled those resources into one-pagers in English and French. And we will put those on the Workplace Strategies website after today's session, so don't feel like you have to frantically jot down any information with respect to the resources that we're mentioning. Samia is going to get us started with the topic of balance. Samia. (DESCRIPTION) [00:02:55.65] Samia's video feed loads. (SPEECH) [00:02:56.92] If we learned anything over the last two years, it's the importance of balance. The pandemic has certainly destabilized our day-to-day and exposed us to being outside of our comfort zone. (DESCRIPTION) [00:03:08.31] Text, Introductions. Canada Life Well-Being Team. French text. Mary Ann Baynton, Director, Collaboration and Strategy, Workplace Strategies for Mental Health. Laura, Samia, Michelle, Carolyn, Caroline, Ilana. In photos, team members smile. Samia skips past a References and Resources slide to a slide titled, Balance. French text. In a photo, a young girl grins as she balances on a man's shoulders. (SPEECH) [00:03:08.60] Prior to the pandemic, although not perfect, many of us had our regular routines, schedule for home, schedule for work, and social activities scattered throughout our week. And perhaps we even had the precious time carved out for movie night at home. [00:03:24.95] But in a matter of day, that was all disrupted. And many, myself included, found ourself without routine and without balance. Those working on the front lines, the essential workers, have had incredible pressures placed on them, making it even more difficult to find balance in their days. Those working from home, particularly those with young children, find themselves not only full-time employees but also full-time tutors and caregivers. [00:03:55.22] They may also have been sharing working space with other family member, leaving them no time to themselves. If we are in a state of balance, we feel we are able to manage the demands of work, family, and our personal lives. If we're not in a state of balance, those same demands can leave us feeling emotionally drained and overwhelmed.
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@workplacestrategiesforment956 2 жыл бұрын
[00:04:19.23] During today's sessions, we're going to talk about what we have the most control over, ourself and our reaction to all the stressors happening around us. We will then participate in a short pause, during which we'll ask you to participate in a brief guided activity. After that guided break, we're going to talk about ourself at work and share tips and ideas you can apply in your life, at work, and at life. Finally, we will end the session with a Q&A. Michelle's going to start the discussion about ourself and our reaction. [00:04:58.34] Thank you. (DESCRIPTION) [00:04:59.13] Michelle's video feed loads. Text, Ourselves and our reactions. French text. In a photo, four people sit next to one another. (SPEECH) [00:04:59.49] How do we feel when we're experiencing overwhelming stress? How we feel on a day-to-day basis can and does change based on our circumstances. When we're experiencing overwhelming stress, we may feel exhausted, pressured, distracted, overwhelmed, and frustrated. [00:05:19.04] We may fear letting people down. We may fear being criticized or judged. Remaining in this state of overwhelming stress is not good for ourselves, our home, or work lives. Mary Ann, you've talked a lot about burnout and how it affected you personally. Can you share your experiences in dealing with overwhelming stress? (DESCRIPTION) [00:05:38.57] Mary Ann smiles. (SPEECH) [00:05:39.38] I don't know, Michelle. I think what you just described was my life for about 20 years. And now, I think I'm a lot better at dealing with overwhelming stress. I think a lot about what Brené Brown says, is what's the story I'm telling myself? And I find that, when the stress is overwhelming, it's not what I actually have on my plate. It's not the things I need to do or the tasks I need to complete. [00:06:11.12] It's me saying, you're never going to get it done. You're going to let people down. You're going to be a failure. And what I have learned to do is to be more objective about those thoughts, about that story. And one of the ways that I've done that is in our Plan For Resilience, so this is a free resource that's on our Workplace Strategies website. [00:06:35.87] And the University of Chicago shared something that we call "The Four A's," that, if we can pull ourselves back from being emotional and reactionary to stress and be more thoughtful about it, The Four A's are, can we accept, alter, adapt, or avoid stress? And we don't have time to get into it here, but I really recommend that people take that time to question the story that they're telling themselves in order to step back and deal with what is rather than the big narrative that we make around how we feel about it. Thanks, Michelle. [00:07:22.20] Thanks, Mary Ann. Now, let's look at tools we can use to help manage overwhelming stress and our reaction to it. (DESCRIPTION) [00:07:28.86] Text, Training our Brains. French text. In a photo, a young girl catches snowflakes on her tongue. (SPEECH) [00:07:29.28] In work, we are trained to think critically. That way of thinking encourages us to find flaws in every situation in order to find solutions. But in life, when we think critically about every experience, we can take some of the enjoyment out of it. We can also make relationships less enjoyable if we look at everyone through a critical and judgmental perspective. [00:07:52.56] But we can retrain our brains to recognize and focus on what is good in our lives and what we can be grateful for. A gratefulness practice can change the quality of our lives. We're all familiar with the concept of training to achieve a fitness goal. This is about training our brains to achieve an overall well-being goal. Our brains can be trained to focus on anything. [00:08:16.98] For example, maybe you buy a new car and then you start seeing that car everywhere. Your brain is now unconsciously looking for that kind of vehicle. This is a frequency illusion. After noticing something for the first time, there's a tendency to notice it more often, which can lead you to believe that something is occurring more frequently when it is not. [00:08:38.64] The only thing that has changed is your awareness of that thing. In work and in life, we don't want to lose our ability for critical thinking, because it's useful, perhaps even necessary at times. But we want to balance it out by optimizing our ability to see the positive situations and people. Carolyn is going to share that with us. (DESCRIPTION) [00:09:00.61] Carolyn's video feed loads. (SPEECH) [00:09:01.37] Thanks, Michelle. One way to train your brain to see the positives is to purposefully look for things that we can be grateful for. So these things might be characteristics, situations, and experiences we have on a day-to-day basis. (DESCRIPTION) [00:09:13.91] Text, Gratitude. French text. In a photo, a man sits with a dog on his lap. He smiles as he peers down at his phone.
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@workplacestrategiesforment956 2 жыл бұрын
(SPEECH) [00:09:14.21] So just like the car that Michelle was referencing, we can begin to see the positives that were always there but may have been overlooked in the past. Writing down the positives helps us to retrain our brains to recognize what is good in our lives and what we can be grateful for. [00:09:27.73] So you've all heard of gratitude practices. Some people use journals, some use apps, or you can just think about what you're grateful for. The point is to add this to your resource toolbox as a go-to exercise, maybe at night before you go to sleep or maybe first thing in the morning when you're starting your day. You can also look at taking a just-in-time approach. So if you're feeling especially stressed, you can take a mental break at any time during the day, spend a few minutes breathing calmly, deeply, and remembering the good things in our lives, whether you're at work or at home. [00:09:58.99] And that can help put your current stressor into perspective. When you're having a bad day or struggling, it might seem like there's nothing good or positive in life. And if this is the case, can we be grateful for something small, like no traffic on our way to work or a parking spot close to the grocery store when it was raining yesterday? Maybe even just that we got to work on time. This gratitude practice can be done individually or in a team activity, perhaps even trying it with your kids, pulling from them what was good about their day to help them shift their thinking. [00:10:31.50] When you're doing this in the workplace, if you're a leader, you can ask your team to write down the things that they're grateful for in terms of their job, the people they work with, or the accomplishments they've had that day. It could be a way to open or close a meeting, so if you share one thing that you're grateful for today. Doesn't have to be work related, maybe even just something small that you're willing to share. (DESCRIPTION) [00:10:51.54] Text, Gratitude. In a photo, a man smiles as another man rests a hand on his shoulder. (SPEECH) [00:10:51.90] You can also establish a more formal method of sharing gratitude in the workplace. So some workplaces have built online gratitude forums on their intranet site, or they've put up an actual gratitude board where people can post what they're grateful for that day. We've also seen workplaces develop communication channels where people can share their gratitude for other team members who have helped them. When we post how grateful we are for help or advice from coworkers, the positive effects can expand to everyone. [00:11:19.36] So now this sounds easy, but it's not. A member of my team shared that she had established a personal gratitude practice several times but wasn't successful in sustaining the activity. She booked it into her calendar. Didn't work. She tried a free app but didn't continue with that. She signed up for a daily email reminder. But you know what? That's just another email in her inbox that she had to deal with, so that dropped off, too. [00:11:42.21] So she decided to approach it from a place where she could focus on practices that she knew she could sustain. So along with committing to some personal fitness goals, she adopted a practice of making sure to send thank you or appreciation notes to her coworkers who really helped her out. Expressing gratitude might seem like a small thing to you but not to the person who receives that gratitude. It means a lot. Maybe that's the best part of their day. [00:12:05.77] So these efforts to focus on gratitude are backed up by science, too. There are many resources to confirm this. So we'll just highlight one, and that's Harvard Medical School. So their HEALTHbeat newsletter said, "In a positive psychology research, gratitude is strongly and consistently associated with greater happiness. Gratitude helps people feel more positive emotions, relish good experiences, improve their health, deal with adversity, and built strong relationships." Mary Ann, what are your thoughts about gratitude? [00:12:35.55] Well, one thing, Carolyn, that isn't known about gratitude is that, if you are expressing gratitude insincerely, so if you're going, oh, yeah, I'm grateful for the sun, I'm grateful for the sky, because you're being forced to, or even in a team where they say write down three things you're grateful for about work, is that it can actually have the opposite effect. It can make you more cynical, and it can be annoying. (DESCRIPTION) [00:13:05.51] Mary Ann smiles. (SPEECH) [00:13:05.84] So we really want to focus on the kinds of things that you brought up, where we're trying to put it into play. And your colleague who said, OK, I'm going to start to catch my colleagues doing something that's helpful for me that I appreciate and I'm going to let them know, that's a very sincere form of gratitude. [00:13:30.26] When I use one of the journals that I like, which is the 5-Minute Journal, I force myself to have something different each day. But I don't use it all the time. I use it when my mind is now focusing more on the negative. And as you and Michelle said, it's retraining my brain. [00:13:53.81] Because if I'm lapsing into that negative outlook and I want to shift it back to what I know is better for the quality of my life, which is focusing on what's good even in a bad situation, then I'll start to apply it. So there's lots of evidence about the value of gratitude, but it's sincere gratitude that will do it, not you making stuff up, because you think it's going to work. It's finding things that matter to you. (DESCRIPTION) [00:14:27.02] Mary Ann smiles. (SPEECH) [00:14:27.72] So thanks for that, Carolyn. [00:14:31.12] Great. (DESCRIPTION) [00:14:31.64] Text, The creative brain. French text. In a screenshot of a video call, participants hold up paintings of pink roses in a blue vase. (SPEECH) [00:14:32.08] So there's another way of slowing down your thought process in addition to the gratitude and recognition that Carolyn spoke about, and it helps to relax both your mind and your body. And it's actually a way to invite free-flowing creativity into your mind rather than the critical thinking skills that we often have to handle during our workday. So during the pandemic, our team had many virtual social events, like I'm sure many of you have had. And some of them actually involved creative activities. [00:14:58.61] So we're all across the country, and we can't get together to socialize in-person, especially during the pandemic. So we've tried a few different virtual activities to help engage our team in non-work-related conversation. And a recent one that we just did this past spring, I selected a picture and you can see it on the screen here, with the help of my artist sister, sent the picture to everyone, sent instructions on what materials they needed, and then we all got together for an hour to paint and chat. [00:15:26.32] And initially, we all thought, there is no way we're going to get this all done in an hour. Everyone was focused on their painting, and what we noticed is that the conversation just flowed so well during that hour. And we were actually all done at the end. And sometimes, for all of us, virtual events feel a little bit forced or staged. [00:15:44.80] But in this case, we just chatted, like as if we were all in one room together. And out of all the events that we have done together over the last two years, this is one that I think left us all feeling the most relaxed and the most connected. And it's an example of seeing how we could be focused on an artistic activity but still engaging and contributing to a conversation. (DESCRIPTION) [00:16:08.79] Text, The Power of the Doodle. French text. Three black doodles on a white background feature floral and mandala designs. (SPEECH) [00:16:09.18] So along that same vein, when we were all younger, I'm sure many of us had gotten into trouble for doodling during school. However, recent research has shown that doodling can actually help you focus on your attention while you're listening. So for some people, doodling actually allows them more creative thinking and more innovation. We actually have a coworker on our team who is what we would call a "first class doodler." And I think she's listening today, and she'll know who she is.
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@workplacestrategiesforment956 2 жыл бұрын
[00:16:37.92] So when we're in internal meetings together and we're all concentrating on the information that's being shared and discussed, what we will see is that she's very busy doodling pictures or coloring in the lines on the paper. But she's definitely listening to what's being said, because she contributes to the conversation. So it's obvious that she's not distracted or taking her mind off of what is being discussed in our meetings. [00:17:00.93] And I asked her if she could tell us what she does and why she does it and how it helps her. And what she said is that she loves to doodle, and it actually helps her concentrate. When she doodles in meetings, it means she's actually focused on listening and she's using the doodling to keep her mind from running around all over the place. If she isn't doodling, she said her mind will wander instead of paying attention to the topic at hand. So she actually said, I don't know if there's a psychology to it, but it works for me. And you know what? There is a psychology to it. [00:17:32.32] According to an article on techwell.com, doodling can actually help you focus and make it easier to listen. It can relieve stress, and it can also improve productivity. It can also help in memory retention. So think about doodling a number or a word or maybe even an image that pertains to what you're discussing or listening to, and it's likely more to stay with you afterwards. [00:17:55.11] In one study, people who doodled during a long kind of boring voicemail message, we all get those, better recalled the details of the message later on than people who didn't. Researchers speculate that doodling helps the brain remain active compared to the strain of paying single-minded, continuous attention. So if you're looking to improve your powers of concentration or calm those racing minds during a meeting, try doodling. It just might work. Mary Ann, we have some resources on Workplace Strategies that people can use. Correct? (DESCRIPTION) [00:18:26.56] Mary Ann smiles. (SPEECH) [00:18:26.79] Yes. And they're just called "coloring pages for adults" that are there free for download, and there's some beautiful images on there for them to use. Yeah. I just want to add to that, Caroline, that the doodle, of course, is one. But for some people, listening to music while they work is a way to help them to concentrate and to eliminate other noises or even other thoughts. For some people, having the stand-up desk helps them to focus more. [00:19:04.82] And we need to be persistent to find what works for us. What settles your mind? What helps you to stop, I call it, my "monkey brain," where it's racing all the time? And it doesn't matter what it is that works for you, if it's gardening, if it's art, if it's music, or something else. But if you don't learn to quiet your mind from time to time throughout the day, you are significantly more likely to have stress-related problems. So we need to find a way to do that. Right? (DESCRIPTION) [00:19:45.77] Laura returns. (SPEECH) [00:19:46.04] That's a great lead-in to where we are now Mary Ann, because we're going to actually take a very short but guided break, during which we're going to complete an activity that is specifically designed to calm the mind and body. And we'd like you to participate. It's just a two-minute exercise. But after that, we're going to talk about the proven benefits. So think about how you're feeling right now. Notice any points of tension in your body or in your mind. (DESCRIPTION) [00:20:18.28] In a photo, a woman sits on a wooden floor in a cross-legged position. She extends one arm to the side and presses the tips of her thumb and pointer finger together. (SPEECH) [00:20:19.19] If you're not already doing so, please sit and plant both feet firmly on the ground. Place your hands on your legs with your palms up. If you're comfortable to do so, close your eyes. Relax and breathe normally. Relax all of the muscles in your face. Focus your attention on the back of your eyelids. [00:20:51.72] Relax the back of your head, your neck and shoulders, your arms. Feel your hands on your lap. Relax your chest, your back, your abdomen and hips, your thighs, your calves, your feet. [00:21:33.31] Focus on the feeling and sensations on the bottom of your feet. Now, switch your focus to the most obvious sounds in the room. Release your focus completely. Open your eyes. And think about how you're feeling now, less than two minutes from when I asked you last, and compare it to how you were feeling before you began. [00:22:05.92] This was an abbreviated progressive muscle relaxation exercise, and it can be done over a longer period. We did a two-minute exercise, because we're time-limited today. But you can do it in a longer period of time, and the intention of a mindfulness meditation exercise like this is to take a break from your thought process. [00:22:27.35] So you might be overwhelmed with a deadline, but taking two minutes to focus on other senses, like hearing and touch, can calm and recharge you. Removing yourself physically or mentally from your work or any stressful situation is proven to improve your focus and productivity, reduce stress, and decrease the level of cortisol in our brains and bodies. [00:22:50.45] A study by the Center of Mind and Brain at UC Davis confirmed the connection between mindfulness and cortisol. Their study showed that participants saw major benefits in only a few weeks of meditation. Instantaneous and lasting results with minimal time commitment is a major reason for incorporating mindfulness and daily meditation into your day, even if it's only a minute or two. Mary Ann, I know we also have resources in Workplace Strategies that can help with this, too. Right? [00:23:18.57] Yeah. There's many resources on managing stress and preventing burnout and lots of tips on work-life balance. I want to just add we don't all have the luxury of having your nice, smooth voice to walk us through the progressive muscle relaxation. (DESCRIPTION) [00:23:36.64] Mary Ann smiles. (SPEECH) [00:23:37.32] But in the fall, we're going to actually have audio clips that people can use for that, so keep watching our website for it. But I also want to say there's something that I do. [00:23:50.40] All it takes is I set my phone for 60 seconds, set the timer for 60 seconds. And I really don't put any pressure on myself to do anything but be still, and I don't try to manage my mind. I don't try to do anything in particular, and even that can relax your central nervous system. [00:24:15.24] You actually feel the tension sort of melting away, and it's only 60 seconds. So for those of you who, like me, said, I don't have time for this, I've got so many things to do, 60 seconds. We can do 60 seconds, and it still can make a difference. So I really encourage you to do that. [00:24:38.59] The other thing, for those of you who are a little more active, a little more into things like yoga, on June 16, we're having Yoga for Mental Health. And we went to YogaFit Canada to ask them about the specific things, not the stretch, turn yourself into a pretzel stuff but the types of poses that allow your mind to relax, allow your body to relax that are really for anybody, from beginner stage up. So if you're interested in coming and being part of Yoga for Mental Health on June 16, go to our Workplace Strategies website and check that out. Thanks, Laura. (DESCRIPTION) [00:25:26.36] Ilana's video feed loads. Text, Ourselves at work. French text. In a photo, a woman holds pliers above a machine's internal wiring. (SPEECH) [00:25:26.84] Well, thank you, Mary Ann. And actually, as I'm listening to you, you have given me some great ideas. And I will accept your 60-second challenge, and I will let you know how it works next time we connect. I'd like to shift the focus to us in the workplace for a moment. There are many factors that influence the level of stress we feel at work. And we might find our work to be very exciting if we are feeling trained, if we're feeling supported by our leaders, our coworkers, if we are interested in what we do, that's a big thing. And of course, if we're feeling healthy, generally healthy, both at home and at work. [00:26:02.85] Alternatively, we may feel a lot more overwhelmed at work if we are unprepared, unsupported, if we are not interested in what we do and, of course, when we are struggling with our personal health issues, family issues. What we want to focus on today are the things that are within our control as people when it com with associated workloads. So, Mary Ann, what are your thoughts on that? What are some things that we can control in the workplace?
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[00:26:34.14] Yeah. And really, Ilana, I'm drawing on when I was overwhelmed, when I was burning out, is to really clarify the expectations and the priorities that you have. And check it out with your boss, because here's the thing. When I was really into burnout, when I was really overwhelmed at work, my ability to judge what was important was impaired. I thought everything was urgent, everything was important, nobody else could help. I had to do it all. [00:27:10.79] In hindsight, I realize I was wrong, but I didn't know it at the time. So that's the first thing, clarify your expectations and priorities so that you are sure that what you're doing is what's most important and that there's not things that you could let go of at that time. You also want to think about when something else is asked of you that you say, what is it that I should let go of? [00:27:42.26] What is it that can wait? What is it that's not a priority if I take this additional task on? And I know that a lot of people think, I can't say that to my boss. They're going to say, just do it. The majority of people who are in management positions, including myself when I was a leader of employees, we don't know all the things that you have on your plate. We can't possibly remember what every single person is doing, so you reminding us that something has to give is helpful to us. You don't have to say it in an angry voice or out of frustration but just out of, what should be left? [00:28:26.60] The other two things that I really want to suggest for managing workload stress is to slow down. Now, you may think that's counterintuitive. You got so much to do, and I want you to slow down. But when I slow down the way I talk, when I slow down the way I think and make decisions, when I slow down even the way I move, I am going to be more effective at that time of overwhelm than when I'm rushing through, making mistakes, and finding that I'm forgetting things and I'm doing things incorrectly. So that's the first piece there, slow down. I promise you, your productivity and performance will go up when you're stressed and overwhelmed, not down. [00:29:17.01] And then the last one, again may seem counterintuitive to you but the science backs me up on this, take your breaks. If you get up and you walk away, if you clear your head, if you stop continuing to push through, pulling yourself up by your bootstraps, you will be more productive. You will make better decisions than if you just push through. So thanks for that, Ilana. (DESCRIPTION) [00:29:46.75] Mary Ann smiles. (SPEECH) [00:29:47.18] And thank you, Mary Ann. You have certainly given us some practical strategies to think about in our day-to-day work. (DESCRIPTION) [00:29:53.11] Text, What can the workplace do? French text. In a photo, two colleagues meet near a computer. Nearby, two colleagues stand as they chat. (SPEECH) [00:29:53.24] I'd like to shift the focus for a moment into the workplaces and what workplaces can do. In a psychologically safe workplace, we're feeling supported to do a good job in a healthy work environment. [00:30:05.60] It means for us that we can leave at the end of the workday with our mental and physical well-being intact. All workplaces have some level of workload stress. So when I think about a coffee shop during a morning or an afternoon rush hour, when I think about an accounting firm during a taxation season, so those levels of stress ebb and flow for workplaces as well. [00:30:30.41] Guarding Minds at Work is a resource accessible from Workplace Strategies for mental health from the website. It identifies a number of actions that workplaces can take that can contribute to the employee's ability to cope with stress. Some of the information there or some examples would include encouraging employees to take their entitled break, so whether it's vacation or daily breaks, slowing down just, like you had said, Mary Ann, promoting the importance of work-life balance and very importantly creating a culture where employees feel comfortable speaking with their leaders. [00:31:09.68] When they're having trouble maintaining that balance, maintaining those deadlines, a culture where employees feel supported in the workplace when they're dealing with personal and family issues, that approachability in the work environment with our leaders. And equally important is for workplaces to have programs and policies to prevent that feeling of burnout. [00:31:32.75] If you are a leader, it is important that your direct employees leave the work at the end of the day with energy left over, not to feel completely zonked out. So ask yourself, can my direct reports answer yes to the following questions? (DESCRIPTION) [00:31:48.48] Text, What can the workplace do? French text. In a photo, a man and woman hold hands and grin outdoors. (SPEECH) [00:31:48.78] The amount of work that I am expected to do is reasonable for my position. I can talk to my leader about the amount of work I have to do. I have the equipment, resources, the time needed to do my job well. My work is free from unnecessary interruptions, disruption. The technology is there for me to do it well. And I have control over my tasks, my responsibilities, and I can prioritize accordingly. [00:32:15.26] Leaders and teams can work together. This is part of that culture to address and improve workload management in the workplace. And as leaders, engaging our team in a discussion about how to better manage the workload is a great place to start. And these discussions will help cultivate a psychologically healthier, psychologically safe workplace that we all strive to have. So, Mary Ann, now back to you. I know that Workplace Strategies has a lot of resources on this topic. Can you please share a few with us? [00:32:48.17] We do have a lot of resources on this topic, Ilana, because it's one of the biggest factors in workplaces today. If your employee feels overwhelmed, if they're completely stressed out at work, they're not going to perform as well. And we talk about workload, and in some workplaces the actual amount of work is a problem. [00:33:13.10] When you have people that are working 14-hour days, 6 or 7 days a week, you've got a problem. The organization needs to deal with it. But often, we have workload issues where people are working eight hours a day, five days a week, and they're still saying that there's so much workload pressure. In those cases, the issue is much less about the amount of work. [00:33:42.05] I mean, if I use myself as an example, I will not in my lifetime finish the work that I would like to do. Because there's so many opportunities, there's so many things that could be done. But I don't have stress about it, because I'm passionate about what I am doing. I have the resources. I have the support. I have the great people around me that I work with. [00:34:09.95] If we think about this in the workplace, that it's less about the amount of work and more about the way we're made to feel about it, you just have to think about working on a team where you knew what you were doing mattered and you knew who you were mattered, that you have that energy. You have that drive. You have that passion. You want to work. And the days go by quickly. [00:34:37.40] But you could have a lot less productivity, a lot less demand in a workplace where you feel threatened, where you feel like your job's always on the line, where you feel that nobody's got your back. So some of the tools that we have are like Putting Workload on the Agenda. It's a workshop that's meant for an intact team to sit down and talk about, where does the pressure come from doing your work? How could we just come in, do the best we can, and leave at the end of the day, as you said before, with some energy left over? [00:35:15.27] We have to understand that the higher the demand you have on employees for cognitive or social skills, then the higher the control they need over how they do it, the higher the support they need or the feeling that people have their backs. So there's so many things that can help with that. Supportive performance management is an approach that helps optimize the energy and focus of employees rather than using just the discipline or punitive approach. [00:35:50.58] We have team-building activities where we have building trust for leaders. All of these things contribute to the ability to be able to manage workload. And even Supporting Employee Success, what that is is a very comprehensive tool to support an employee who may have a physical or a mental disability to be able to do their job well in spite of that, in spite of the stress that they're dealing with through life.
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@workplacestrategiesforment956 2 жыл бұрын
[00:36:23.58] So lots is available, but the biggest underlying issue is, how do we feel about the work that we're doing and ourselves on the team? That can change it completely. Thanks for that, Ilana. (DESCRIPTION) [00:36:41.17] Caroline returns. Text, Talking to your leader. French text. In a photo, a leader and team member collaborate with a tablet. (SPEECH) [00:36:41.67] So, Mary Ann, we're getting a lot of questions in the chats about how people can engage with their manager or leader in a discussion about what they need to be successful in the workplace. So many people might feel awkward or uncomfortable navigating this type of discussion, and what makes a conversation difficult is actually our own discomfort. So if we're comfortable with conflict or emotion or criticism, we can have these discussions without difficulty. That would be kind of ideal. [00:37:09.09] But when we're worried about how the other person will react, which often happens when we're dealing with a conversation with our leader, we're likely to feel a little bit more uncomfortable. So learning to be relaxed, curious, and open to ideas and feedbacks in potentially difficult conversations actually requires a level of what we call "emotional intelligence." That can actually be learned though, a good thing. So Workplace Strategies has an emotional intelligence resource for employees to help increase their ability to manage reactions, control how they can impact others. [00:37:41.46] And there's also an Emotional Intelligence Skills Assessment tool that is on the site. And it can help to improve your self-awareness, social awareness, self-management, as well as relationship management, like with your manager or leader. So, Mary Ann, I know you've talked about this in the past. But I think certainly with the transition back into the workplace for many, could you share your thoughts about what employees can do with their supervisors and how they can help them understand how to best support the employee as well as their needs? [00:38:11.31] Yeah. Sure. So, Caroline, I get accused all the time of being very practical. And although I really encourage everybody to do the Emotional Intelligence Self-Assessment and learn-- because that's going to improve your quality of life, period. It's going to improve all of your relationships. I have a simple way, though, of speaking to your leader, your boss about something that feels emotional, feels confrontational, feels difficult, is switch it from thinking about complaining to your leader or disclosing your personal issues to your leader and instead think of it from their perspective. [00:38:59.94] They want you to be a good employee. They will probably never really understand what you're going through in terms of your personal, mental, emotional life. I mean, our family and friends don't get it most of the time. (DESCRIPTION) [00:39:16.59] Mary Ann smiles. (SPEECH) [00:39:17.05] But what they do understand is that need for you to be able to do your job. [00:39:23.79] So here's the way I would do it. I would say to the leader, I want to be a good employee. And right now, in order for me to do it, I may need these things from you. So these things may be, I may need your help prioritizing what I need to do and what I can get done in the 35 hours that I'm here. [00:39:50.13] I may need to decline overtime right now, because I've got things going on at home. I may need to ask you not to raise your voice when you're speaking to me, because I'm probably going to overreact to it at this moment. You don't have to disclose anything, but you need to say, I want to do a good job and these are the things that I need from you. [00:40:13.75] The second thing you're going to say is, during this time where I'm dealing with maybe stressors or I'm dealing with a health issue or whatever you want to say, I'm going to do certain things to help improve my success at work. And here's what I was thinking would really help me. I think I'm going to leave the work site at lunch to clear my head so that I can do a better job when I come back. I think that I am going to only stay at meetings that I really have to be at. I think that I'm going to start changing my nutrition because I know that, if I eat healthier, I'll be able to focus, whatever it is for you. [00:41:02.25] And then the last thing that you're going to say is to deal with the fear of the leader's reaction. You're going to say, if my performance isn't meeting your expectations, here's how I'd like you to bring that to my attention. And here, you're going to say, I'd like to speak to you privately. [00:41:27.35] I'd like for you to give me an email and let me know what is the problem and what you want me to do better, whatever the actual answer is for you so that the leader knows how to approach you, you know what to expect, and you're not waiting for them to come back on you saying that there's something wrong. So the whole idea here is you take control; keep the conversation focused on you being a good employee, not about your health issues, not about your personal issues; and get a plan in place before you have to face discipline or criticism. Thanks for that, Caroline. (DESCRIPTION) [00:42:13.05] Mary Ann smiles. Text, All Workplace Strategies resources are available to anyone at no cost, compliments of Canada Life. Workplace Strategies for Mental Health dot com. French text. Laura returns. (SPEECH) [00:42:13.48] Thanks, Mary Ann. And we've been scrolling through the questions in the Q&A and a lot of them had to do with what you were just talking about, Mary Ann, which was, as an employee, how do I approach my leader? What can I say? What are the tips? I think you've shared a lot of great suggestions. We've had a couple of questions about where the information that we've been referencing today is housed. [00:42:37.03] And pretty much everything we've been talking about is available to you for free on the Workplace Strategies for Mental Health website, which you can see on this slide here. But to make it easier, we have also compiled one-pagers in English and French that specifically call out the resources that we've been talking about today. So you can link directly from that one-pager. We are going to post that on Workplace Strategies as well. Unfortunately, this environment doesn't allow us to post a file that you could access, but we will put it on the Workplace Strategies for Mental Health website. [00:43:13.99] A few of you have asked about whether you're going to be able to get access to this material. This event is recorded, and we will be posting it in English and French on KZfaq probably within the next few days, three or four days. So you'll be able to access it there. [00:43:32.38] We want to thank you for your participation today. We never have enough time to answer all the questions that you provide for us, but we really do appreciate those questions because those can guide how we approach the next event. You've given us in the chat several great ideas as well for topics to cover in a future event. So for now, we'd like to wrap up by saying thank you very much for your participation, your ideas today. And look for the recording on KZfaq, and we look forward to coming back to you again soon. Thanks so much. (DESCRIPTION) [00:44:09.16] Text, The live event has ended.
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@workplacestrategiesforment956 2 жыл бұрын
(SPEECH) [00:00:00.33] Welcome to resources for people leaders. Now, we have a lot of resources that people leaders can use to host team workshops, to host workshops for everyone in their workplace. But this section here is resources that can help you train people leaders. And by people leaders, we mean supervisors, managers, HR professionals, even consultants or people that lead teams of any kind. And it's really to help them hone their leader skills. (DESCRIPTION) [00:00:41.30] Canada Life. (SPEECH) [00:00:42.30] These resources are free to anyone. They're no cost thanks to Canada Life. And they're available for download in French and English. So here we go. [00:00:55.89] The first workshop that I want to share with you, and there's many more, but I've just chosen a few to highlight here. Supporting task improvement. Have you ever had an employee where you're trying to get them to do a task correctly, you feel like you had the talk that they said, yes, they've got it and then go away, and it continues to be done incorrectly. What supporting task improvement is, is a way to help an employee improve their work on a specific task in a way that is psychologically safe for them and effective for you. [00:01:40.06] So first, we consider what stressors the employee might be in. We think about how we can build productive relationships with our employees, and we go through a process called task improvement, using a worksheet and materials that are provided for you. And we learn how to measure the actual task completion in a way that sets everybody up for success. [00:02:09.03] So we start with a rule out rule, thinking that, could this person be dealing with a health issue, whether it's a mental health issue or a physical health issue that is getting in the way of them completing that task successfully? We want to rule that out so that this doesn't appear to them or feel to them like it is discrimination on the basis of a disability. But also so that you are able to get agreement that they can and they will commit to improving the performance. [00:02:47.10] So we look at the workload stress that they have now, what could be causing it. We talk about acknowledging somebody's perspective without necessarily agreeing with it. You may think they're all wrong. But that's not the point when we want to really listen, to understand their perspective. We just want to say, do I understand how you see this, and get acknowledgment that you do. Because now it's easier for you to go forward knowing how they really feel about it [00:03:21.99] The task improvement process walks you through, step by step, with the questions to ask and the ways to do it. We start from before you even see the employee, during the meeting, when you then get a turn in the workshop to actually try it out with a partner, so that you're really getting that experience before you have to try it out on your employees. And we talk about the follow-up meeting. How you will make sure that the task is being performed correctly now, and that it's not just that revolving door of thinking that it's been dealt with and finding that it was not. [00:04:06.03] We talk about the next steps and how you go forward if it was successful, and how you go forward if it was not successful. So that again, you don't stay stuck. You're able to move towards either progressive discipline, if it's necessary, or to improving the next task, if you end up being successful and on a roll and wanting to continue to help that employee. [00:04:33.57] We teach additional techniques, and we give you resources. Things like, how do you listen without interjecting your pearls of wisdom, your approach, your advice, when you know that it's not likely going to be nearly as effective as getting the employee to commit to the change themselves. Things like, avoiding blame and shame, how that shuts people fell down and makes them defensive. [00:05:02.19] And really understanding that when any of us get the answer, No, to something, we may also shut down or become defensive. And how can we, not say, Yes, necessarily, but find out why they're asking for it, and we can often give people what they need, even if we don't give them what they originally asked for. [00:05:25.14] We can send you to information for developing a really comprehensive workplace plan, for employees that have multiple issues. Not just one task, but multiple issues that need to be addressed. How do you develop that kind of a plan, and how you can support their success at work, using a very comprehensive set of tools and resources. [00:05:46.29] As with most of our workshops, we ask participants to think about what you will do differently. So for this supporting task improvement, who's going to facilitate it? It may be a human resources professional. It may be the manager of managers. It may be an outside consultant or facilitator. The point is that this is meant to bring together leaders to help develop their skills, and it can be facilitated by anyone who can pick up these materials and help them through that process. [00:06:21.63] Resolving conflict is very similar. It's about teaching leaders how to resolve conflict in both an informal and a formal way that really preserves the dignity and respect of each individual involved, and understands that sometimes, people who have conflict are dealing with mental health issues, life stressors, or other things that makes the standard approach to mediation overwhelming. [00:06:53.08] So in this one, what we're really focused on is getting an agreement that talks about how we will behave in the future, rather than an agreement that points out who did what, who was right, and who was wrong. This is the way that we support the dignity of all parties. We do it differently because instead of bringing people together to tell their story, we do private interviews, one with each of the parties, so that they can feel safe to be able to talk.
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@workplacestrategiesforment956 2 жыл бұрын
[00:07:29.55] You draft an agreement, based on what you've heard in these interviews, that applies the same way to both parties, regardless of rank. Because it's not talking about the way work is assigned, it's not talking about authority or responsibility, it's talking about the way people interact with each other. And you let the individuals review it on their own and express any concerns that they have about it before you finalize it, then you bring the parties together. [00:08:02.31] So both have seen it, both have agreed to it. And the thing about this process is, both of them feel that it's honoring the pain that they were going through in regards to the conflict. Because I've rarely seen a conflict where both parties don't feel that the only reason they behaved that way was because of the other person. So this is a way to let people keep their dignity intact but agree to behave and interact in a different way going forward. [00:08:33.93] And then the last piece is that there's an accountability piece built into this, where you don't just let this go. You continue to hold the people accountable to what was in the agreement. So we ask these three questions. What do you need to work professionally with this person? What will you do differently to contribute to a successful working relationship? And, how will you deal with future issues? In the workshop, we expand on those to really show you how to use them, what the follow-up questions are, and what makes this so much more effective, especially when it's emotionally charged situation. [00:09:14.41] So then we set the exercise up, where the leaders can pair up and take on the role. They actually create the agreement, and they think about, again, what they'll do differently. How they will incorporate this in their day to day. This workshop again, can be facilitated by someone from Human Resources, by a trainer or facilitator. By a leader of leaders, or, if you want to, you could actually go through the material just yourself, if you were really interested in what was in there. [00:09:56.89] There's also, for leaders, a variety of assessments. Some of them are here. So Psychologically Safe Leader lets you rate yourself on a series of statements about leadership strategies that are known to support positive psychological health and safety. Like checking in one on one with your employees. And what you do is, you rate the extent to which you do that. What's beautiful about this is once you have done that assessment, then you are given your results, and you can also get free resources, so that those strategies that you're not currently using, you can build on and increase. [00:10:46.97] You also have the option, in Psychologically Safe Leader, of sending out a similar survey to your employees on the exact same psychologically safe leader strategies, but from their perspective. Have they seen you do this, do they believe that you would do this. Because their perception may be different than yours. But what it gives you is an opportunity, then, to improve communication, to talk to your employees about what you would do if they were struggling, if they needed help. [00:11:17.40] Guarding Minds at Work is an assessment to look at the employees perceptions of psychological health and safety in the workplace. We'll do more on guarding minds at work in another video, but there's so much that's in there that could really help both a team and an entire organization to transform into a more high-functioning, higher energy, thriving workplace. [00:11:45.18] Emotional Intelligence is a self-assessment where you can measure the level of emotional intelligence you have about your own emotions and your own behaviors, as well as about how you respond to the emotions and behaviors of others. And just like with Psychologically Safe Leader, if there's any area that you want to do some work on, free resources are attached to each of the statements, so that you can really drill down to that piece that you need to allow you to build your own emotional intelligence. [00:12:20.16] The Mindful Employee is a resource that helps employees understand their responsibility to building a psychologically healthy and safe workplace. We describe it on our website, and it is housed at the Canadian Center for Occupational Health and Safety and was provided by the Mental Health Commission of Canada. [00:12:41.16] We've got two smaller assessments, and they're not a diagnostic tool. But what they do, is they look at the risk factors for burnout from an organizational level. So is your team, is your organization, putting people at risk of burnout, and to what extent, and what can you do about it. And the individual one is, do you exhibit the signs of burnout, and if you do, what can you do about it. All of these assessments, like everything that's on the Workplace Strategy site, are available in English and French, free for download, to anyone. [00:13:23.67] We hope that you'll use them yourself or with your team. There's also a subscription series that you can use, not just for yourself. Of course psychologically safe leadership is specifically for leaders. Mental health awareness and healthy break activities are for anyone, as are the e-blasts and the e-newsletter. But here's how you, as a leader, might use them. [00:13:53.64] For instance, with mental health awareness, if you subscribe and get it sent to you, you can read it, add your own thought or impression about it, and then send it out to your entire team. It's a way for you to build mental health awareness among your team at no cost to you and with very little effort. The amount of time that people have to spend on these emails-- some of them are little video clips, some of them are documents, some of them are just bringing you to a web page. [00:14:24.54] But the amount of time that you have to spend on them is usually less than five minutes. And yet, over a year, you can have 52 little nuggets of information on mental health awareness, on a break activity that might be good for their mental or physical health, or on leadership skills. So we strongly suggest that you subscribe to make your decision. This is something that you want to pay forward in a way that helps your team. (DESCRIPTION) [00:14:56.29] Assessments, tools, workshops (SPEECH) [00:14:58.33] So all of this and more is available on our website, which is the section on assessments, tools, and workshops. And you'll be able to find all the different topics here, and you can go into any of them and look and see what's available. There's so much more than we can cover in this short video that I really encourage you to check it out. And remember that everything is free, in English and French, at WorkplaceStrategiesForMentalHealth.com.
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@workplacestrategiesforment956 2 жыл бұрын
(DISCOURS) [00:00:00.33] Bienvenue à cette séance des Ressources pour les leaders. Nous avons une foule de ressources que les leaders peuvent utiliser pour organiser des ateliers d’équipe, des ateliers pour tout le monde dans leur milieu de travail. Mais cette section porte sur les ressources qui peuvent vous aider à former des leaders. Et par leaders, nous entendons les superviseurs, les gestionnaires, les professionnels des RH, même les consultants ou les personnes qui dirigent des équipes de toutes sortes. Et c’est vraiment pour les aider à perfectionner leurs aptitudes en leadership. (DESCRIPTION) [00:00:41.30] Canada Vie. (DISCOURS) [00:00:42.30] Ces ressources sont gratuites pour tous. Elles ne coûtent rien grâce à la Canada Vie. Et elles peuvent être téléchargées en français et en anglais. Bien, commençons! [00:00:55.89] Il y a beaucoup d’ateliers offerts, mais j’ai choisi de vous en présenter seulement quelques-uns ici. Le premier est Encourager l’amélioration d’une tâche. Avez-vous déjà eu un employé à qui vous essayez d’enseigner comment accomplir une tâche correctement, mais qui continue à mal la faire, même après que vous lui avez montré comment et l’avoir entendu dire qu’il avait compris? Encourager l’amélioration d’une tâche consiste à aider un employé à améliorer son travail à l’égard d’une tâche précise d’une façon psychologiquement sécuritaire pour lui et efficace pour vous. [00:01:40.06] Nous commençons par examiner les facteurs de stress auxquels l’employé pourrait être exposé. Nous réfléchissons à la façon d’établir des relations productives avec lui, puis nous suivons un processus appelé « amélioration d’une tâche » à l’aide d’une feuille de travail et du matériel mis à votre disposition. Nous apprenons ensuite à mesurer l’accomplissement réel de la tâche d’une manière qui prépare tout le monde à la réussite. [00:02:09.03] Nous commençons par l’application d’une règle d’exclusion en nous demandant si cette personne pouvait avoir un problème de santé mentale ou physique qui l’empêcherait d’accomplir cette tâche avec succès. Il convient d’éliminer cette possibilité, mais d’une manière que la personne n’ait pas l’impression d’être l’objet de discrimination fondée sur un handicap. Cela vous permet aussi de vous entendre avec elle sur le fait qu’elle peut améliorer son rendement et qu’elle s’engagera à le faire. [00:02:47.10] Donc, nous examinons le stress lié à la charge de travail que l’employé ressent maintenant et ce qui pourrait en être la cause. Il s’agit de reconnaître le point de vue d’une personne sans nécessairement l’approuver. Vous pourriez être en total désaccord. Mais là n’est pas la question; l’important, c’est d’être vraiment à l’écoute, de comprendre son point de vue. Cela veut simplement dire « est-ce que je comprends comment la personne voit les choses? » et qu’elle me le confirme. C’est alors plus facile pour vous d’aller de l’avant, sachant ce qu’elle pense vraiment. [00:03:21.99] Le processus d’amélioration d’une tâche vous guide, pas à pas, au moyen des questions à poser et des choses à faire. Cela commence avant même que vous voyiez l’employé, soit pendant l’atelier, lorsque vient votre tour de pratiquer le processus avec un partenaire et de vraiment acquérir l’expérience voulue avant d’avoir à l’essayer auprès de vos employés. On parle ensuite de la réunion de suivi. Comment vous allez vous assurer que la tâche est accomplie correctement maintenant, et que ce n’est pas l’éternelle situation du problème que nous pensions réglé, mais qui, finalement, ne l’était pas. [00:04:06.03] Nous parlons des étapes suivantes et de la façon dont vous allez poursuivre si cela a marché et, aussi, si cela n’a pas marché, pour que, encore une fois, vous ne soyez pas bloqué. Vous pouvez soit adopter une discipline progressive, si nécessaire, soit passer à la prochaine tâche à améliorer si votre démarche a fonctionné et que vous êtes sur la voie du succès et souhaitez continuer à aider l’employé. [00:04:33.57] Nous enseignons des techniques supplémentaires et vous donnons des ressources, comme comment écouter sans imposer votre approche ou vos conseils lorsque vous savez que cette démarche sera probablement moins efficace que de faire en sorte que l’employé s’engage à adopter le changement lui-même. Nous enseignons comment éviter de blâmer et de culpabiliser l’employé, étant donné que cela va l’amener à se renfermer et à se méfier, [00:05:02.19] et vraiment comprendre que lorsqu’on nous répond non à quelque chose, nous aussi pouvons nous renfermer ou devenir méfiants. Nous enseignons aussi comment nous pouvons, sans dire oui nécessairement, découvrir pourquoi la personne le demande, et que nous pouvons souvent donner aux gens ce dont ils ont besoin, même si ce n’est pas ce qu’ils demandaient au départ. [00:05:25.14] Nous pouvons vous envoyer de l’information sur l’élaboration d’un plan de travail vraiment complet pour les employés qui ont des problèmes multiples. Pas juste pour une tâche, mais pour plusieurs problèmes qui doivent être abordés. Comment vous élaborez ce genre de plan et comment vous pouvez appuyer leur réussite au travail au moyen d’un ensemble très complet d’outils et de ressources. [00:05:46.29] Comme dans la plupart de nos ateliers, nous demandons aux participants de réfléchir à ce qu’ils feront différemment. Alors, pour cet atelier Encourager l’amélioration d’une tâche, qui va en être l’animateur? Ça peut être un professionnel des ressources humaines. Ça peut être le supérieur des gestionnaires. Ça peut être un consultant ou un animateur de l’extérieur. L’important, c’est que cela vise à réunir des leaders pour les aider à perfectionner leurs aptitudes. Et l’atelier peut être animé par toute personne capable d’assimiler cette matière et d’aider les leaders à entreprendre ce processus. [00:06:21.63] L’atelier sur la résolution de conflit est très similaire. Il consiste à enseigner aux leaders comment résoudre les conflits de façon officielle et non officielle tout en préservant la dignité et le respect de chaque personne concernée, compte tenu du fait que, parfois, les gens en situation de conflit ont des problèmes de santé mentale ou sont aux prises avec des facteurs de stress ou autres qui bouleversent l’approche habituelle de médiation.
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@workplacestrategiesforment956 2 жыл бұрын
[00:06:53.08] Dans cet atelier, nous nous concentrons vraiment sur l’obtention d’un accord quant à la conduite future, plutôt que d’un accord sur qui a fait quoi, qui a eu raison et qui a eu tort. C’est ainsi que nous préservons la dignité de toutes les parties. Nous faisons les choses différemment parce qu’au lieu de réunir les deux personnes pour qu’elles exposent leur situation, nous procédons à des entretiens privés avec chacune d’elles pour qu’elles puissent se sentir à l’aise de parler. [00:07:29.55] Vous rédigez ensuite un accord basé sur ce que vous avez entendu au cours de ces entretiens, qui s’applique de la même façon aux deux parties, quel que soit leur rang. Étant donné que nous ne parlons pas de la façon dont le travail est attribué, il n’est pas question d’autorité ou de responsabilité, mais de la façon dont les gens interagissent. Vous laissez les personnes étudier l’accord chacun de leur côté et exprimer leurs préoccupations avant de le finaliser, puis vous réunissez les parties. [00:08:02.31] Donc, les deux l’ont vu, les deux l’ont accepté. La beauté de ce processus, c’est que les deux personnes sentent qu’on a tenu compte des ennuis que le conflit leur a causés. Parce que j’ai rarement vu un conflit où les deux parties n’avaient pas chacune l’impression que l’autre l’avait amenée à agir d’une certaine façon. C’est donc une façon de permettre aux gens de conserver leur dignité, mais d’accepter de se comporter et d’interagir différemment à l’avenir. [00:08:33.93] Et, comme dernier point, l’accord inclut un élément de responsabilité qui fait en sorte que tout ne s’arrête pas là pour vous. Vous continuez de tenir les gens responsables de ce qui était prévu dans l’accord. Alors, trois questions se posent. De quoi avez-vous besoin pour travailler de manière professionnelle avec cette personne? Que ferez-vous différemment pour contribuer à une bonne relation de travail? Et comment aborderez-vous les problèmes futurs? Au cours de l’atelier, nous nous penchons sur ces questions pour vraiment vous montrer comment les utiliser, pour vous présenter les questions complémentaires et pour expliquer ce qui rend cela beaucoup plus efficace, surtout dans les situations chargées émotionnellement. [00:09:14.41] Nous passons ensuite à la pratique sous forme de jeux de rôles entre leaders, deux par deux. En fait, ils créent l’accord et réfléchissent, encore une fois, à ce qu’ils vont faire différemment, comment ils vont intégrer cela dans leur quotidien. Là aussi, cet atelier peut être animé par quelqu’un des Ressources humaines, un formateur ou un animateur, ou encore par un leader de leaders, ou, si vous préférez, vous pouvez vous-mêmes présenter la matière si vous vous intéressez vraiment à son contenu. [00:09:56.89] Il y a aussi, pour les leaders, une variété d’évaluations. Certaines se trouvent ici. L’Évaluation du leader psychologiquement sécuritaire vous permet de vous évaluer par rapport à une série d’énoncés sur des stratégies de leadership reconnues pour soutenir la santé et la sécurité psychologiques, comme tenir des rencontres individuelles avec vos employés. Vous vous trouvez à évaluer dans quelle mesure vous le faites. La beauté de la chose, c’est qu’une fois cette évaluation faite, nous vous donnons vos résultats; vous pouvez aussi obtenir des ressources gratuites qui vous permettront de développer et de perfectionner les stratégies que vous n’utilisez pas actuellement. [00:10:46.97] L’Évaluation du leader psychologiquement sécuritaire vous donne aussi la possibilité d’envoyer à vos employés un outil de rétroaction similaire portant sur les mêmes stratégies de leadership favorisant la sécurité sur le plan psychologique, mais de leur point de vue. Vous ont-ils vu pratiquer telle ou telle stratégie? Croient-ils que vous pourriez la pratiquer? Parce que leur perception peut être différente de la vôtre. Mais cela vous donne l’occasion d’améliorer la communication, de parler à vos employés de ce que vous feriez s’ils éprouvaient des difficultés, s’ils avaient besoin d’aide. [00:11:17.40] Le sondage Protégeons la santé mentale au travail est une évaluation visant à examiner les perceptions des employés à l’égard de la santé et de la sécurité psychologiques en milieu de travail. Nous nous pencherons davantage sur Protégeons la santé mentale au travail dans une autre vidéo. Retenons pour l’instant que cet outil comporte une foule de choses qui pourraient vraiment aider une équipe et toute une organisation à se transformer en un milieu de travail plus performant, plus dynamique et prospère. [00:11:45.18] L’outil Intelligence émotionnelle est une autoévaluation qui vous permet de mesurer le niveau d’intelligence émotionnelle que vous avez par rapport à vos propres émotions et vos propres comportements, ainsi que la façon dont vous réagissez aux émotions et aux comportements des autres. Et tout comme pour l’Évaluation du leader psychologiquement sécuritaire, s’il y a un aspect sur lequel vous souhaitez travailler, des ressources gratuites sont rattachées à chacun des énoncés pour que vous puissiez vraiment approfondir cet aspect essentiel et développer votre propre intelligence émotionnelle. [00:12:20.16] La ressource Être un employé consciencieux aide les employés à comprendre leur responsabilité dans la création d’un milieu de travail psychologiquement sain et sécuritaire. Nous la décrivons dans notre site Web, et elle est hébergée au Centre canadien d’hygiène et de sécurité au travail et a été fournie par la Commission de la santé mentale du Canada. [00:12:41.16] Nous offrons deux évaluations plus courtes, qui ne sont pas des outils de diagnostic. Mais ce qu’elles font, c’est qu’elles examinent les facteurs de risque d’épuisement professionnel à l’échelle d’une organisation. Tout comme votre équipe, votre organisation peut exposer les gens au risque d’épuisement professionnel. Dans quelle mesure est-ce le cas et que faites-vous à cet égard? Et la question sur une base individuelle est : présentez-vous des signes d’épuisement professionnel, et, si c’est le cas, que faites-vous à cet égard? Toutes ces évaluations, comme tout ce qui se trouve dans le site Web Stratégies en milieu de travail, sont disponibles en français et en anglais, et peuvent être téléchargées gratuitement par tout le monde. [00:13:23.67] Nous espérons que vous les utiliserez vous-même ou avec votre équipe. Il existe aussi une série d’abonnements que vous pouvez utiliser, pas seulement pour vous-même. Bien entendu, le matériel sur le leadership en matière de santé et de sécurité psychologiques s’adresse spécifiquement aux leaders. Celui sur la sensibilisation à la santé mentale et les activités de pause-santé sont pour tout le monde, tout comme les infolettres et les bulletins électroniques. Mais voici comment vous, en tant que leader, pourriez les utiliser. [00:13:53.64] Si vous vous abonnez, par exemple, à la série sur la sensibilisation à la santé mentale et que les courriels vous sont livrés à vous, vous pouvez les lire, y ajouter votre point de vue ou vos impressions, puis les envoyer à toute votre équipe. C’est une façon pour vous de sensibiliser votre équipe à la santé mentale sans frais et avec très peu d’efforts. Pour ce qui est du temps que les gens doivent consacrer à ces courriels, certains sont de courtes vidéos, d’autres sont des documents et d’autres vont vous mener à une page Web. [00:14:24.54] Mais, en général, le temps que vous devez y consacrer est inférieur à cinq minutes. Et pourtant, en un an, vous pouvez recevoir 52 petites capsules d’information sur la sensibilisation à la santé mentale ou les activités de pause-santé qui pourraient être bénéfiques pour la santé mentale ou physique, ou pour l’amélioration des aptitudes en leadership. Nous vous recommandons donc fortement de vous inscrire. Votre décision pourrait être motivée par le fait que c’est quelque chose que vous pourrez « donner au suivant » et ainsi aider votre équipe. (DESCRIPTION) [00:14:56.29] Évaluations, outils, ateliers (DISCOURS) [00:14:58.33] Donc, tout cela et plus encore est disponible dans notre site Web, à la section Évaluations, outils et ateliers. Vous pourrez y trouver tous les sujets, en prendre connaissance et voir ce qui est offert. Je vous encourage vivement à visiter ce site, car il y a tellement plus à découvrir que ce que nous vous présentons ici, dans cette courte vidéo. Et n’oubliez pas que tout est gratuit, en français et en anglais, à l’adresse strategiesdesantementale.com.
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@workplacestrategiesforment956 2 жыл бұрын
(SPEECH) [00:00:00.33] Welcome to resources for everyone, this is an overview of just a few of the resources that are available for download on our website, they're free of cost to anyone, they're available in French and English, and you can use them with a general audience. So whether the general audience is all employees or that general audience is a public audience, these resources can be used for anyone. The first one that I want to share with you is workshop materials to help people really explore what we all have, which is implicit bias. (DESCRIPTION) [00:00:40.96] Objectives. (SPEECH) [00:00:41.40] It helps them to understand concepts like microaggressions, or intersectionality, to explore their own unconscious bias, and importantly to develop a three step approach to addressing these things. So you take your audience through a series of activities where they can reflect on how they see the world now. They can listen to different examples of microaggressions to understand that all of us have probably done this at some point, that it isn't something that is only done by those people. [00:01:19.83] And to realize that the whole reason that's called unconscious or implicit bias is because it's varied, it's there. We talk about their intersections, the different parts of their identity that make up who they are, and what happens in the workplace around implicit bias, and what we can do about that. Thinking about our own social circles, and thinking about how we can make a difference, that making a difference is how we try to end most of our workshops. By asking people to commit to doing one thing differently based on what they've learned in the workshop that you've just facilitated. [00:02:01.14] So that it wasn't just an interesting conversation, but that you can actually help to change behaviors. (DESCRIPTION) [00:02:10.28] Mental Health. (SPEECH) [00:02:11.19] We have workshops on learning to recharge, and this is a workshop where you're asking people to think about the ways that they can sustain, or improve their energy throughout the workday. (DESCRIPTION) [00:02:25.50] Objectives. (SPEECH)
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@workplacestrategiesforment956 2 жыл бұрын
[00:02:25.98] And we take them through a variety of different techniques, because depending on the type of work you have you may need to energize yourself. If you're starting to get sleepy in the afternoon, you may need to calm your mind. [00:02:41.79] If there's just been so many of these meetings, there's so much information going on that you're just hyper aware, and you need to calm yourself a bit before you focus on the next thing. Or maybe you do a lot of physical work, and you need to find a way to reduce that tension, to relax your body so that you can do your work safely. So people get to discover what works best for them. Is it something that helps them to calm? Is it something that energizes them? Or relaxes them? And again at the end, they get to think about what they'll do differently. [00:03:19.96] So throughout each of these activities people are exploring and learning what it takes for them to recharge. (DESCRIPTION) [00:03:29.08] via me dot org (SPEECH) [00:03:29.82] We have a workshop on building resilience, now this is one of our larger workshops longer in time, usually takes about 2 and 1/2 hours, we have ways to do it in just an hour, if that's all the time that you have. But for this one I really recommend you take the longer time frame, because it's almost an exercise of reflection, and really thinking about your own resilience. [00:04:00.09] This is not for intervention, it's not to deal with people in crisis, or people who need help, there is therapy, there are resources for that, this is about prevention. Prevention of the stressors that can really get in our way in life, and helping us to learn to deal with them better and to bounce back better. We have actually we have three versions now, we have a new agricultural version that's just coming out for folks that are in that industry, we have the workplace edition, and we have an addition for post-secondary students. [00:04:39.09] What's interesting about the building resilience, is that you can have people choose the handout that is most relevant for them, but you can still facilitate all of them. So you could have for instance in a university staff student and faculty in an auditorium each with their own particular handout, and you can facilitate them all together. (DESCRIPTION) [00:05:04.47] Two handouts. (SPEECH) [00:05:05.37] So we talk about resilience and the concept of it, is it just a way to blame the victim and say, you be more resilient, we'll be more stressful. [00:05:16.49] And how we think about resilience as the capacity to adapt to life, to recover from challenges, and why that's something we all need for ourselves, never mind for our workplaces. We tell them to think about their automatic responses to stress, so they can recognize them, that we examine healthier responses, both to prevent stress and to deal with stress in the moment, and to really recognize and explore the stressors you're dealing with right now. And that process is necessary because some stressors we can't get rid of, but we have to deal with them, they're of our life right now. [00:06:02.49] And then there's other stressors that are minor, but they add up and we can eliminate them completely. Some of them are in the middle, where we can manage them in a way that they're less stressful even if we can't get rid of them. (DESCRIPTION) [00:06:16.13] Diagram. (SPEECH) [00:06:16.67] We take them through what we call the four A's, which is a way to think about even those stressors that you can't get rid of, that you can't avoid, and to manage them in a way that does less damage to your mental and physical health. [00:06:35.06] This particular part of this workshop, is what most people value the most, and feel that they can take away and use on a regular basis. (DESCRIPTION) [00:06:44.58] Stress Management. (SPEECH) [00:06:45.47] We also talk about balancing your support network, meaning you can't just give, you must have people in your support network that you receive from, and if that's not the case right now how to build that. And at the end of it we ask them to think about a commitment that they'll make to themselves. What this is, is what we call a micro change, something that is small and manageable, easy to integrate into your daily life, but it's a change that can support resilience. [00:07:17.72] So we take people through the self-reflection, we take them through the different activities, and we ask them to commit to something on an ongoing basis. And you can facilitate all of this in a safe and really engaging manner, using all of the resources that are part of the building resilience package. We also have a subscription series, and what that is, is that you get free emails-- they are at different times, some of them are every week, some of them are every two weeks. The first one that's there is Mental Health Awareness now. [00:07:59.36] You can subscribe to this yourself to learn more about those who struggle with their mental health, either because of stress, or because of things like depression or anxiety. And you can learn tips on how to manage your own mental health, in a better way. This is something that will take you less than five minutes a week, but really can make a difference over a year in the way that you think about react to and manage mental health. The healthy break activities, these are things that were contributed by health and wellness experts from across the country.
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@workplacestrategiesforment956 2 жыл бұрын
[00:08:37.58] They're meant to be done in 15 minutes or less, in other words, during a regular break time. And they're there to do one of three things to calm your mind, to energize you, or to relax your body. And those activities can be done on your own or with a group of people. And you just get a different idea each week, just pick the ones that resonate with you, and you can just read the rest and pass them on to somebody else who might be interested. You can also subscribe to our e-blast our e-newsletter. [00:09:15.86] We send these out to share with you things that are new, that are interesting, and for those of you who want to learn about the new workshops, the new resources that we do, that's the way to do it. Our e-blasts, are what we send out every time we have something new, so that our subscribers are among the very first to know about it. (DESCRIPTION) [00:09:38.78] Text, Fun stuff. (SPEECH) [00:09:40.11] And we've got a few what I call, fun things. Coloring pages, the really complex adult coloring pages that you can use. [00:09:49.74] We know that they're good for a lot of people's mental health, but you can also use them in workshops, as something for those people who like to doodle in order to keep their focus on listening. And we have a virtual scavenger hunt, which is just a fun way, to have people sitting at their screens, but then getting up to run around their home, in order to find the pieces and bring them back and show them to you. We have word scrambles, that are related to workplace mental health that can be done either at a workshop that you facilitate, or online just to unmute people as they're waiting, or for an activity to do together. [00:10:29.16] And there's even posters, that can be put up around the workplace to say that, teamwork, collaboration, these things matter to you and to your team. So any questions from our audience about the resources for everyone? [00:10:49.47] And I have a question. [00:10:50.78] Great. [00:10:51.19] You mentioned that these could be-- you could use this with all employees. Now, if you were to-- would you include management? Or would you have a separate session with management? [00:11:05.73] That's an interesting question, David. It's intended that management, labor, union, volunteers, Students, everybody can attend the sessions together. Because they're sessions about the human condition if you will. Rather than about leading, or about intact work teams, they're ones that everybody can benefit from, but great question, David. Any other questions out there? [00:11:36.15] I have one, I was wondering, can you deliver this to the general public? Or is it for workplaces only? [00:11:43.74] So these, Jill they were created for workplaces, but we know for a fact that people will use these at conferences, and at events that bring people together from various workplaces. So the answer is, yes, they absolutely can be used for the general public. My thinking is these are really for adults, so those that are probably over the age of 16, at least that it's that level of comprehension, but definitely for a wide variety of literacy levels, a wide variety of experiences, and a wide variety of education can take part in these workshops. [00:12:30.94] Thanks. [00:12:31.84] Great, any others? [00:12:34.33] Yeah. One more question. Would you suggest breaking these into groups when you're presenting these? Or would you say that a large audience works just as well? [00:12:46.93] It depends, I would say that it depends where you're delivering it. So if I was delivering it to a unionized environment, I might want union management and front line employees to be sat together. So that there is that camaraderie, that understanding that we're all in this human condition together, and so it's good to mix the groups up that way. On the other hand, you may be delivering one of these and you want intact teams to stay together, or you want people to be together by role. [00:13:30.53] So if we're talking about implicit bias we want all of the HR professionals to be together, all of the leaders to be together, all of the front line employees to be together. But I trust you as the facilitator, to work with your client, or with the leader, and to decide what will be the best outcome from the way you put people together. So the answer is, it depends and you can choose whatever works for your group. [00:14:03.46] So thank you for those questions about some of the resources that we have that are for everyone, and just a reminder that they're all free for download in both English and French at no cost to anyone, at workplacestrategiesformentalhealth.com.
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@workplacestrategiesforment956 2 жыл бұрын
(DISCOURS) [00:00:00.33] Bienvenue à cette séance sur les ressources pour tous. Il s’agit d’un aperçu de quelques-unes des ressources qui peuvent être téléchargées sur notre site Web, gratuitement par tout le monde, en français ou en anglais, et qui s’adressent à un public général. Donc, que l’auditoire soit un groupe d’employés ou des membres du grand public, ces ressources demeurent pertinentes pour tout le monde. La première que je veux voir avec vous réunit du matériel d’atelier pour sensibiliser les gens à ce que nous avons tous, c’est-à-dire des préjugés inconscients. (DESCRIPTION) [00:00:40.96] Objectifs. (DISCOURS) [00:00:41.40] Il les aide à comprendre des concepts comme les microagressions et l’intersectionnalité, à prendre conscience de leurs propres préjugés inconscients et surtout à adopter une approche en trois étapes pour y remédier. Vous amenez donc votre auditoire, au fil d’une série d’activités, à réfléchir à sa perception actuelle du monde. L’écoute de différents exemples de microagressions lui permet de se rendre compte que nous en avons probablement tous déjà commis, que ce ne sont pas des actions seulement posées par certaines personnes, [00:01:19.83] et de réaliser qu’on parle de préjugés « inconscients » ou « implicites » parce qu’ils sont subtils mais bien là. Nous discutons des intersections des gens, des différentes facettes de leur identité qui font d’eux ce qu’ils sont, des préjugés inconscients dans le milieu de travail et de ce que nous pouvons faire, en pensant à nos propres cercles sociaux et à comment nous pouvons changer les choses. Changer les choses est ce sur quoi nous tâchons de terminer la plupart de nos ateliers, en demandant aux gens de s’engager à apporter un changement d’après ce qu’ils ont appris dans l’atelier que vous venez d’animer. [00:02:01.14] Pour faire en sorte que ce ne soit pas seulement une conversation intéressante, mais une façon d’aider à changer les comportements. (DESCRIPTION) [00:02:10.28] Santé mentale. (DISCOURS) [00:02:11.19] Nous avons des ateliers pour apprendre à se revigorer, où vous invitez les gens à réfléchir aux façons de maintenir ou d’augmenter leur niveau d’énergie durant leur journée de travail. (DESCRIPTION) [00:02:25.50] Objectifs. (DISCOURS) [00:02:25.98] Nous survolons diverses techniques, car selon le type d’emploi que vous avez, vous pouvez avoir besoin de vous énergiser. Si vous vous endormez l’après-midi, vous devrez peut-être apaiser votre esprit. [00:02:41.79] Si vous avez eu toute une série de réunions et vu tellement d’informations que vous êtes hyper alerte et avez besoin de vous calmer un peu avant de vous concentrer sur la prochaine tâche, ou encore si votre travail est très physique et que vous devez trouver un moyen de réduire la tension, de détendre votre corps pour accomplir vos tâches en toute sécurité. Les gens peuvent donc découvrir ce qui fonctionne le mieux pour eux. Est-ce quelque chose qui les aide à se calmer? Est-ce quelque chose qui les stimule ou les détend? Encore une fois, à la fin, ils pensent à ce qu’ils feront différemment. [00:03:19.96] Tout au long de ces activités, les gens explorent et apprennent ce qu’il leur faut pour se ressourcer. (DESCRIPTION) [00:03:29.08] viame.org (DISCOURS) [00:03:29.82] Nous avons un atelier sur le développement de la résilience. C’est un de nos plus longs ateliers. Il prend habituellement environ deux heures et demie, mais il y a moyen de le condenser en une heure, si c’est tout le temps que vous avez. Cela dit, je vous recommande fortement l’option la plus longue, car c’est presque un exercice de réflexion; vous méditez sur votre propre résilience. [00:04:00.09] Ce n’est pas un atelier axé sur l’intervention, pour s’occuper de personnes en crise ou qui ont besoin d’aide; il y a la thérapie et des ressources pour ça. Nous visons ici à prévenir les facteurs de stress qui peuvent nous mettre des bâtons dans les roues et à apprendre à les gérer et à nous ressaisir. En fait, nous l’avons maintenant en trois versions : une qui vient juste de sortir pour les gens du secteur agricole, l’édition professionnelle et une variante pour les étudiants postsecondaires. [00:04:39.09] Ce qui est intéressant avec Développer sa résilience, c’est que les gens peuvent choisir le document le plus pertinent pour eux et que vous pouvez quand même animer l’atelier pour tout le monde à la fois. Par exemple, dans un même auditorium d’université, vous pourriez avoir un employé étudiant et un membre du corps professoral avec chacun son propre document et vous adresser aux deux en même temps. (DESCRIPTION) [00:05:04.47] Deux documents. (DISCOURS) [00:05:05.37] Donc, nous parlons du concept de la résilience - est-ce juste une façon de blâmer la victime et de lui dire d’être plus résiliente pour qu’on puisse lui apporter plus de stress? -,
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@workplacestrategiesforment956 2 жыл бұрын
[00:05:16.49] et de la résilience comme capacité de s’adapter à la vie et de se remettre des revers, et pourquoi nous en avons tous besoin en tant que personnes, sans parler de notre lieu de travail. Nous disons aux gens de réfléchir à leurs réactions automatiques au stress, pour qu’ils puissent les reconnaître, pour que nous puissions examiner des réactions plus saines pour prévenir le stress et le gérer sur le moment, et pour qu’ils prennent conscience de leurs facteurs de stress actuels. Cette démarche est nécessaire, car il existe des facteurs de stress inévitables, avec lesquels nous devons composer puisqu’ils font partie de notre vie en ce moment. [00:06:02.49] Et il y en a qui sont mineurs, mais qui s’additionnent et que nous pouvons éliminer complètement. Certains encore se situent entre les deux; nous pouvons les rendre moins stressants sans pouvoir nous en débarrasser. (DESCRIPTION) [00:06:16.13] Diagramme. (DISCOURS) [00:06:16.67] Nous nous attardons à quatre façons de faire face aux facteurs de stress, y compris ceux qui sont inévitables, et de les gérer d’une manière moins nuisible à la santé mentale et physique. [00:06:35.06] C’est cette partie de l’atelier que la plupart des gens apprécient le plus et sentent qu’ils peuvent intégrer à leur quotidien. (DESCRIPTION) [00:06:44.58] Gestion du stress. (DISCOURS) [00:06:45.47] Nous parlons aussi d’équilibrer notre réseau de soutien, pour ne pas toujours donner. Nous devons aussi avoir des gens desquels nous recevons, et si ce n’est pas le cas en ce moment, il faut apprendre comment y arriver. Puis, à la fin, nous demandons aux gens de réfléchir à un engagement qu’ils prendront envers eux-mêmes; un petit changement facile à intégrer au quotidien qui favorise la résilience. [00:07:17.72] En résumé, nous guidons les gens à travers une introspection, leur faisons faire différentes activités, puis leur demandons de s’engager sur une base continue. Et vous pouvez présenter le tout de manière sécuritaire et réellement engageante, en utilisant l’ensemble des ressources du programme de développement de la résilience. Nous offrons aussi la possibilité de s’abonner à des séries de courriels gratuits, envoyés à des heures différentes, chaque semaine ou aux deux semaines. La première série porte sur la sensibilisation à la santé mentale. [00:07:59.36] Vous pouvez vous y inscrire vous-même pour mieux comprendre ceux aux prises avec des problèmes de santé mentale, à cause du stress ou d’autres facteurs, comme la dépression ou l’anxiété. Vous pourriez découvrir des astuces pour mieux gérer votre propre santé mentale. Cet exercice de moins de cinq minutes par semaine peut vraiment transformer, au bout d’une année, votre façon de voir la santé mentale et de la gérer. Les activités de pause-santé ont été créées par des experts en santé et en bien-être de partout au pays. [00:08:37.58] Elles sont censées prendre 15 minutes ou moins, soit le temps d’une pause normale, et sont là pour calmer votre esprit, vous énergiser ou détendre votre corps. Vous pouvez les faire seul ou en groupe. Elles vous proposent une idée différente chaque semaine, donc choisissez celles qui vous interpellent. Vous pouvez simplement lire les autres et les transmettre à une personne susceptible d’être intéressée. Vous pouvez également vous abonner à notre bulletin électronique ou à notre infolettre. [00:09:15.86] Ils vous informent des nouveautés, par un contenu digne d’intérêt; c’est la meilleure façon de se tenir au fait de nos nouveaux ateliers et outils. Nous envoyons un bulletin électronique chaque fois que nous avons du nouveau pour que nos abonnés soient parmi les tout premiers au courant. (DESCRIPTION) [00:09:38.78] (Texte) Activités amusantes. (DISCOURS) [00:09:40.11] Nous avons aussi quelques activités amusantes. Des pages à colorier très complexes pour adultes. [00:09:49.74] Elles ont un effet bénéfique sur la santé mentale pour beaucoup de gens, mais vous pouvez aussi vous en servir dans vos ateliers pour les participants qui aiment gribouiller pour mieux écouter. Nous avons également une chasse au trésor virtuelle, qui est juste un moyen divertissant d’amener les gens assis devant leur écran à courir un peu partout dans leur maison pour trouver les objets et revenir vous les montrer. Vous trouverez des mots mêlés liés à la santé mentale en milieu de travail, qui peuvent être faits soit durant un atelier que vous animez, soit pendant un atelier en ligne pour distraire les gens pendant qu’ils attendent, ou comme activité de groupe. [00:10:29.16] Il y a même des affiches, que vous pouvez poser sur le lieu de travail pour dire que le travail d’équipe, la collaboration comptent pour vous et votre équipe. Sur ce, avez-vous des questions sur les ressources pour tous? [00:10:49.47] J’ai une question. [00:10:50.78] Excellent. [00:10:51.19] Vous avez mentionné qu’elles pouvaient être utilisées avec tous les employés. Incluriez-vous les membres de la direction? Ou organiseriez-vous une séance distincte pour eux? [00:11:05.73] C’est une question intéressante, David. Ces séances sont conçues de sorte que membres de la direction, travailleurs, syndicats, bénévoles, étudiants, bref tout le monde, puissent y participer en même temps, car elles portent sur la condition humaine, si vous voulez, au lieu d’être axées sur le leadership ou la formation d’équipes de travail complètes. Donc, tout le monde peut en profiter, mais excellente question, David. Avez-vous d’autres questions? [00:11:36.15] J’en ai une. Est-ce que ces ateliers se prêtent au grand public ou est-ce qu’ils sont réservés aux lieux de travail? [00:11:43.74] Donc, Jill, ils ont été créés pour les lieux de travail, mais nous savons pertinemment que les gens les utiliseront lors de conférences et d’événements qui rassemblent des gens de divers lieux de travail. Bref, oui, ils peuvent absolument être utilisés pour le grand public. À mon sens, ils s’adressent aux adultes, donc probablement aux plus de 16 ans, au moins pour ce qui est du niveau de compréhension, mais des gens au niveau de littératie, aux expériences et à la formation très variés peuvent certainement prendre part à ces ateliers. [00:12:30.94] Merci. [00:12:31.84] Génial. D’autres questions? [00:12:34.33] Oui. Une autre question. Suggérez-vous de diviser les gens en groupes pour donner ces séances? Ou diriez-vous qu’un vaste auditoire fonctionne tout aussi bien? [00:12:46.93] Je dirais que ça dépend de l’endroit où vous l’animez. Donc, si je m’adressais à un milieu syndiqué, je voudrais peut-être que les membres de la direction du syndicat et les employés de première ligne s’assoient ensemble, pour qu’il y ait cette camaraderie, cette prise de conscience que nous partageons tous la condition humaine. Donc, il est bon de mélanger les groupes de cette façon. En revanche, il se peut que vous présentiez une de ces séances et que vous souhaitiez garder les équipes ensemble ou rassembler les gens selon leur poste. [00:13:30.53] Par exemple, si nous parlons de préjugés inconscients, nous voulons avoir les professionnels des RH ensemble, les leaders ensemble et les employés de première ligne ensemble. Par contre, je vous fais confiance en tant qu’animateur pour discuter avec votre client ou le leader afin de décider de la façon de rassembler les gens pour obtenir le meilleur résultat. Autrement dit, tout dépend, et vous pouvez choisir ce qui fonctionne pour votre groupe. [00:14:03.46] Merci pour ces questions sur certaines de nos ressources adressées à tous et je vous rappelle qu’elles sont toutes téléchargeables gratuitement par tout le monde, en français ou en anglais, à l’adresse strategiesdesantementale.com.
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@workplacestrategiesforment956 2 жыл бұрын
(SPEECH) [00:00:00.24] Welcome to an overview of the-- on the agenda workshop series. This series is available to you at no cost, compliments of Canada Life, and you can use them in English and French, for any of the rules that you might have in facilitating intact teams. The awareness series is really meant for working teams, to be brought together. And the conversations that they're brought together on, are the psychosocial factors, that are named in the National standard of Canada, on psychological health and safety in the workplace. [00:00:41.64] And in guarding mindset work, which is a free tool to assess psychological health and safety in your workplace. So the on the agenda workshop series is broken up into two categories. The creating awareness series, is really a team building workshop, where you're going to bring them together to talk about a specific psychosocial factor, and you see them listed here. And you're asking them to give you ideas, about how we could improve it for our team. [00:01:17.07] The creating change series is for decision makers, and policy makers. To be able to take the information that came from the various teams, and look at the extent to which they want to change policies and processes in the organization. So I'm going to walk you through just one of the creating awareness series, and I've chosen some of the slides, to help you understand, what you're getting and what the approach is. So the one that we're looking at today is, putting civility and respect on the agenda. (DESCRIPTION) [00:01:54.49] Process. (SPEECH) [00:01:55.26] And what the process is, is first we review what a psychologically safe discussion is, both for this particular workshop that you're hosting, but also in general. What does that mean? We define civility and respect, as it is defined in guarding minds at work, and recognize what it looks like, using the descriptions that are in the guarding minds at work employee survey. Then we ask folks to list words, that in their mind embody civility and respect, and then they are to attach specific measurable actions, that they themselves can take, that would demonstrate civility and respect. [00:02:44.76] And then they look at our criteria, for making meaningful change, and I'll go over that criteria with you, but just to let you know it's so that what you end up with is affordable, is actionable, and is effective, in improving the psychosocial factor that you're looking at. And then they get to choose one action to recommend that you start with. So the psychologically safe discussions, is early on, so that we know what that means, and how we're going to do it. [00:03:19.74] We look at the various things that gardening minds at work describes as what civility and respect is in the workplace, so that everybody starting from a shared understanding of what we're looking for, what we're trying to achieve. And then we ask them about words, so we've given them a few here that
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they might think embody civility and respect, but we allow them to go with any other words that they feel make sense to them, in their unique work environment, on their unique team. [00:03:59.94] And then we ask them for those actions that demonstrate the words. So that we're not looking for pie in the sky kind of motherhood statements like, let's all be nice. We would say, define nice? How would you measure it? What does it look like? What does it sound like? So that we get something that is practical. (DESCRIPTION) [00:04:21.59] Criteria. (SPEECH) [00:04:22.89] And then we take them through the criteria, is it observable? Because if it's just about an internal thought process we can't observe that. Is it measurable? Can we actually say this was done this many times, or to this extent. [00:04:39.18] Because if we can't measure it, we can't know if we're successful with it. Is it reasonable? Is it reasonable given human rights? Is it reasonable given organizational policy? Is it reasonable given work demands? And is it relevant to your particular work environment. And then they get to vote on the action that they feel is best to implement right now. And we're asking them about what potential challenges-- lets talk about that before it actually happens. OK are there any questions, about on the agenda workshop materials? [00:05:18.40] We do have a question from Sarah Jenna. With all the different psychosocial factors, how many would you recommend an organization focus on in a given year? And how do you decide on which ones to focus on? For instance, should it be by location department or by teams? [00:05:38.02] Great question. And it's a complex answer, because I mean, how many in a year? That's pretty simple, not too many. Because the more that you do, the more pressure it puts on people, and the less likely they're going to adopt or commit to any of them. So we'd like to do one, and then integrate it into the way we do work, and then add another one. Generally speaking, I would say that's not more than one a quarter, but for every different team, there may be different expectations. But I wouldn't go with more than that, because it gets difficult. [00:06:18.94] Now, where there's some overlap, is often when an organization is really striving towards being a psychologically healthy and safe organization. They may have some changes related to psychosocial factors that they want done organization wide. But that doesn't mean that a team, can't also do something that's more relevant to that particular team. The organization wide strategies are great, but individual teams have different needs, and often those needs would get messed if it was only large scale change. [00:06:59.90] So you may be doing two at once, because you're doing the organizational change, and you're doing the team level change, but I would keep them to a manageable rate, and make sure that the first one becomes embedded into the way you do business. And if it doesn't, then I would revisit that, and find a different approach to that same psychosocial factor, rather than just saying that didn't work now let's do a different one. So, it's really important that each of the changes becomes part of the organizational culture, the team culture, and how we interact on a day-to-day basis. So thanks Sarah for that very complex question. Any other questions? [00:07:49.15] We have a question from Brian Hansel. And he writes, you mentioned getting the input from employees, to help get back to the makers, or keepers of the stories. I find that incredibly important, in working with organizations today. No one wants to see policies shoved at them, they want to be part of the solution and discussion, getting feedback, from greater population gets much better results than forcing a policy. [00:08:15.23] Yeah, so Brian you're absolutely right. And in fact the National standard on psychological health and safety requires, meaningful, and ongoing participation, and influence, to psychological health and safety initiatives from all employees. So they recognize how critical it really is, but from an employer standpoint, you can invest, a lot of time, a lot of money, a lot of effort, in trying to implement psychological health and safety only to fail, because it's not meeting the needs of the employees, it's not engaging them and what has to happen. [00:08:57.08] And because psychological health and safety really comes down to the way we interact with each other, its important to engage union, employees, all stakeholders right from the beginning, and throughout the process. So great question Brian thank you. Any others? [00:09:16.55] I think we have time for one more, there's another question from Sara Jenner. In relation to the creating awareness and creating change presentations, are there actionable items that workplace strategies suggests up front to help those who use these pieces? [00:09:33.02] Yes. So the workshop creating awareness series, is intended to tap into what employees want. And so, it really is more blue sky thinking, but even there are on our website. Evidence based actions for psychological health and safety, broken down by the individual psychosocial factors, in both the creating awareness, and in the creating change we ask that you consider those because they come from the research, on what will actually make a difference. I personally think we should have chocolate every afternoon, and it would be great for my psychological health and safety, but the evidence doesn't back it up. [00:10:22.40] And so we really, say, look to the evidence, in making your decisions, but there's lots of ideas that, if you don't have time for a workshop, if you don't have time to do an assessment, that you can start looking at those things, and incorporating them into the way that you do business right now. So that's evidence based actions for psychological health and safety. Thanks a lot everyone for your questions, and for your time, and I hope you will be able to begin to use on the agenda workshop materials, and remember that, everything that we've talked about is available for free in both English and French. You can download them all at workplacestrategiesformentalhealth.com.
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@workplacestrategiesforment956 2 жыл бұрын
(DISCOURS) [00:00:00.24] Bienvenue à cet aperçu de la série d’ateliers « Au programme ». Cette série est offerte gratuitement, gracieuseté de la Canada Vie, et vous pouvez l’utiliser en français et en anglais, pour tous les rôles que vous pourriez avoir dans l’animation d’ateliers pour des équipes complètes. La série d’ateliers sur la sensibilisation est conçue pour réunir les équipes de travail. Les conversations lors de ces rassemblements porteront sur les facteurs psychosociaux nommés dans la Norme nationale du Canada sur la santé et la sécurité psychologiques en milieu de travail [00:00:41.64] et sur « Protégeons la santé mentale au travail », un outil gratuit pour évaluer la santé et la sécurité psychologiques dans votre milieu de travail. La série d’ateliers « Au programme » est divisée en deux catégories. La série « Favoriser la sensibilisation » sert d’atelier de renforcement de l’esprit d’équipe. Elle vous permettra de réunir les membres de l’équipe pour parler de l’un des facteurs psychosociaux; ils sont énumérés ici. Vous leur demandez de vous donner des idées sur la façon dont nous pourrions améliorer les choses pour notre équipe. [00:01:17.07] La série « Favoriser le changement » s’adresse aux décideurs et aux responsables des politiques. L’idée est de prendre l’information provenant des diverses équipes et d’examiner dans quelle mesure elles veulent changer les politiques et les processus de l’organisation. Je vais donc passer en revue avec vous l’un des ateliers de la série « Favoriser la sensibilisation », et j’ai choisi certaines des diapositives, pour vous aider à comprendre ce que vous en tirerez et quelle est l’approche. Aujourd’hui, nous allons nous pencher sur « Au programme - Courtoisie et respect ». (DESCRIPTION) [00:01:54.49] Processus. (DISCOURS) [00:01:55.26] Qu’est-ce que le processus? D’abord, nous examinons ce qu’est une discussion psychologiquement sécuritaire, à la fois pour cet atelier particulier que vous organisez et en général. Qu’est-ce que cela signifie? Nous définissons la courtoisie et le respect et nous reconnaissons à quoi ces choses ressemblent conformément aux descriptions du sondage auprès des employés « Protégeons la santé mentale au travail ». Ensuite, nous demandons aux gens d’énumérer des mots qui, dans leur esprit, incarnent la courtoisie et le respect, puis ils doivent ajouter des actions mesurables précises qu’ils peuvent entreprendre eux-mêmes et qui démontrent de la courtoisie et du respect. [00:02:44.76] Par la suite, ils regardent nos critères pour l’apport d’un changement significatif, et je vais les passer en revue avec vous, mais le but est d’obtenir un résultat abordable, réalisable et efficace pour améliorer le facteur psychosocial sur lequel nous nous penchons. Ensuite, ils peuvent choisir une action à recommander pour commencer. Nous parlons des discussions psychologiquement sécuritaires au début afin que tous sachent ce que cela signifie et comment nous allons nous y prendre.
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@workplacestrategiesforment956 2 жыл бұрын
[00:03:19.74] Nous nous penchons sur les divers éléments décrits comme faisant partie de la courtoisie et du respect en milieu de travail dans « Protégeons la santé mentale au travail » afin d’assurer une compréhension commune de ce que nous recherchons et de ce que nous essayons de réaliser. Ensuite, nous leur posons des questions sur les mots; nous leur en avons donné quelques-uns qui peuvent être interprétés comme incarnant la courtoisie et le respect, mais nous leur permettons d’utiliser tous les autres mots qui leur semblent logiques dans leur environnement de travail unique et dans leur équipe unique. [00:03:59.94] Nous leur demandons ensuite des actions qui incarnent les mots. Nous cherchons à éviter le pelletage de nuages, du genre « soyons tous gentils ». Nous dirions : pouvez-vous définir la gentillesse? Comment la mesureriez-vous? À quoi ressemble-t-elle? De quoi est-ce que ça a l’air à l’oral? L’idée est d’obtenir quelque chose de concret. (DESCRIPTION) [00:04:21.59] Critères. (DISCOURS) [00:04:22.89] Ensuite, nous passons en revue les critères. Est-ce observable? Nous ne pouvons pas observer les simples réflexions internes. Est-ce mesurable? Pouvons-nous dire que cela a été fait tant de fois, ou dans cette mesure? [00:04:39.18] Parce que si nous ne pouvons pas le mesurer, nous ne pouvons pas non plus mesurer notre succès. Est-ce raisonnable? Est-ce raisonnable compte tenu des droits de la personne? Est-ce raisonnable compte tenu de la politique organisationnelle? Est-ce raisonnable compte tenu des exigences du travail? Et est-ce pertinent pour votre milieu de travail particulier? Ensuite, ils peuvent voter sur les actions qui, selon eux, devraient être entreprises immédiatement. Nous leur demandons aussi quels sont les défis potentiels - parlons-en avant qu’ils se présentent. Y a-t-il des questions au sujet du matériel de l’atelier « Au programme »? [00:05:18.40] Nous avons une question de Sarah Jenner. Compte tenu de tous les différents facteurs psychosociaux, sur combien d’entre eux recommanderiez-vous qu’une organisation se concentre au cours d’une année donnée? Et comment peut-on décider de ceux sur lesquels on devrait se concentrer? Par exemple, devrait-on le faire par service, par emplacement ou par équipe? [00:05:38.02] Excellente question. La réponse est complexe. Combien en une année? C’est assez simple : pas trop. Parce que plus vous en faites, plus cela exerce de pressions sur les gens, et moins il y a de chances qu’ils adoptent l’une ou l’autre des actions ou s’y engagent. Nous préférons nous pencher sur une action, l’intégrer à notre façon de travailler, puis en ajouter une autre. En général, je dirais pas plus d’une par trimestre, mais les attentes peuvent être différentes d’une équipe à l’autre. Je m’en tiendrais personnellement à une par trimestre, sans quoi les choses peuvent devenir difficiles. [00:06:18.94] Là où il y a un certain chevauchement, c’est souvent lorsqu’une organisation s’efforce vraiment d’être psychologiquement saine et sécuritaire. Il se peut qu’on veuille apporter des changements liés aux facteurs psychosociaux à l’échelle de l’organisation. Mais cela ne veut pas dire qu’une équipe ne peut pas faire quelque chose qui semble plus pertinent compte tenu de ses circonstances particulières. Les stratégies à l’échelle de l’organisation sont géniales, mais les équipes individuelles ont des besoins différents, et si nous nous en tenons exclusivement à des changements à grande échelle, cela peut nuire à la satisfaction de ces besoins. [00:06:59.90] Il est donc possible que vous vous retrouviez à travailler sur deux changements en même temps : un changement organisationnel et un changement au niveau de l’équipe. Tenez-vous-en à un rythme raisonnable et assurez-vous que le premier s’intègre à votre façon de travailler. Si ce n’est pas le cas, revenez-y et tâchez de trouver une approche différente à l’égard de ce même facteur psychosocial, plutôt que de simplement vous dire que cela n’a pas fonctionné et qu’il est temps de travailler sur quelque chose d’autre. Il est vraiment important que chacun des changements soit intégré à la culture organisationnelle, à la culture d’équipe et à la façon dont nous interagissons au quotidien. Je remercie Sarah pour cette question très complexe. D’autres questions? [00:07:49.15] Nous avons une question de Brian Hansel. Vous avez parlé de l’obtention de l’apport des employés pour aider à revenir à ceux et celles qui façonnent ou préservent les histoires. Cela me semble quelque chose d’extrêmement important dans le cadre du travail avec les organisations aujourd’hui. Les gens ne veulent pas qu’on leur impose des politiques, ils veulent faire partie de la solution et de la discussion. Obtenir l’apport d’un grand nombre de personnes donne de bien meilleurs résultats que d’imposer une politique. [00:08:15.23] Oui, Brian a tout à fait raison. En fait, la Norme nationale sur la santé et la sécurité psychologiques exige que tous les employés participent de façon significative et continue aux initiatives en matière de santé et de sécurité psychologiques et les influencent. On reconnaît donc à quel point c’est essentiel, mais du point de vue de l’employeur, on peut investir beaucoup de temps, beaucoup d’argent, beaucoup d’efforts pour essayer de mettre en œuvre des mesures de santé et de sécurité psychologiques qui échouent parce qu’elles ne répondent pas aux besoins des employés et qu’elles ne les mobilisent pas. [00:08:57.08] Comme la santé et la sécurité psychologiques dépendent en fin de compte de la façon dont nous interagissons, il est important de mobiliser le syndicat, les employés, toutes les parties prenantes dès le début, et tout au long du processus. Excellente question, Brian, merci. D’autres questions? [00:09:16.55] Je pense que nous avons le temps pour une autre question, celle-ci vient de Sara Jenner. En ce qui concerne les présentations « Favoriser la sensibilisation » et « Favoriser le changement », y a-t-il des mesures que le groupe Stratégies en milieu de travail suggère dès le départ pour aider ceux qui utilisent ces éléments? [00:09:33.02] Oui. La série « Favoriser la sensibilisation » est axée sur ce que les employés veulent. Cela peut être vu comme du brassage d’idées, mais il y a sur notre site Web des actions fondées sur des données probantes en matière de santé et de sécurité psychologiques, ventilées par facteurs psychosociaux individuels, tant pour « Favoriser la sensibilisation » que pour « Favoriser le changement ». Nous vous demandons de les prendre en considération parce qu’elles sont issues de la recherche sur ce qui permettra réellement de changer les choses. Personnellement, je pense que nous devrions avoir du chocolat chaque après-midi, et que ce serait excellent pour ma santé et ma sécurité psychologiques, mais je n’ai pas de données à l’appui. [00:10:22.40] Nous demandons aux gens d’examiner les données probantes lorsqu’ils prennent leurs décisions, mais certains se disent qu’ils n’ont pas assez de temps pour un atelier, qu’ils n’ont pas le temps de faire une évaluation; vous pouvez commencer à examiner ces éléments et à les intégrer à la façon dont vous travaillez à l’heure actuelle. Il s’agit d’actions fondées sur des données probantes en matière de santé et de sécurité psychologiques. Je vous remercie tous de vos questions et de votre temps, et j’espère que vous pourrez commencer à utiliser le matériel des ateliers « Au programme ». Rappelez-vous que tout ce dont nous avons parlé est disponible gratuitement en français et en anglais. Vous pouvez télécharger le matériel à l’adresse strategiesdesantementale.com.
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@workplacestrategiesforment956 2 жыл бұрын
(SPEECH) [00:00:00.18] OK, we're going to walk you through just some of the resources that we have for those of you who are managing teams, and how you can build them up stronger, more resilient, more able to work together and function together. (DESCRIPTION) [00:00:19.80] Slides. (SPEECH) [00:00:20.34] All of the resources that I'm sharing with you are free to anyone. They're available in English and French. And they're downloadable from the Workplace Strategies website. So let's get started. [00:00:34.24] The first one I want to share with you is psychologically safe interactions. This workshop came about because we were looking at workshops on bullying, and we realized that most of the time, when somebody is accused of bullying, they are absolutely mortified. They say that wasn't their intention. They weren't trying to bully. They were either stressed themselves, or trying to express a point, or they were passionate about something. [00:01:09.51] Because of this, we realized that rather than talk to somebody about bullying when they think that's not who they are or what they do, that we could talk to our team instead about the way we interact and how we can do it in a way that is more psychologically safe. [00:01:29.05] So in this workshop, you bring everybody together for about two and a half hours. Your learning objectives, the point of all this, is to make sure that everybody on your team feels safe to speak up about concerns. They don't let them simmer until they become a problem. They learn how to resolve most disagreements on their own, face to face with the person that they have a disagreement with, rather than always having to have it facilitated. [00:01:58.80] And they learn to respectfully intervene when they're witnessing inappropriate behavior so that, again, the team can have each other's backs, that they can support each other to be that high-functioning team that they want to be, and to make sure that everybody on the team feels included and valued. (DESCRIPTION) [00:02:20.08] Slide. (SPEECH) [00:02:20.34] They are taught how to have a psychologically safe discussion, and what that means. They talk about what the intent is, that we want to make every interaction safer by thinking about when someone is disagreeing with us, and we feel that they're insulting our intelligence, to think about how we react when the leader gives us feedback that we feel is negative, and how we react when someone appears to be taking credit for the work that we did. Or a client, a patient, a customer, is upset and taking it out on them. [00:02:59.22] All of these interactions can add up to an un-psychologically safe workplace. We want to help people think about these things and how we could do it differently. [00:03:12.67] We walk them through a series of questions to help improve their awareness that their intention is not always the same as how people perceive what they say or do. And once we're aware of that, then we can be more conscious, more purposeful, about our interactions. We get them to check the assumptions that they may be making about what others are saying or doing, in order that we don't react to people based on an incorrect assumption. (DESCRIPTION) [00:03:48.82] Slide. (SPEECH) [00:03:49.30] And we teach about moral courage-- how to respectfully intervene. You know, I always say that if I think you are intimidating or bullying, and I get in your face about it, saying you're not being very nice, I am only bullying the bully. And so how do we respectfully intervene, is the point here. And you get your group to decide how they think it should be done and to agree to do it going forward. (DESCRIPTION) [00:04:21.72] Slide. (SPEECH) [00:04:22.08] At the end of this workshop, and you'll see at the end of many of our workshops, we ask people their final takeaway. What is it you are going to do differently as a result of what you engaged in this workshop, so that you can have measurable outcomes, not just a feel-good kind of conversation, but actual changes in behavior? (DESCRIPTION) [00:04:44.79] Slide. (SPEECH) [00:04:45.40] And another workshop that we have that is for teams is called leveraging team wisdom. In this one, you're really bringing people together to do some of the team building activities that are available on the website, but specifically to get to know the members of the team better, and to improve the way we interact. [00:05:10.07] So we're connecting in both a practical and effective manner, we're learning to address obstacles together in a way that helps us to deal with challenges, and to learn to learn from each other, not just to be silos working on our own, struggling on our own, or even succeeding on our own, that we learn how to do this as a team