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Par Guillaume de Syon
"Bientôt il y aura deux sortes de compagnies aériennes: celles qui ont Concorde et celles qui ne l'ont pas." Ce joli slogan publicitaire ne pouvait masquer le fait que British Airways et Air France furent les seules à acheter et à exploiter le supersonique, mises à part quelques autres compagnies qui rêvaient de l'utiliser sans se risquer à la posséder. Mais que faire d'un joyau dont l'entretien coûte cher, qui ne peut voler partout vite, et surtout sans perdre trop d'argent ? A force d'efforts, le concept de la belle bête rare finit par faire recette, du moins jusqu'au début des années 2000.
Guillaume de Syon est professeur à Albright College, Pennsylvanie
0:00 Introduction
3:40 Et une mise en avant de la vitesse
5:55 Phase I, 1976: Nouveaux uniformes
9:07 Nouveaux cadeaux
11:45 Et une nouvelle livrée
14:17 Ou une variation de livrée existante
15:38 Le paradoxe Concorde: Soit il est juste un autre avion...
17:07 Mélanger la tradition et la modernité
19:08 1976: quelques destinations américaines
20:29 Et enfin New York (22 novembre 1977)
27:08 Phase 2: La recherche d'exotisme...
28:29 Singapore Airlines
31:09 Forme du Concorde "B"
32:42 Où la Vitesse en soi est exotique, mais pour aller où?
33:49 Rapporte peu, mais il continue de fasciner
34:40 Second choc pétrolier, 1979-1981
36:38 Remède: Tout arrêter?
38:38 Non: nouvelles destinations, comme Miami
39:28 Les charters
41:03 Y compris dans la culture pop
41:17 Utilisation à toutes les fins
41:20 La pub à toutes les sauces (ou les boissons)
41:44 Y comprise les Jeux Olympiques (1992)
42:43 Livrée Landor
46:48 Où sont ils passés?
47:23 Rêves du passé